Le Cercle Infernal

casque, leurs vêtements, leurs armes. Le blanc présente la mort. Le rouge vif décrit l’horreur de la guerre, son côté dramatique, le sang que la guerre a fait couler. ● Quand on regarde la chronologie dans le tableau on voie que sa forme un cercle vicieux infernal : a gauche les soldat partent au front, au milieux ils subissent l’horreur, à droite les blésées qui rentre peut être chez eux ou au camps. La prédelle peut indiqué le repos ou la mort. Ma is dans tous les cas, le tableau dénonce l’éternel

de situation, de caractère, de mot et de mœurs. La structure d'Andromaque est celle d'une chaîne amoureuse à sens unique : Oreste aime Hermione, qui veut plaire à Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime son mari Hector qui est mort. C'est un cercle infernal. L'arrivée d'Oreste à la cour de Pyrrhus marque le déclenchement d'une réaction qui, de maille en maille, va faire exploser cette chaîne. Les grands thèmes d'Andromaque sont l'amour et la haine : ces deux thèmes sont profondément liés chez Racine

alors qu’ils ne sont même pas encore morts. Il dit que « au-delà » c’est « l’autre enfer » c’est-à-dire qu’il se trouve actuellement dans la vie et qu’elle est déjà un enfer, et le « au-delà » renvoie à la mort qui promet d’être elle aussi un espèce infernal. Autrement dit Dieu n’existe plus et ne propose pas aux homme le paradis, seul Satan accueille les morts après les avoir enfermés dans une vie de douleur et de dégradation. Ce refus d’existence de Dieu est exprimé à la page 74 lorsque Hamm dit « Bernique 

connaissance de cause. » La gradation qui structure cette définition indique implicitement des degrés dans le mal. De fait si le mal est un enfer, il obéit à la même topographie en cercles concentriques que celui de Dante dans sa Divine comédie : à la périphérie on trouve ceux qui font le mal sans le vouloir, dans le premier cercle sont réunis les hommes mauvais qui font le mal volontairement ; dans le dernier, proches du diable, les méchants sont ceux qui font le mal en toute lucidité, avec une intention

des faits et aspirent à des nouvemants aux quels la pensé m'est désagréable et la conseption fastidieuse ... Ces actes, à moi, inscencés ainsi que ce qu'ils impliquent concluent cette patie, je le crois, car , bien que l'on pourrait complèter le cercle par “ce qu'elles ont”, leures impliquencent te provoquent en moi un immence dégout et une profonde répultion . Tortueux, troublés, se déchirant les uns aux autres, il m'était impossible de me faire et de me fondre à leurs dirs et en leus manières

l’ont envoyé est pour lui une source d’ennuie. Il publie en 1860 le court poème « les girafes », qui fut sa première approche avec la poésie. Il s’inscrit à la faculté de droit mais abandonne ses études leur préférant la fréquentation de cafés et de cercles littéraires parisiens. Il commence à s’intéresser plus sérieusement à la poésie en 1863 et un de ses poèmes, « Monsieur Prudhomme » est publié dans une revue littéraire. Il publie en 1866 les « Poèmes saturniens » et en 1869 parait le petit recueil

des autres dans un bonheur parfait. Mais un cruel destin va briser cette harmonie familiale. C'est d'abord la mère d'Éric qui fait un accident mortel. Incapable de supporter ce tragique événement, son père sombre dans l'alcool. S'ouvre alors un cercle infernal alimenté par la cupidité, l'infidélité, l'ingratitude, la méchanceté... et la mort. Cette succession de faits cruellement coordonnés finira par livrer le petit garçon à la misérable vie de la rue. Un roman tonique qui décrit avec éloquence

s’est libérer de cette dernière, qu’il ne se met pas lui-même en danger. Car la nature concerne l’environnement humain, donc si celle-ci est mise en danger à cause de l’essor de l’industriel, l’Homme est menacé lui aussi. Et c’est alors qu’un cercle infernal se met en place car si le progrès technique menace la nature, il menace l’Homme aussi, car sans nature, l’Homme n’a plus de ressources, n’a plus rien à partir de quoi il pourra créer, à partir de quoi travailler. Alors comment l’Homme pourra-t-il

lectures a faillit lui coûter une main : « un jour que je racontais à table les aventures de Scaevola, on fut effrayé de me voir […] tenir la main sur un réchaud pour représenter mon geste ». Ensuite, la lecture peut nous emprisonner dans un cercle infernal, car l'envie de lire nous hante, comme elle fit dans Madame de Bovary, où les personnages « aval[ent] de longs chapitres dans les intervalles de [leur] besogne ». Après avoir examiné cette idée, il convient d'analyser le fait que la lecture

poésies du jeune Cocteau8. Portrait de Jean Cocteau peint entre 1910 et 1912. Il publie son premier recueil de poèmes à compte d'auteur, « La Lampe d'Aladin » inspiré des Mille et Une Nuits, à 20 ans (1909)9 et devient alors connu dans les cercles artistiques bohème comme le « prince frivole ». C'est sous ce titre qu'il publie à 21 ans, en 1910, son second recueil de poèmes. Edith Wharton le décrit comme un homme pour qui « chaque grande ligne de la poésie était un lever de soleil, chaque coucher