Le Capitalisme Dans Germinal

plus qualifiées (documents médicaux, gazettes judiciaires, études historiques, coupures de presse, traités théologiques...). Il nourrit son travail d'enquêtes minutieuses réalisées sur le terrain, à la manière d'un journaliste. Zola, avant d'écrire Germinal, n’a pas hésité à descendre dans une mine. XVI - Les genres de la littérature Réaliste 1. Le roman La littérature Réaliste consacrera le roman, genre jusqu'alors négligé et mineur. Parce qu'il autorise toutes les libertés formelles, le roman

qui va opposer opprimeurs et opprimés, dominants et dominés. C'est le mode de fonctionnement de toute société. Simplement, le fondement de cette oppression change avec le mode de société. La société bourgeoise moderne qui voit s'épanouir le capitalisme est aussi celle qui voit les antagonismes de classe se réduire à la lutte entre deux seules classes : la classe des capitalistes, ceux qui détiennent de manière privée le capital, c'est à dire les moyens de production et qui les utilisent en exploitant

plus qualifiées (documents médicaux, gazettes judiciaires, études historiques, coupures de presse, traités théologiques...). Il nourrit son travail d'enquêtes minutieuses réalisées sur le terrain, à la manière d'un journaliste. Zola, avant d'écrire Germinal, n'hésitera pas à descendre dans une mine. V) Genres de la littérature réaliste : La littérature réaliste est caractérisée pour l’essentiel par les romans produits en Europe et aux États-Unis entre 1840 et 1890, époque où le réalisme céda la place

publique, hantée par les traumatismes de la Grande Guerre et confrontée aux incertitudes du présent, se tourne à son tour vers un passé qu'elle est d'autant plus portée à idéaliser qu'elle le sait disparu à jamais avec l'hécatombe de 1914 et le franc germinal. L'expression « Belle Époque » n'est due ni à un écrivain ni à un journaliste ; elle apparaît spontanément dès 1919 dans un climat où, « par tous ses noyaux pensants, [l'Europe] a senti qu'elle ne se reconnaissait plus, qu'elle avait cessé de se

Mini-Mémoire Germinal D’Émile Zola Sommaire du Mini-mémoire I. Introduction ------------------------------------------------------------------- p.3 II. Biographie de l’auteur ---------------------------------------------------- p.4 1. Enfance ----------------------------------------------------------------- p.4 2. Études et influences --------------------------------------------------- p.4 3. Librairie Hachette -----------------------------------------------------

porte un regard critique sur le monde : Voyage au bout de la nuit Louis- Ferdinand Ce
 line. Son personnage Bardamu est sans cesse confronte
 a! la violence de la socie
 te
 de ce de
but de sie!cle (la IGM, le capitalisme, le colonialisme. Bardamu est l’arche
type de l’antihe
ros, personnage devenant la, che, cynique a! cause de ses

voit, Zola décide de faire entrer les ouvriers dans la littérature autrement que silhouettés. Aussi peindra-t-il les petits artisans et les ouvriers de la Goutte-d’Or ; aussi décrira-t-il les mineurs en lutte contre les possesseurs du capital dans Germinal (1885) et le monde des cheminots dans La Bête humaine (1890). Publié d’abord en feuilleton dans plusieurs journaux, L’Assommoir parut en volume chez Gaston Charpentier à la fin du mois de janvier 1877. Tous les lecteurs attentifs de ce roman en connaissent

l'externalité positive, et de faire payer l'externalité négative (réglementation, taxation...). Pigou ouvre ainsi un vaste domaine d'action à l'État, renouvelé aujourd'hui par la problématique de l'environnement. L'État vu par les auteurs critiques du capitalisme a) L'État, élément de la « superstructure » selon K.Marx L'histoire est le produit des affrontements entre classes dominantes et classes dominées pour Marx. L'État est le garant des intérêts des dominants. Ainsi depuis 1848, il est clair que

n’est plus un problème. L’air de l’industrialisation est récent. La révolution juridique va supprimer toute les réglementations antérieures, maintenant c’est le règne de l’initiative individuelle. Le 19ème siècle est devenu le siècle du capitalisme. Le capitalisme est fondé sur l’industrie, sur le capital…. C’est une époque extrêmement dynamique. Le crédit joue un rôle de plus en plus important, les valeurs mobilière se développent et on va avoir des entreprises gigantesques tout ça s’accompagnant

énorme monstre rampant, l’armature métallique prend une couleur de braise déclenchant dans l’imaginaire du lecteur un gigantesque incendie. Cette description déclenche chez le lecteur une réaction de rejet de ces « grands magasins », expression du capitalisme moderne dévorant le petit artisanat et le petit commerce que défend Zola. Dans cet éclairage que le roman doit apporter sur la réalité, le personnage joue un rôle central. En effet, tout récit est le récit d’événements qui arrivent