Le Cercle Vicieux De La Déflation

unilatérales de précaution, passant par une accumulation excessive de réserves de change. De telles stratégies ne furent possibles que par des politiques de prédation sur le commerce international, qui induisirent dans les pays développés une forte déflation salariale. Cette dernière a abouti simultanément à l’endettement des ménages et à la baisse de leur solvabilité. Dans un contexte marqué par la libéralisation financière cet endettement suscite une explosion de l’innovation financière. On a ici les

carte de la dévaluation de la monnaie pour pouvoir exporter, mais on a un problème d'inflation à long terme), GB faible (car la GB veut garder le prestige de la livre or qui reste à un niveau très important et la GB met en place une politique de déflation, beaucoup de restriction au niveau monétaire qui entrain des difficultés industrielles très importante car les taux d'intérêts sont relativement élevé); en Allemagne pas de croissance car elle est brimer par le traité de versaille, elle doit payer

d’y faire face. Ainsi se met en place le cercle vicieux de la dette : baisse des prix accroît le poids des dettes, des frais financiers ce qui multiplie les défauts de paiement et les faillites bancaires. Cette spirale dévastatrice ne s’arrête qu’avec une stabilisation du secteur financier c’est-à-dire un arrêt des faillites bancaires et les États veillent à éviter toute faillite bancaire, le risque d’une spirale déflationniste étant trop grand. La déflation est une situation dangereuse car il est

partie de leurs salariés ce qui accroît la crise. La mévente des produits et l’importance du chômage favorisent la baisse des prix et des salaires réels. L’économie entre en déflation. Les tensions sociales et politiques augmentent et remettent en cause le « laissez-faire ». La lenteur de l’ajustement de l’économie par la déflation a été soulignée par J.M. Keynes qui déclarait en 1931 : « A long terme, nous sommes tous morts ». Face à la paralysie des entreprises et des ménages qui, tétanisés par la

concurrentielle sur le marché mondial face aux autres grandes économies, par exemple, les gouvernants préfèrent limiter l’importation de produits étrangers qui pourraient concurrencer les produits français. Le gouvernement opte également pour la déflation en diminuant les dépenses de l’Etat. En moyenne, le revenu moyen des français durant les années 1930-1935, baisse d’environ 30% et comme c’était dit plus haut, le chômage atteint 500 000 personnes en 1936, seulement ces bouleversements ne sont pas

prix de vente et de conquérir des parts de marché à l’exportation, ce qui stimule la demande, et dans une vision keynésienne, favorise l’emploi. Au final, la politique de l’emploi fondée sur une plus grande flexibilité du travail vise à générer un cercle vertueux. · L’ observation empirique montre que l’on peut envisager deux modèles du marché du travail : · un modèle anglo-saxons où la flexibilité du travail

assouplissement monétaire = politique monétaire 1) Constat La crise démarre en 2008 jusqu’en Janvier 2015 depuis cette date là aucun instrument de politique monétaire conventionnel mis en place par la BCE , n’a permit de réduire le risqué de déflation (chute de prix suite à une inflation négative). Lorsque les prix baisses le comportement des ménages à anticiper la baisse en différent les achats (épargne, investissement) > Récession Or instrument classique /convention veut dire ? : Instrument

Conseil d'Etat français. Une période d’expansion est généralement caractérisée par une augmentation des coûts et des prix c’est une inflation[7]. Une période de récession est généralement caractérisée par une baisse des coûts et des prix (déflation[8]). Signalons que la dépression signifie une récession particulièrement grave, caractérisée par une chute profonde et durable de l’activité économique se traduisant par des déséquilibres profonds. Enfin, une crise financière est une

L'indexation des salaires sur les prix accélère l'inflation. L'indexation des salaires réduit la rentabilité. Inflation importée par le choc pétrolier. Effondrement du système de Bretton Woods. Flottement des monnaies. Dévaluations non coopératives. Le cercle vicieux inflation/dévaluation s'accélère sous l'effet conjugé de la hausse de l'inflation et de la hausse des salaires qui détruit la compétitivité. Des politiques inadaptées. Les politiques nationales de soutien de la demande se heurtent à la contrainte

Espagne, vs. Royaume-Uni) plaide en ce sens. Cependant l'absence d'un Trésor européen unique peut se révéler problématique en cas de nécessité de renflouement9. Renforcer la gouvernance économique mondiale Au niveau macroéconomique, le risque de déflation mondiale nécessite que l’ensemble des pays mène des politiques monétaires et budgétaires concertées. La gestion conjoncturelle des crises d’origine bancaire et financière rencontre un certain consensus keynésien selon lequel la liquidité perdue doit