Le Cabaret de la dernière chance

Commune : base de l’action intercommunale ; lieu d’accueil et de travail pour les équipes artistiques ; centre de ressources sur les écritures dramatiques, le multimédia, le rapport entre patrimoine vécu local et création artistique (ces deux dernières thématiques ont dû être abandonnées après 2005, faute de moyens pérennes). La Fabrique ouvre avec trois équipes artistiques associées (compagnie Hendrik Van Der Zee – Guy Alloucherie ; Metalovoice ; Station Mir). Elle marque ainsi d’emblée une

des fonctionnaires… que sais-je ?… — Réveillez-vous, colonel… Quarante minutes d’arrêt pour la douane… Nous allons nous dégourdir les jambes… — Hé quoi ! fit le colonel… Sommes-nous à la frontière ? — Peu s’en faut… vous le savez bien : voici la dernière station avant le Fort. — Diable… Tenez : à gauche, la maison en briques rouges… où l’on aperçoit des primevères dans le petit parterre, hein ?… C’est la demeure du bourreau… — Ah ! ah !… la demeure du bourreau… Il y a beaucoup d’assassins parce qu’on

maisons furent fermées le 13 avril 1946. Le One Two Two et le Sphinx Dès 1939, les maisons closes connaissent la pénurie de clients. Pour attirer la population masculine et aisée, une nouvelle sorte de maisons fait son apparition: le One-two-two 7, cabaret bordel, où de grands noms se croisent: Colette, Marlène Dietrich, Jean Gabin, Sacha Guitry... La maison est composée de dix salons, vingt-deux chambres, et abrite une soixantaine de pensionnaires6. Le One Two Two s'essoufflant, Le Sphinx fait son

diminution de mon audition mais aussi le début de ma perte de mémoire. Malgré ces obstacles qui me prédestinaient à une difficile période scolaire et professionnelle, j’ai pris la décision de poursuivre mes études et surtout de me donner les chances de réussir. Ce mémoire est pour moi la preuve que lorsque nous voulons atteindre un objectif, rien ne peut nous arrêter. Cette réussite sur la maladie a été possible grâce à de nombreuses personnes qui m’ont soutenu et permis d’aller au bout

vocabulaire, l’orthographe… « Bien ennuyeux ! », diront certains (certaines), en revoyant le tableau noir (ou vert), la craie, une époque qu’on voudrait peut-être oublier, l’impression d’avoir perdu son temps ou, peut-être, de n’avoir pas saisi la chance d’une culture qui nous aurait servi… après. Car l’après du collège est venu, et les « manques » se font sentir : savoir s’exprimer avec aisance, par oral, mais aussi par écrit, dire, se dire, s’expliquer, se faire comprendre. Capital, n’est-ce pas

insiste, et avec raison, sur ce fait contradictoire que son père l’aurait appelé avant de l’avoir vu ; il insiste aussi sur le refus du fils de donner aucun détail sur sa conversation avec son père, et enfin sur sa singulière déposition touchant les dernières paroles qu’aurait prononcées le mourant. Il fait remarquer que ce sont autant de preuves à charge contre l’inculpé. Holmes sourit malicieusement et s’étala de tout son long sur le coussin capitonné du wagon. — Vous avez tous deux, le coroner et

vocabulaire, l’orthographe… « Bien ennuyeux ! », diront certains (certaines), en revoyant le tableau noir (ou vert), la craie, une époque qu’on voudrait peut-être oublier, l’impression d’avoir perdu son temps ou, peut-être, de n’avoir pas saisi la chance d’une culture qui nous aurait servi… après. Car l’après du collège est venu, et les « manques » se font sentir : savoir s’exprimer avec aisance, par oral, mais aussi par écrit, dire, se dire, s’expliquer, se faire comprendre. Capital, n’est-ce pas

à Paris mais son mariage avec Steve, a retardé ce retour. Depuis le divorce, il y avait 2 ans, elle était revenue dans sa ville natale. p. 175 (flashback) La cause du voyage en Egypte était une lettre de l’avocat de Lysia. Elle avait de bonnes chances de récupérer une partie de ses biens, ou du moins d’obtenir des compensations. En Egypte elles logeaient chez Laurice, une amie d’enfance. Mais Laurice n’avait plus les moyens d’entretenir son appartement de 9 pièces. Mais chaque après-midi, elle

lieues. Mais tous avaient le geste, l’envolée de la semence, que l’on devinait comme une onde de vie autour d’eux. La plaine en prenait un frisson, jusque dans les lointains noyés, où les semeurs épars ne se voyaient plus. Jean descendait pour la dernière fois, lorsqu’il aperçut, venant de Rognes, une grande vache rousse et blanche, qu’une jeune fille, presque une enfant, conduisait à la corde. La petite paysanne et la bête suivaient le sentier qui longeait le vallon, au bord du plateau ; et, le dos

groupe Mme Mme M. M. EV1 (R) M. CEN Mme M. Mme M. LCL (R) Mme M. M. M. COL (R) M. M. CEN Méd/C. M. CBA LV (R) M. M. M. M. EV1 (R) Mlle M. CDT M. LCL (R) M. M. COL M. M. M. Mme ADAM BERNON BESSERVE BOYER CABARET CANCELLIERI CHAINE CHARBEAU CRAMPON DAUPHIN DE MULLENHEIM DE SAINT MARTIN DEROCHE DESLOIRE FERIER GEORGES GIROT GONDARD GREMAUD GUILLOU HAMON HERVO IANNI JAYR JOLLIVET JONNET JOSSERAN LAMIRAND LE BEILLAN LEFEEZ LUCSKO MATTEI