Le Bonnet rouge

petite fille que tout le monde aimait bien, surtout sa grand-mère. Elle ne savait qu'entreprendre pour lui faire plaisir. Un jour, elle lui offrit un petit bonnet de velours rouge, qui lui allait si bien qu'elle ne voulut plus en porter d'autre. Du coup, on l'appela « Chaperon rouge ». Un jour, sa mère lui dit : - Viens voir, Chaperon rouge : voici un morceau de gâteau et une bouteille de vin. Porteclés à ta grand-mère ; elle est malade et faible ; elle s'en délectera ; fais vite, avant qu'il

empêcher ces derniers de dépasser le petit espace de terrain qui leur était concédé auprès de la grille impériale. À ces mouvements près, on aurait pu se croire dans le palais de la Belle au bois dormant. La brise du printemps, qui passait sur les bonnets à longs poils des grenadiers, attestait l'immobilité des soldats, de même que le sourd murmure de la foule accusait leur silence. Parfois seulement le retentissement d'un chapeau chinois, ou quelque léger coup frappé par inadvertance sur une grosse

lapin (l.20), soutache (l.21)» et des couleurs «rouge (l.20), or l(.23)» le lecteur peut ainsi visualiser la casquette. Il s'imprégne de ses formes, sa texture et s'en fait une reprèsentation personnel. Cependant, la casquette étant réprésentée comme une coiffure grotesque, le narrateur la compare à un «sac» (l.20). Son énumération qui présente quasiment tous les couvre-chefs «bonnet à poil, chapska, chapeau rond, la casquette de loutre et bonnet de coton» (l.13 à 15), fait l'objet d'une casquette

récupérer sans de dégats suplémentaires, et sauve un deuxième blessé grâce à sa technique célèbre de la ligaturation des artères au lieu d'utiliser le fer rouge pour éviter l'hémorragie. En Août 1545, il écrit son premier ouvrage se nommant : « La méthode de traiter les plaies faites par les arquebuques et autres armes à feu ». Ambroise Paré obtient le bonnet de chirurgien en 1554 avec l'aide du Roi malgré son language « barbare et corrompu » selon les jurés. Pendant la majeure partie de sa vie, il a été

le Père Noël a gardé la barbe blanche, le bonnet et les vêtements en fourrure rouge, de Gargan il a conservé la hotte et les bottes. Même si le mythe peut varier fortement d'une région à l'autre, notamment à cause du climat du 25 décembre qui peut aller du début de l'hiver dans l'hémisphère nord au début de l'été dans l'hémisphère sud, on l'imagine généralement comme un gros homme avec une longue barbe blanche, habillé de vêtements chauds de couleur rouge avec un liseré de fourrure blanche ; des

Le tableau : —> La liberté : elle est incarnée ici par une fille du peuple qui envoie un message de révolte et de victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme. La fille est mise en valeur car elle est au sommet du triangle, debout au-dessus des autres, et

Au centre du tableau on peut observer une femme avec les seins nu ce qui est très rare à l’époque et elle tient dans la main gauche le drapeau de la France. Dans sa main droite on y voit une baillonette qui montre la révolte. Cette femme porte le bonnet phrygien symbole de la liberté. A côté de la femme, on voit un enfant des rues qui tient dans sa main un revolver et en bandouillère une cartouchière. Cette enfant a inspiré le personnage de Gavroche dans les misérables de Victor Hugo. A l’arrière-plan

Réalisatrice : Zabou Breitman Antonin Chalon (Lucas Miller) Scénario : Agnès de Sacy et Zabou Breitman Bernard Campan (le père de Lou) Adaptation : du roman de Delphine de Vigan, Zabou Breitman (la mère de Lou) No et moi, 2007 Grégoire Bonnet (Monsieur Vargas) Producteurs : Frédéric Brillion et Gilles Legrand Guilaine Londez (Tante Sylvie) Images : Michel Amathieu Éric Valero (Oncle Éric) Son : Henri Morelle Genre : Comédie dramatique Prix obtenus : –   Lumières de la

Les Trois Glorieuses : les 27, 28 et 29 juillet 1830 les Bourbons sont renversés. le courant artistique ou littéraire : Le romantisme La liberté : au centre de la toile, une femme aux pieds nus(1), la tête de profil coiffée d’un bonnet phrygien rouge (Révolution de 1789) ; la poitrine dénudée, franchit une barricade. Son visage tourné vers les combattant derrière elle et l’avancée de sa jambe lui donne force et dynamisme. Elle semble mener le peuple vers la victoire, brandissant un drapeau

République à Paris. On voit la statue de la République derrière la tribune où de Gaulle s’est installé. Les deux lettres RF, République française, sont apposées au pied de la tribune mais aussi comme un leitmotiv sur la banderole rouge. Les couleurs, bleu blanc rouge, du drapeau républicain (lui-même immense), sont omniprésentes. Commentaire. Le général de Gaulle présente le texte le lendemain de son adoption en Conseil des ministres. Tout est fait dans le rituel et le décor choisis pour affirmer