Le Bonheur Est Il Toujours à Venir

ivrogne disait: de la naissance à la mort, la route est bien courte. Je la prolonge en zigzagant." Claude Aveline '' Une déclaration d'amour est une opinion du coeur'' Raymond Carver ''La courbe de tes yeux fait la tour de mon coeur'' Paul Eluard " Le sage se demande à lui-même la cause de ses fautes, l'insensé la demande aux autres. " Proverbe Chinois " Le bonheur est comme l'écho : il vous répond : mais il ne vient pas. " Carmen Sylva " Le bonheur naît du malheur, le malheur est

La dynastie des Lhomme : -Mme Aurélie : employée du « Bonheur », première (chef de rayon) au rayon confections, femme de M Lhomme - M Lhomme : employé du « Bonheur », premier caissier, mari de Mme Aurélie -Lhomme Albert : employé du « Bonheur », caissier puis renvoyé, fils des Lhomme Les Baudu : -M. Baudu : oncle de Denise, tient une boutique de tissus -Colomban : employé des Baudu -Denise : normande, 20 ans, employée du « Bonheur », vendeuse au rayon confections puis renvoyée puis reprise

« Au Bonheur des dames » Emile Zola 1) Renseignements sur l’auteur et son époqueAu milieu du 19ème siècle,lors du Second empire, les grands magasins émergent dans les rues Parisiennes, de grandes usines attirent les clients et clientes de toute la ville en les séduisants avec des bas prix et de la bonne qualité. C’est cette pèriode qu’Emile Zola décida de figer dans un de ses plus grands romans, qui fût le onzième volume de sa suite romanesque Les Rougon-Macquart. Il l’intitula Au Bonheur des

sociale à laquelle a affaire un enfant lors de son arrivée dans le monde, la famille, mais aussi une modification de la place même qu'il occupe au sein de cette famille. Jusqu'à il y a encore peu de temps, la famille n'était pas seulement un champ privé ; elle était le premier lieu où se préparait pour le futur sujet à l'accession de la société dont il faisait déjà partie .C'est cette fonction de socialisation, d'humanisation, qui nécessite pour ce faire d'apprendre à l'enfant, à consentir à une perte

père a tué sa fille à cause que celle-ci souffrait physiquement et qu'elle était incapable de s’aider, car elle était quadraplégique. Cependant, elle n’a pas pue soumettre de consentement à l’acte de son père. Est-ce un acte que l'on peut considérer comme bien, comme un acte d'amour? À-t-il agi par devoir envers sa fille suite à un choix rationnel concernant la dignité humaine, alors que celle-ci vivait dans la douleur et l'inaptitude déchirante de s'occuper d'elle-même ? Comme justification à son

L’auteur, grand écrivain français du 19ème siècles, à la fois journaliste et leader du mouvement littéraire le naturalisme, se plonge dans l’univers du grand magasin, étudiant précisément sa création et son fonctionnement. Inspiré du « Bon Marché » crée entre autre par Aristide Boucicaut dans les années 1950, Zola, par une étude et des recherches approfondies, nous présente un roman complet et très précis qui finalement s’apprécie à la valeur d’un documentaire. Il replace cette œuvre naturaliste

Faut-il ne désirer que le possible? -I- Il faut ne désirer que le possible, c’est à dire ce qu’on sait avec certitude être accessible, car tout autre désir nous condamne à l’insatisfaction. Si le désir vise la satisfaction, désirer l’impossible c’est désirer l’insatisfaction ce qui est un désir contradictoire. On ne désire donc l’impossible que parce qu’on le croit possible: il faut donc ne désirer que ce qui est vraiment possible pour être heureux. (1)Désirer ce qui est vraiment possible

Le poème proposé à notre étude, nommé « elle était déchaussée », est extrait du recueil Les Contemplations, écrit en 1856 par Victor Hugo, grand écrivain romantique dont les créations poétiques ont rythmé le XIXème siècle. Cette œuvre se divise en deux parties : autrefois et aujourd'hui, dont la frontière est tracée par la mort de Léopoldine, fille de l’auteur. Faisant partie de la première partie, ce poème de style très romantique par ses thèmes comme par sa forme décrit le bonheur de la rencontre

Deschambault peut se lire comme une œuvre autobiographique où l’auteure, Gabrielle Roy, fait remonter à la surface des souvenirs de son enfance passée au Manitoba. Ces pensées ont aussi l’avantage de nous montrer comment l’auteure percevait le monde extérieur avec ses yeux d’enfant. Le thème du voyage revient abondamment dans l’œuvre de Gabrielle Roy et souligne le malaise vécu par les personnages, constamment à la recherche du temps perdu de leur enfance (le cas de Christine) ou encore tiraillés par un

JOURNÉE DU ROI A VERSAILLES. Le duc de Saint-Simon (1675-1755) quitta l'armée en 1702 et jusqu'en 1710, habita le château de Versailles. Esprit perspicace et critique, il observa tout. Dans sa vieillesse il rédigea ses Mémoires. Voici comment il décrit une- journée de Louis XIV : « A huit heures le premier valet de chambre, qui avait couché seul dans la chambre du roi et qui s'était habillé, l'éveillait. Le premier médecin, le premier chirurgien et sa nourrice tant qu'elle a vécu entraient