Le Bonheur Au 18eme Siecle

Voltaire [pic] I / Contexte historique du 18ème siècle • Avant le 18ème • Au 18ème II / L’époque des Lumières • Contexte • Les valeurs des Lumières • Les philosophes des Lumières III / Voltaire • Biographie • Œuvre IV / Protestants, Jansénistes et Jésuites • Introduction • Protestants • Jansénistes • Jésuites [pic] I / Avant le 18ème 1 - Introduction Tout d’abord, il s’agit

tenait dans une exigence d’équilibre desforces sociales, dont aucune ne devait être sacrifiée. ● Les lumières Le siècle des lumières est né de l’accélération des découvertes scientifiques et des grands voyages, entraînant une révolutionde la pensée. Ce courant culturel et philosophique européens du 18ème siècle est fondé sur la foi dans la raison, le progrès et le bonheur. Il illustre par son combat contre les préjugés etl’intolérance. Contexte historique et social : → Mort de Louis 16

l’autorité. Au 18ème siècle nait un nouveau mouvement littéraire et philosophique appelé la philosophie des Lumières. Son but est de développer l’esprit critique par la connaissance, et de lutter contre les formes de préjugés et de superstition. Les philosophes des Lumières dont Diderot, Montesquieu ,Rousseau ainsi que Voltaire sont les principaux chefs de file ,prônent la libre diffusion du savoir, et contestent l’autorité du pouvoir mis en place .Celui-ci prend, dans la France du 18ème siècle deux dimensions

réalisations qui en découlèrent et n’oublierons pas dans une troisième partie les principaux acteurs, écrivains, philosophes, hommes politique qui ont relayé ces idées. C’est essentiellement au 18ème siècle que l’idée démocratique se concrétise. Qualifier de siècle des Lumières ce 18ème siècle est marqué par le rationalisme philosophique et l’exaltation des sciences de même que par la critique de l’ordre social et de la hiérarchie religieuse. Ces principes sont liés au concept de liberté,

considération purement économique, il apparaît que la croissance permet d'évaluer le bonheur des individus en société. Toutefois, ce phénomène est récent, avant la Révolution Industrielle, la croissance présente s'avère trop ténue (minime) pour être mesurée réellement. Notre obsession, contemporaine du taux de croissance et de son évolution date en réalité de l'après 1945 : Cette idée que la croissance est garante du bonheur de la société est contemporaine. Depuis 1945 → Moyen de mesure critique mis

française. Nous sommes les héritiers d’une nouvelle vision sociale, la volonté des révolutionnaires de changer l’ordre ancien au profit d’un ordre nouveau fondé sur l’individu, l’égalité et la liberté. Ce passage en quelque sorte s’est fait pendant ce siècle dans une certaine douleur. Il s’agira ainsi d’étudier le processus qui a permit qu’on en arrive là aujourd’hui. Il a suffit qu’un certain nombre de tension (lié au monde économique, à la situation de l’emploi, au pouvoir d’achat) pour qu’on voie

critique un malheur, une appréhension, un problème spécifique pour l'humanité. Que se soit au 18ème s. l'arrogance de la noblesse en Westphalie, la guerre chez les Bulgares/ Arabes, l'intolérance aux Pays-Bas, le mal physique et le fanatisme avec l'Inquisition au Portugal, l'esclavage au Surinam; il y a donc nulle échappatoire dans ce monde. Il y a des événements qui prouvent que ça a été écris au 18ème : l’inquisition, le tremblement de terre de Lisbonne, la guerre de 7ans. Ou au 21ème s. la pauvreté

fondements de la morale, problématiser le statut de l’être humain dans la société et viser à un changement des mentalités de la société française. En effet dans ses contes, l’être humain occupe une place prépondérante. Conforme à la pensée dominante le siècle des Lumières, Voltaire dénonce au nom de la raison et des valeurs morales les oppressions et les injustices qui persistent à son époque. A travers une continuité narrative, Voltaire confronte ses personnages à des massacres et tortures servant à

Le Mal dans Candide de Voltaire Le Mal dans Candide de Voltaire Voltaire fait partie de ceux qui au 18ème siècle procèdent à un réexamen de la question du mal et s’efforcent à la redéfinition d’un bien individuel et collectif. Candide est sous-titré l’Optimiste, voilà un détail révélateur des préoccupations de Voltaire. Il essaiera de donner une réponse personnelle qui puisse concilier la bonté divine avec l’existence du malheur. Nous étudierons d’abord les exemples du mal dans l’œuvre,

L’ARGENT DANS CANDIDE Les philosophes des Lumières ont tous posé le problème de l’argent, associé à la question du bonheur. Le 18ème siècle connaît une grande mutation économique : l’argent issu de la richesse foncière et l’aristocratie est peu à peu remplacé par l’argent produit du commerce (de plus en plus international), du travail agricole et de l’industrie naissante (fin 18ème en Angleterre). Voltaire, qui a très bien su faire fructifier ses avoirs, ne pouvait que donner son avis sur cette question