Le Bleu du ciel

L’Ascension C'est de L'Ascension du Christ, (vers 1849-1859, château Stolzenfelds) d'Ernst Deger(18091885) que s'inspire Ozias Leduc. Le Christ est représenté: barbu longiligne, aux bras écartés et tendus vers le ciel, aux longues mains effilées et ouvertes, il est enveloppé d'un lourd drapé qui semble gonflé par le vent. Il semble quitter le sol dans un mouvement progressif oblique. Par ailleurs, chez Leduc le reste de la composition est différent en raison de son adaptation à l'espace dévolu

cousine de Claude Monet et à droite, son amant, dont on ne connait pas le nom. Au troisième plan, on voit l'horizon et les bateaux qui flottent sur l'eau. Le tableau est divisé en trois parties horizontales :le bord de la terrasse, l'horizon et le ciel. Il est aussi divisé en deux parties verticales, les deux femmes sur le côté gauche du tableau et les deux hommes sur le côté droit. Le fait que les 4 personnages soit comme regroupés au centre du tableau créé un effet de masse. En regardant l'horizon

Dans le ciel, nous pouvons voir un éléphant qui est en train de voler comme une sorte de montgolfière, prêt de la plate-forme se trouve une pomme grenade autour de laquelle une abeille se déplace. La plate-forme est entourée par la mer et au loin on peut distinguer un petit ilot ou bien un rocher. Le ciel est bleu clair mais cela donne une impression de décors imaginaire. La composition : Sur cette peinture le point de fuite se situe sur l’horizon entre la démarcation du ciel et de la mer

plus en plus conscience de sa valeur) 2. Lamentation sur le Christ mort, Giotto Di Bondone a. Description Le Christ descendu de sa croix est entouré de ses proches. Paysages arides et rocheux. Ciel bleu et parsemé d’anges b. Analyse esthétique * Le ciel n’est plus doré mais bleu. Le caractère sacré se voit maintenant dans les auréoles. * Les personnages sont plus sculpturaux qu’au Moyen-âge, ils ont plus de poids. * L’expression est plus individualisée c. Interprétation

(« fêter notre mort prochaine ») -déchaînement des éléments (« L’eau qui part en geysers ») -évocation religieuse = registre tragique -blasphème de Dieu par Zola se retrouvant face à sa destinée -toute la description a une dimension biblique - « ciel bleu, pur, innocent » =renforcement du blasphème envers Dieu qui selon Zola, se lave de tout soupçons. Après le passage de l’ouragan Katrina, un paysage de désolation est mis au jour. Une scène d’apocalypse est ainsi décrite à travers le point de

de certaines idées ou d'idéaux en danger. La Rose et le réséda Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas  Tous deux adoraient la belle Prisonnière des soldats Lequel montait à l'échelle  Et lequel guettait en bas Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas  Qu'importe comment s'appelle Cette clarté sur leur pas Que l'un fut de la chapelle  Et l'autre s'y dérobât Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas  Tous les deux étaient fidèles Des lèvres du cœur des bras Et

trois principales à pouvoir être évoquées ici sont : - le cercle chromatique de Newton qui fut la première présentation du spectre de la lumière blanche sous forme circulaire, donc continue. - Le cercle chromatique de Goethe pour la dominance de l’axe bleu-violet/ jauneorangé En effet, dans l’œuvre de Wurmfeld, sur l’axe le plus long de l’ovale, le violet pur, sombre et profond s’oppose à la luminosité et à la brillance du jaune pur. Sur l’axe court, les autres couleurs du spectre sont rabattues et tendent

dans une vaste cour cloturée.la figure de préhension est le plan d’ensemble. L’image montre le maitre de chœur dans une chemise aux manches longues et directes jusqu’aux poignets. Cette chemise est faite en pagne blanc aux motifs de grilles fines bleues avec des dessins bleus. Le pianiste de la chorale est en costume gris sans cravate avec une chemise de fond blanche aux longues manches rétrécies et boutonnées aux poignets. Il porte aussi une casquette qui ressemble à un béret de couleur noire et

Arthur Rimbaud, Le mal, extrait de « Poésie » : Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !… – Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées

strident. Et alors j'écoute son père, directement venu du village des défunts : Ne pleure pas, tu ne vas pas mourir mon enfant. Et au sixième jour la mer, qui était verte jusqu'alors, est devenue bleu foncé : ils étaient près d'une terre. Cette nuit l'éclat des villes est devenu visible dans le ciel et, comme un phare les a aidé à s'approcher. Ilssont arrivés à un port et la police et la croix rouge les attendaient déjà. Ils ont passé la nuit dans un commissaria ils sontt entassés dans un local