Le Bonheur Chez Madame Bovary

Fiche lecture : Madame Bovary, de Gustave Flaubert (1857) Commence lorsque Charles Bovary est encore un adolescent, incapable de s'adapter à sa nouvelle école et ridiculisé par ses nouveaux camarades de classe. Il restera médiocre et terne. Après de laborieuses études de médecine, il devient un médecin de campagne de second ordre. Sa mère le marie avec une veuve bien plus âgée que lui qui mourra peu de temps après, presque ruinée par son notaire qui a disparu avec sa fortune. Charles tombe bientôt

« réalisme subjectif » : qu’il s’agisse de la vie des héros de ses romans ou de son existence personnelle, Stendhal se place toujours dans la perspective de la « chasse au bonheur » jusqu’à rendre difficile de faire une distinction entre le vécu et le littéraire. Il faut donc expliquer ce que c’est que « la chasse au bonheur » ou « beylisme » ( ce terme dérive du vrai nom de Stendhal, Henri Beyle). La mort précoce de sa mère et l’éducation autoritaire de son père on éveillé en Stendhal une passion

En 1846, son premier ouvrage est publié : Madame Bovary dont nous allons étudié un extrait . Il a écrit par la suite, Salammbô en 1862, L'éducation Sentimentale en 1874 et La Tentation de Saint- Antoine en 1877. Madame Bovary est un ouvrage écrit en trois parties divisées en plusieurs chapitres. L'extrait que nous allons étudier appartient au chapitre cinq de la deuxième partie. Dans ce passage, Flaubert nous racconte la journée que M. et Mme Bovary, Homais et M.Léon ont passé à une demi-lieu de

l’héroïne une version zolienne et populaire de Madame Bovary. Mais ne faudrait-il pas souligner que dans L’Assommoir la problématique est d’abord positiviste avant d’être esthétique. Gervaise appartient certes à «un romantisme de la désillusion » dont les héros de Flaubert sont une sorte d’emblème, mais elle d’abord celle qui inaugure à un réalisme de la décadence et à un réalisme « décadent ». dans le premier cas par sa référence à une époque où le bonheur est une valeur rare, d’autant plus que l’histoire

tout simplement nouvelle. Pour cette dernière hypothèse, Aux Bonheur des Dames, écrit par Emile Zola en 1883 qui est le onzième volume des Rougons-Macquart retrace simplement la vie d’une jeune fille qui arrive a Paris, et doit se faire à cette nouvelle vie dans un grand magasin. Le roman est en quelques sortent un repère pour certaines personnes où l’identification du personnage pourrait presque se perdre avec la réalité. Madame Bovary , roman de Gustave Flaubert paru en 1857, dont l’héroïne, à

qui créer aussi une certaine impression du réel est lorsque dans les écrits, il y a des personnages mythique comme Dom Juan dans Dom Juan qui joue très bien son rôle de séducteur ce qui a pour effet de persuader le lecteur. Le plaisir de la fiction chez le lecteur est un point positif car il s’intéresse aux personnages et aux rebondissements de l'action comme dans Candide ce dernier voyage dans le monde mais le lecteur se demande comment va se terminer son voyage malgré les péripéties. La fiction

considération les pénibles labeurs ». Deuxième parties : description narrative, en décrivent les faits, ce qui sa passe dans les comices, le discours autre Rodolphe et Emma : « M. Derozerays se leva, commençant un autre discours », « Rodolphe avec madame Bovary, causait rêve, pressentiments, magnétisme ». Troisième partie : Discours entremêlé entre le discours d’Emma et Rodolphe avec le discours du Président qui s’exclament pour annoncer les affaires à vendre. Quatrième partie : L’entrée en scène de

dans le roman, il perd peu à peu son identité, son physique puis son caractère, ce n'est plus qu'une conscience dénuée de toute humanité. Ce n'est donc plus ce que l'on pouvait appeler un personnage de roman. Par exemple dans l'incipit de Du coté de chez Swann de Marcel Proust, le personnage n'a pas d'identité, tout ce que l'on sait de lui c'est que c'est aussi le narrateur car il parle à la première personne. Il ne nous dévoile rien de lui, si ce n'est ses pensées sur un livre qu'il lit le soir,

Les deux critiques conseillèrent alors à Flaubert de renoncer au lyrisme et de purger son esprit trop imaginatif en se consacrant à une histoire triviale. Ainsi commença la longue épopée qui devait l’amener à publier son premier grand ouvrage : Madame Bovary. En 1857, Flaubert a trente-six ans et son roman, parut dans La Revue de Paris, est un véritable événement littéraire. Plébiscité par le public de l’époque, il l’a été aussi par maintes générations de lecteurs qui se sont enthousiasmées pour la

Chabert ; Le Lys dans la vallée ; La Femme de trente ans ; La Peau de chagrin (etc.) BARBEY D’AUREVILLY, Une Histoire sans nom ; Le Chevalier Des Touches ; Une Vieille maîtresse DUMAS, Pauline; Georges DUMAS, fils La Dame aux camélias FLAUBERT, Madame Bovary; L’Education sentimentale GAUTIER , Le Capitaine Fracasse HUGO, Quatre-vingt-treize ; Le Dernier jour d’un condamné ; Notre-Dame de Paris ; Les Misérables (en partie) MAUPASSANT, Une Vie ; Bel-Ami ; Pierre et Jean ; Fort comme la mort SAND, Indiana