Le Bourgeois Gentilhomme Et Le Classicisme

Critique de l’École des femmes, L’Impromptu de Versailles, 1663, Don Juan, 1665, Le Misanthrope, Le Médecin malgré lui, 1666, Amphitryon, L’Avare, 1668, Tartuffe, 1669, les trois premiers actes avaient été joués en 1664, et la pièce interdite, Le Bourgeois gentilhomme, 1670, Les Fourberies de Scapin, 1671, Les Femmes savantes, 1672, Le Malade imaginaire, 1673. 4 5 L’homme vrai Ahmed se fâche de Alain Badiou, mise en scène Christian Schiaretti, 1995 © Gérard Rondeau (d.r.) Molière, c’est le grand homme

1670 Première du "Bourgeois gentilhomme" A Versailles devant Louis XIV et sa cour, Molière donne la première représentation du "Bourgeois gentilhomme". Satyre de la bourgeoisie française de l'époque, la pièce dépeint un personnage délirant d'imagination, qui se prend à son jeu de grand seigneur. La pièce est une "comédie-ballet", comme beaucoup d'oeuvres de Molière. La musique est signée par son fidèle compagnon, le compositeur Lully. A 47 ans "Le Bourgeois gentilhomme", est une des dernières

», « Giselle » IV – Le ballet classique et l’influence russe 1°) L’école italienne et danoise 2°) Les grandes figures venues de Russie a°) Marius Petipa b°) Diaghilev et les Ballets russes c°) Un classicisme neuf: Balanchine d°) Serge Lifar 3°) Le ballet en U.R.S.S. après la révolution 4°) Le classicisme moderne en U.R.S.S. V – La naissance du ballet moderne 1°) Isadora Duncan 2°) L’expressionnisme allemand 3°) La création aux États-Unis a°) Greffe expressionniste b°) Les pionniers de la danse moderne

un jeune homme amoureux avec Molière et Racine, un des trois grands auteurs de e dante et variée, puisque Corneille s’est illustré tant dans la comédie que dans la tragédie. Auteur baroque (L’Illusion comique, 1636), Corneille donne aussi au classicisme français quelques-unes de ses plus grandes œuvres (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643). Sa pièce la plus connue reste néanmoins Le Cid (1637), une œuvre qui suscite en son temps la controverse (la fameuse que- relle du Cid), en raison

Blaise Pascal... Ces auteurs moralistes ont cherché à instruire et à donner une portée morale à leurs écrits, dénonçant les défauts, les vices des Hommes 3. 2ème moitié du 17è s. : les romans du classicisme En réaction aux excès et invraisemblances se développe le classicisme. Les romans classiques se caractérisent par l'ordre, la sobriété. Le roman devient plus réaliste et s'oriente vers une analyse psychologique des personnages. Son but est de plaire et instruire

avec un destin inéluctable. Arnolphe veut fabriquer un être à sa mesure. En scène pendant trente et une scènes (sur trente-deux), il mène son combat en multipliant les gestes propitiatoires. Il y a un défi en lui, mais c'est un défi de démiurge bourgeois, aspiré par le conservatisme, hanté par un rêve enfantin et destructeur. Autour de lui, un groupe de gens qui n'est pas encore la famille constituée des pièces à venir fait résistance à cette tyrannie obsessionnelle. Il tente de révéler au tyran

et son contraire Boutade : transport d'esprit impétueux et sans raison Indiscrète : insensé (boutade indiscrète : emportement insensé) En effet : dans les faits, effectivement, réellement Feux : amour Le porte bien plus haut : est bien plus fier Gentilhomme : noble Frotté d'importance : battu fortement D'autant de bois : de coups de bâton > LA MISE EN SCÈNE DE FRÉDÉRIC FISBACH Acte III, scène 9 Fondre : se jeter violemment Viens çà : viens ici L'objet : la femme aimable Coup de revers

âmes se confondent. Montaigne fait donc l’éloge d’une amitié exceptionnelle, à l’inverse de Molière qui après lui fera une critique de l’hypocrisie dans l’amitié. Texte analytique Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière: (1622 - 1673). Classicisme. En 1643, il fonde avec la comédienne Madeleine Béjart l’Illustre-Théâtre. Acteur, auteur et bientôt chef de troupe, il devient « Molière ». Mais ses tragédies sont des échecs. En 1645, c’est la faillite. Il fonde avec Madeleine une nouvelle troupe

courtisans, soucieux de plaire au roi ou aux Grands, sont les cibles privilégiées de La Bruyère. • L’idéal de l’honnête homme. Au xviie  siècle, le modèle est l’« honnête homme ». Cultivé, modéré et sociable, il fuit les excès de la passion. • Le classicisme. À contre-courant de l’esthétique baroque qui domine en Europe à cette époque, Louis XIV impose le modèle classique inspiré de l’Antiquité. La Bruyère d’ailleurs commence par traduire Les Caractères de Théophraste (ive siècle av. J.-C.). Rien ne

extérieures ou intérieures aux personnages ? D. Isole la situation initiale de l’action ainsi que son issue car cette dernière détermine souvent le genre auquel appartient la pièce. E. Au xviie siècle, en France, époque à laquelle triomphe le classicisme, les théoriciens du théâtre comme Boileau, dans son Art poétique, préconisaient de respecter la « règle des trois unités » (énoncée par Aristote dans l’Antiquité) pour favoriser l’illusion réaliste. Ces trois unités sont : ▪ l’unité de temps :