Le Cabinet des Antiques

pièces aménagées à partir de 1804 pour l’usage de l’Empereur (chambre, cabinet de travail, salon particulier, salle de bain, salon des Aides de camp et antichambre). C’est dans cet appartement que Napoléon Ier abdiqua le 6 avril 1814. Salle du conseil  La pièce est décorée dans le style Louis XV. SALON DE L’ABDICATION La pièce où Napoléon signa son abdication. Salon Louis-XIII Cette pièce dite « chambre Ovale », « cabinet du roi » (sous Henri IV) ou encore « salon Louis-XIII » rappelle la naissance

XIII, on trouve les sculptures en pointes de diamants et croix de Malte. L’usage du tour, dont la mécanique s’est perfectionnée, est important. On en fait des colonnes en torsades, en balustre ou en chapelet qui forment les piètements des tables, cabinets, chaises à dos, chaises à bras. Les accotoirs s’animent d’une tête de femme sculptée dans la masse, de mufle, de lion ou de petits personnages. II n’existe pas de table de salle à manger, puisqu’il n’y a pas de salle à manger. On aime le vert

L’élection constitue l’institution centrale du gouvernement représentatif. » p. 19 : « Le gouvernement représentatif n’accorde aucun rôle institutionnel au peuple assemblé. C’est par là qu’il se distingue le plus visiblement de la démocratie des cités antiques. » p.. 305 : « Conçu en opposition explicite avec la démocratie, ce régime passe aujourd’hui pour l’une de ses formes. Le terme de peuple désigne évidemment, à présent, un ensemble beaucoup plus vaste qu’au XVIIIe siècle : l’avènement du suffrage

régime de diffèrent homme politiques, et de différentes systèmes (Empire de Napoléon et Monarchie de Juillet). Il a donc vu s’affaiblir la noblesse et triompher la bourgeoisie, dont il va se moquer dans son œuvre. Il commença à rédiger « Le Cabinet des Antiques » en 1833, qui fait parti de « La Comédie humaine ». Le livre s’ouvre sur la première Restauration de Louis XVIII. L’édition finale de l’œuvre sera publie qu’en 1844 après un premier publication en 1836 et un deuxième en 1839. Ces écarts de

de prescriptions non médicamenteuses. Ils participeraient ainsi au rééquilibrage du système de santé, du curatif vers le préventif". En voilà une proposition vraiment novatrice: d'ailleurs c'est ainsi que fonctionnaient les médecins dans la Chine antique! Et pour étayer son analyse, ce rapport met en avant cinq propositions concrètes : 1) Ouvrir une plateforme d’information recensant les connaissances actuelles sur les médecines non conventionnelles, les plantes médicinales et les praticiens du

grec « lecteur ».   2.1 ) La relativisation de la culture livresque   Par rapport à l’enseignement scolastique, entièrement livresque, la part de la culture livresque est considérablement réduite. Cette culture comprend la Bible et des romans antiques ou de chevalerie. Les ouvrages scolaires sont abandonnés. Rabelais va de ce point de vue plus loin que les autres humanistes, même Erasme. La part de lecture est considérablement réduite, et Gargantua ne recopie plus les ouvrages comme un scribe

Nucingen. 1821-1822 : Illusions perdues écrit de 1836 à 1843 Rastignac, devenu expert en luttes d’influence, louvoie dans la société. Il sait aussi bien éliminer ceux qui le gênent que se mettre dans le sillage des hommes qui montent. 1822 : Le Cabinet des Antiques écrit en 18331 Rastignac est devenu membre à part entière du monde des « roués Parisiens », ces meneurs de la société qu’il admirait tant lors de son arrivée à Paris. 1823 : Étude de femme paru en février 1830, publié en volume en 1831, remanié

la naissance d'Œdipe, Laïos et Jocaste, ses parents, ont consulté l'oracle de Delphes, qui leur a prédit que s’ils avaient un fils, celui-ci tuerait son père et épouserait sa mère. La raison d'un tel oracle est assez floue. Certains mythographes antiques, comme le Pseudo-Apollodore [2] et Athénée [3] y voient une punition pour Laïos, qui aurait enlevé et violé Chrysippe, le fils de Pélops ; le problème est que les textes qui semblent consacrés à cette histoire ont été perdus, et qu'aucun des textes

érudite elle-même, elle a voulu obtenir des oeuvres d’artistes alors les plus recherchés (Vinci, Francia, Bellini, Costa, Pérugin) sans toujours y parvenir. Elle a demandé au peintre de la cour de composer des tableaux allégoriques pour orner son cabinet d’étude, son «studiolo» amménagé dans le Castello San Giorgio. La série des cinq tableaux ont été transférés selon le voeu de la jeune femme dans ses appartements de la Corte Vecchia, vers 1519-1522. Lors de la dispersion des collections des Gonzague

d’apprécier le style fonctionnel de Louis Sullivan qu’il n’a jamais rencontré. Il est impressionné par l’efficacité de l’architecture américaine. 1896 : De retour à Vienne, il travaille pour l’architecte Carl Mayreder. En 1898, LOOS ouvre son propre cabinet à Vienne. Là, il se lie d’amitié avec le philosophe Ludwig Wittgenstein, le compositeur expressionniste Arnold Schönberg, le satiriste Karl Kraus, et d’autres penseurs libres. Il s’oppose radicalement à la volubilité des adeptes de la Sécession viennoise