Le Bourreau C Est Chacun De Nous

Hugo. Ces textes ont été rassemblés parce qu'ils produisent tous deux le même effet sur le lecteur : l'inquiétude. Pourquoi peut-on dire que malgré leurs différences les personnages sont tous deux dérangeants ? Après avoir analysé la description de chacun des textes, nous aborderons les différences qu'il existe entre les deux personnages puis nous pencherons sur l'inquiétude qui émane d'eux deux. Les deux textes dressent des personnages un portait très détaillé. Dans La Momie, l'auteur s'attarde

voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc ; Car pour lui dérober ses larmes de résine, L’homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur le

je me suis dit, comment peut-on mettre ensemble trois personnes sans jamais faire sortir l'une d'elles et les garder sur la scène jusqu'au bout comme pour l'éternité. C'est là que m'est venue l'idée de les mettre en enfer et de les faire chacun le bourreau des deux autres. Telle est la cause occasionnelle. Par la suite d'ailleurs, je dois dire, ces trois amis n'ont pas joué la pièce et, comme vous le savez c'est Vitold, Tania Balachova et Gaby Sylvia qui l'ont jouée. Mais il y avait à ce

leurs victimes. Ils ne les voyaient pas comme des êtres humains mais comme une sorte de résidus de l’espèce humaine, tout juste bonne à corrompre la race supérieure qu’était la race Aryenne. C’était donc bien cette différence fondamentale entre le bourreau et sa victime, qui a certainement pu permettre l’ampleur de l’élimination systématique des Juifs. C’est dans ce sens là que Lévi Strauss déclarait dans Race et Histoire : « Le barbare c’est d’abord celui qui croit à la barbarie ». Cela signifie que

connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent ni les mêmes convictions ni les mêmes goûts. Dans cette pièce débute alors un procès à huis clos où chacun des trois personnages juge et est jugé sur les actes qui composent son existence. Jean-Paul Sartre nous décrit ici « son enfer » avec brio dans lequel il n'y a ni bourreau, ni d'instruments de torture physique : « l'enfer, c'est les autres ». Cette phrase, qui a valu à Sartre les pires accusations, explique seulement que la vie « se

changement si ! 2. On demande ma joie en un jour si ! 3. Mais je viens de savoir quel malheur/ D’un fils victorieux a suivi la valeur. 4. L’abandonnerez-vous à l’ couteau/Qui fait choir les méchants sous la main d’un bourreau ? ce trépas a des charmes 5. Pour un cœur 4 Pour chacun des termes suivants, proposez un synonyme qui respecte l’intensité de ce terme dans la langue classique. 1. Gêner : 2. Étonner : 3. Charmer : 4. Ennuyer : 5. Éprouver : © Nathan 2011 – Terre des lettres 4e – Livre

chambre ni l’appeler avec la sonnette. Il lui dit également qu’il n’y a rien dehors de la chambre sauf un couloir et d’autres chambres. Puis, le garçon s’en va. Peu après, le garçon revient et avec lui se trouve Inès. Inès pense que Garcin est le bourreau. Garcin se présente pour rompre la glace. Inès est très sèche et Garcin lui propose qu’ils ne se dérangent pas et qu’ils restent très poli l’un envers l’autre. Après cette conversation, Estelle entre et dit à Garcin qui a son visage entre ses mains

voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc ; Car pour lui dérober ses larmes de résine, L’homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur le bord

l’impression d’exister. Quand on n’est ni une fille ni un garçon, on n’est rien. . À sept ans, elle devient amoureuse d’Éléna, une fillette italienne. ELle n’avait jamais eu besoin des autres avant. Elle lui est absolument soumise. Éléna est son bourreau. Amélie est sa victime. Elle ne lui refuse rien. Elle lui donne tous les droits, même ceux de l’humilier et de la diminuer. . Amélie a le sens de l’humour (on le retrouve dans ses oeuvres). Elle est entourée d’affection. Elle a une image positive

hauteur. Dans chacune des 2 répliques il est question de père , de gloire. C refuse la lâcheté du renoncement , tout 2 manifeste leur héroïsme en sacrifiant leur tendresse, leur amour réciproque et leurs gloires d’être à la hauteur de l’attente de l’autre. La logique implacable du code de l’honneur les oblige à être aussi généreux autant l’un que l’autre. C dans sa volonté de poursuivre R en justice et son refus de le tuer, elle opère une distinction entre partie et bourreau «Vas ,je suis ta