Le Bonheur Au 18eme Siecle

plusieurs époques, marquées par différents courants, mais il est important de savoir que ses plus anciennes origines et même ses racines proviennent de la Grèce antique du V ème siècle avant J-C . Il joue alors en particulier un rôle religieux, social et politique. Ensuite arrive le théâtre du 17ème siècle , désigné aussi comme le siècle du théâtre, car c'est l'apogée de deux genre ; la comédie et la tragédie , illustrées respectivement par deux grands auteurs Molière et Racine. Le théâtre était alors un

Zola. CITATIONS Stendhal- Le rouge et le noir. La princesse de Clèves. Dystopie fin 20eme siècle- nouveau roman- plus de personnage- conscience qui parle- Nathalie Sarraut- Robbe Grillet. – W ou le souvenir d’enfance par Perec.- Récits de fiction. Roman Piquaresque- Trois mousquetaires de Dumas- tjr un personnage.- Conte de Monte Cristo.- Debut du pp central- Lintrigue se lie autour de lui. Dès 18eme- roman mémoire, libertin, épistolaire, [Liaisons Dangereuses] Jacques le fataliste- In medias

moderne au regard du sport correspond à la diffusion du modèle sportif anglais à partir de la fin du XIXème siècle. Une pratique physique n’apparait pas par hasard : il y a des conceptions philosophiques du corps et du mouvement qui entraine cette pratique. Il y a une pratique physique dominante à un moment donné à une époque. Photos : Photos 1 et 2 : pratiques millitaires (fin XIXème siècle et début XXème) spécifiques à la culture française. Les lois Ferry (1881, 1882,1883) rendent l’école obligatoire

commentaire il y a 3 parties . 1- L'introduction : Dans l'introduction, il est demande d'apporter des éléments relatif à l'auteur qui permette d'éclairer la lecture du texte . Ces éléments biographiques doivent servir à replacer l'auteur dans son siècle, replacer l'extrait par rapport a l'ensemble de l'oeuvre de l'auteur et par rapport au livre dont il est issu - Les étapes : 1- L'entrée en matière est l'amorce ou l'accroche exemple : texte satirique dirige contre les gouvernants et les rois

humain d'exister sans culture. Au 18ème siècle, grâce à plusieursrécits de voyages notamment le récit de Bougainville sur les habitants de Tahiti, les récits de Jen-Baptiste Tavernier sur ses voyages en Turquie, en Perse et en Inde, ou encore le récit de LouisLecomte sur la Chine. Chacun d'entre eux a cultivé le mythe du « bon sauvage ». Un mythe utopique envié par les habitants d'Europe à l'époque car pour eux, la culture est considéré comme faisant obstacleau bonheur, où les « sauvages », c'est à dire

et adopté le 4 juillet 1776, la déclaration des Etats-Unis d’Amérique reprend pour la première fois les idées des Lumières : les droits naturels de l’égalité, de liberté, de démocratie et de recherche du bonheur. Les principes : égalité des hommes droits inaliénables : vie, liberté, bonheur garantir les droits des gouvernés le pouvoir vient des gouvernés droit de rejet du gouvernement si despotisme En 1787, ils adoptent une constitution, deviennent un état fédéral et une république Un

des entreprises futures B.LE SENS DE LA FORMULE « il faut cultiver notre jardin » En contextes (du conte / du 18ème siècle) Significations de la formule : ▪ Du futile (jardin de TTT) à l’utile ▪ Du faux « paradis terrestre » à un nouvel Eden ▪ Du paradis d’illusions au jardin de sagesse ▪ Conséquences : → le jardin du chap. 30 marque la fin d’une évolution → La boussole du bonheur indique la direction du Soleil Levant (Turquie) conformément à la Genèse (Dieu planta un jardin en Eden, à l’orient)

Lumières ( pendant le 18ème siècle ), qui a pour but de sortir le peuple de l'obscurantisme par la connaissance et qui met en avant la raison et l'expérience pour faire face aux préjugés et aux superstitions. -récit fictif sous forme de mémoires qu'on met en // avec la vie de l'auteur l'Abbé Prévost qui retranscrit ses aventures dans son œuvre-roman picaresque qui a suscité le scandale car il met en scène le libertinage des mœurs et la corruption qui régnaient au début du 18ème siècle.-le lyrisme est dominant

partir du 18ème, l’idée démocratique va monter en puissance, notamment avec Montesquieu (qui n’est pas démocrate) il analyse l’esprit des lois, et fait une analyse non négative de la démocratie, il la voit comme une alternative possible. Puis avec le contrat social de Rousseau, ou encore avec Mably, la démocratie revient au 1er plan, et il dit que dans l’Etat de nature l’homme était bon, et que s’il a créé la société civile ça n’est pas pour se retrouver dans l’inégalité. Jusqu’au 17ème siècle, depuis

nature de l’homme ? Qu’est ce qui fait l’unité entre mon esprit et mon corps, entre la matière et l’esprit ? Chez les grecs il se traduit par le rapport entre la philosophie et la science : celle qui se trouve dans la question de comment trouver le bonheur but existentiel de l’homme ? C’est le rapport entre notre liberté ce choix et l’ordre qui régit le corps de l’homme, ses relations avec le monde. Comment faire le lien entre ma nature morale et ma nature physique ? Une question qui va devenir :