Le Bonnet rouge

Analyse d’œuvre / Un enterrement à Ornans/ 1849-1850 / Gustave Courbet/ CPD arts visuels 16 / Sophie Bonnet Analyse de tableau : Un enterrement à Ornans, 1849-1850 Gustave Courbet Gustave Courbet Un enterrement à Ornans, 1849-1850 Huile sur toile, 315X668CM Musée d’Orsay, Paris Un enterrement à Ornans est un tableau peint par Gustave Courbet entre 1849 et 1850. Le peintre avait 33 ans lorsqu'il réalisa cette œuvre de grande dimension qui fut l'objet d'une violente polémique lors de sa présentation

vêtement, ses mains sont devant lui et coller, il fait le signe de la prière. Il a la Bible posée devant lui sur un prie-dieu, ses jambes sont en dehors du tableau Il regarde la femme en face de lui. Cette femme est la Vierge, elle a un long habit rouge, avec un robe bleu en dessous, elle est également assise et tiens un bébé sur ses jambes, elle le tiens et le regarde. Le bébé est nu, et assis sur les jambes de sa mère, c'est le petit Jésus. Il lève sa main droite en faisant un signe de bénédiction

"Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Nous avons un enjambement entre le vers 1 et 2 qui met en valeur le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique : gradation Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille, croulent" - "f", "infinie, fumant" Sensation visuelle "rouge" et auditive

tous les Présidents de la Vème République. Les différentes piéces Le Vestibule d’honneur :C'est dans ce vestibule que selon le protocole, le Président de la République accueille les chefs d'Etats étrangers. Pavé de marbre blanc de Carrare et rouge royal Belge, le vestibule d'honneur est éclairé d'un lustre de bronze doré à 30 lumières. Sur la glace de la baie centrale se reflète une sculpture d'Arman, " Hommage à la Révolution française ", constituée de 200 drapeaux de marbre blanc à hampe de

peuple grâce à la chute de Charles X. Mais aussi grâce à la monarchie de juillet par Louis-Philippe qui est plus libéral. Les personnages représentés sur ce tableau sont: La liberté incarnant la révolte et la victoire. Elle est coiffées d'un bonnet phrygien évoquant la révolution de 1789. Et tient dans sa main le drapeau tricolore qui est un symbole de lutte. Son habit jaune et sa demi nudité rappel les drapés antiques. Le fusil qu'elle tient dans la main gauche la rend plus réelle et moderne

régions Etat unitaire : Un seul pouvoir politique au niveau national. Les habitants sont soumis à une constitution la même pour tous. L’Espagne est un état pour tous. UN ÉTAT A UN NOM Organisation en une république Drapeau tricolore (bleu blanc rouge) Un devise liberté, égalité et fraternité Un fête le 14 juillet Un hymne la Marseille Une langue officielle la marseillaise La France est une république les pouvoir et la chose de tous au moyen des élections. La France a eu cinq républiques :

l'apparition de la Liberté. Personnage ambigu (elle participe à l'insurrection, puisqu'elle tient un fusil, mais elle n'en fait pas partie comme "revendicatrice"), c'est une femme appartenant au monde symbolico allégorique : dénudement à la grecque, bonnet phrygien, drapeau curieusement tenu, comme pour faire des effets de jeu de drapeau, les autres insurgés ne paraissent d'ailleurs pas s'apercevoir de sa présence, si ce n'est le personnage à demi couché à plat ventre qui se relève pour la voir, peut

repris pas des fédérés de Marseille participant à l'insurrection des Tuileries. Ce chant devient l'hymne officiel en 1887 sous le IIIème République. Le drapeau tricolore : Sur ce drapeau la couleur blanche représente la monarchie, le bleu et le rouge, la ville de Paris, signe de « l'alliance auguste et éternelle entre le monarque et le peuple ». Celui-ci devient pavillon nationale le 15 février 1794. On peut le voir flotter aujourd'hui sur tous les bâtiments publics. Il est déployé lors des cérémonies

maladies par contact avec les aliments- mais aussi une application esthétique, la couleur chaude des casseroles en cuivre lorsqu'elles sont propres. « En toute saison, elle portait […] un bonnet lui cachant les cheveux […] un tablier à bavette, comme les infirmières d'hôpital » cette tenue vestimentaire (bonnet et tablier) a elle aussi, une connotation à la propreté; de plus Flaubert précises « comme les infirmières d'hôpital » on va ici jusqu'à l'hygiène. L'ordre est marqué par une juxtaposition

se décline dans des ton chaud ( rouge, orange et un peu de jaune ) on parlera pour ce procédé d’harmonie analogue ( les couleur se côtois sans se heurter ) , alors que lui-même est représenté dans des tons plus froid : son bonnet ( bleu et violet ), sa veste ( verte ), son visage et son bandage ( blanc et beige ) . Sa pipe noire semble être le pendant de son bandage blanc. Ses cheveux noir et largement ébouriffé sont en accord avec la fourrure foncé de sont bonnet. La palette de l’artiste est restreinte