Le Cercle Vicieux De La Déflation

production. Il faut distinguer la croissance exogène (en dehors) et endogènes (intérieur). La croissance exogène = croissance stimulée par des facteurs extérieurs. La croissance endogène et l'observation des phénomènes auto entretenus qui amènent un cercle vertueux. La mesure de la croissance Pour observer la croissance, il est indispensable de posséder d’une comptabilité nationale qui donne la mesure macro-économique et qui donne l'activité des actions des agents économiques. L'objectif du TEE et

s’ensuit un fléchissement de la consommation et de l’investissement, et donc une baisse de la production et une hausse du chômage. L’ardeur des ménages et des entreprises étant de ce fait encore plus refroidie, l’économie se trouve piégée dans un cercle vicieux. L’Etat peut alors décider de renverser la vapeur en augmentant ses propres dépenses ou en diminuant les impôts, quitte à provoquer un déficit budgétaire momentané : c’est la politique budgétaire expansionniste. A l’opposé, lorsque l’économie

vont pas leur être remboursés. Entre 1814 et 1817, 240 institutions de crédits ont fait faillite en UK. L’Angleterre qui était à l’époque le pays leader va entrainer l’éco mondiale dans sa crise, après la phase inflationniste débute une phase de déflation qui alimente la baisse de la production. Une crise classique est donc une crise qui a son origine dans le domaine agricole et qui est un phénomène de surproduction. L’ouverture de la Russie va stimuler le crédit des banques pour investir en Russie

vont se mettre à baisser aussi, Cette déflation est quelque chose de très grave pour une économie. Les prix varient, s’ils baissent, à partir du moment où tout le monde intègre l'idée que les prix vont continuer à baisser, alors on est plus dans la préférence du présent, on est incité à attendre pour acheter le même produit moins cher plus tard, cela retarde la consommation. Plus la déflation est générale, plus la consommation est freinée. En période de déflation les gens anticipent sur la baisse de

sont constituées par des immeubles surévalués ou par des actions également surévaluées… L'afflux de capitaux étrangers est, de son côté, facilité par la politique monétaire expansive que mène la banque centrale japonaise pour lutter contre la déflation. Mais les créanciers étrangers réduisent progressivement leur exposition au cours de l'année 1997 et le 2 juillet 1997, les autorités thaïlandaises doivent laisser flotter le bath. Le piège se referme alors sur les économies de la région : crise

produit 2 sortes d’effets qui contribuent de façon décisive à un bon fonctionnement du marché : · Effet de stimulation de l’activité éco · Effet de régulation du marché A. L’effet de stimulation de l’activité économique. Si les prix baisses è déflation, catastrophe, les consommateurs vont retarder l’achat de biens de consommations car ils attendent la baisse des prix, les entreprises et industriels font de même, ils retardent aussi la reconstitution de leur stock puisqu’eux aussi sont dans l’attente

croissance La consommation influe fortement la croissance d'un pays la consommation est un élément important de la demande globale Une relance de la consommation peut permettre la création d'emplois (Schéma Kennethien ==> cercle vertueux) Épargne : partie du revenu qui n'est pas utilisé pour la consommation . Les raisons qui incitent les ménages à épargner sont diverses et l’épargne peut prendre différentes formes. Elle évolue également dans le temps. Définition :

il s’agit d’un moment clé. Plus tard, Galbraith lui-même évoquera la « force créatrice de la Grande Dépression » relevant à son tour la stupeur et l’impuissance de l’orthodoxie économique de l’époque face à la dépression et à ses conséquences déflation, chômage, pauvreté. À partir de 1971, il enseigne dans plusieurs universités européennes. Il élabore son corpus théorique dans un cadre aux tendances à la fois keynésiennes et surtout institutionnalistes, tout en restant très hétérodoxe

les agents. Dès lors les keynésiens estiment que les revers économiques sont incriminables à l’instabilité normale du marché, l’affaissement rapide de la demande de fonds suite à une perte de confiance irrationnelle amène à une succession de cercles vicieux. Friedman estime que les échecs économiques ne sont que la conséquence de politiques monétaires nuisibles. Par conséquent les réactions de l’un et de l’autre camp face à la crise sont éminemment opposées. Les keynésiens estiment qu’en cas de

risque de la dévaluation : ce qui pose problème quand on dévalue à court terme, la facture énergétique augmente, les pays du moyens orient établissent des transactions avec l’euro (double convertibilité, pétrole en dollar et en euro) + risque de déflation. A long terme, une grande partie des biens liés à la production industrielle ne sont plus fabriqués en France, ils risquent de coûter plus cher. Deuxième cas, le court risque de dévaluer, et déséquilibrer le risque économique. La réussite allemande