Le Charivari

Adolphe Everat : « (...) le Père Goriot est devenu sous mes doigts un livre aussi considérable que l'est Eugénie Grandet ou Ferragus. » (22 octobre 1834, Corr., II, 560) La presse contemporaine atteste le succès, mais avec quelques pointes : Le Charivari fera paraître en 1834 un morceau, signé A.S., d'une satire mordante où il est justement question des Treize : « Le Sire de Balzac fait partie de cette terrible association des TREIZE, dont le chef, le farouche dévorant Ferragus, est mort d'un coup

les républicains et les légitimistes, l'obligent à sévir et à poursuivre fréquemment les journalistes. Cette époque est marquée par la prolifération des journaux comme le charivari, où l'on publie telle que la célèbre "poire". Cette estampe de Louis Philippe donna lieu a un procès dont le verdict fut reprit par le charivari lui-même, mais avec une mise en page bien particulière, (une poire). Pendant cette période, la presse n'est donc pas totalement 'libre', en 1835, la censure est finalement

Adolphe Everat : « (...) le Père Goriot est devenu sous mes doigts un livre aussi considérable que l'est Eugénie Grandet ou Ferragus. » (22 octobre 1834, Corr., II, 560) La presse contemporaine atteste le succès, mais avec quelques pointes : Le Charivari fera paraître en 1834 un morceau, signé A.S., d'une satire mordante où il est justement question des Treize : « Le Sire de Balzac fait partie de cette terrible association des TREIZE, dont le chef, le farouche dévorant Ferragus, est mort d'un coup

première des huit qui auront lieu entre 1874 et 1886. Une fois encore, le groupe essuie des critiques très violentes, qui ne parviennent pas à l'éviction des artistes. Ainsi, un article sarcastique du critique et humoriste Louis Leroy dans la revue le Charivari, dans lequel il tourne en dérision le tableau de Monet intitulé Impression soleil levant, donne au mouvement son nom : « L'Impressionnisme ». Le terme est bientôt repris par le public et par les artistes eux-mêmes, bien que ceux-ci estiment être

Courbet à Montpellier Catalogue d’exposition, musée Fabre, 1985, exposition du Grand Palais en 1977. Cent chefs-d’œuvre de la peinture Musée Fabre, 1988. Courbet Bruno FOUCART, Flammarion, 1995. Fig. 3 CHAM Leçon de politesse… 1855. in Le Charivari, bulletin artistique, Montpellier, musée Fabre. Tableau emblématique de la collection Bruyas, La rencontre immortalise l’arrivée de Courbet à Montpellier, où il se rend en mai 1854 sur l’invitation de son ami. En fait, cette scène fictive évoque

champs alentour. Dans l’année, on sonne les fêtes religieuse. Les procès permettent au village de s'unifier notamment quand ces procès portent sur les droits communaux. Les bachelleries sont les jeunes qui défende droits du village, organise les charivarie. Il y a aussi des tensions au village : tensions entre famille tensions entre groupe sociaux II- Habiter au village. La culture matériel (manger,vestimentaire...) peut être connue par les tableau (p19). Ce tableau à été très longtemps

effervescence facile manifestation monnaie courante et rébellion non exceptionnelle dès que la masse pauvre a des griefs contre un notable, un percepteur, un employeur et même le curé. Manifestation folklorique aide à la manifestation : coutume du charivari : tapage nocturne et injurieux sous les fenêtres de celui qui mécontente dans espoir d’obtenir compensation => manifestation subversive, confusion facile. Carnaval : faux procès brule un mannequin : arrive qu’on enferme dans la mairie le receveur

touchant la peinture, la littérature et la musique, apparu en France dans les années 1860-1865. Signification : Le terme « impressionnisme », pour qualifier leur peinture, vient du critique Louis Leroy qui, le 25 avril 1874, rend compte, dans le Charivari, d'une exposition organisée dans les anciens ateliers du photographe Nadar. S'inspirant du tableau de Claude Monet, Impression, soleil levant, le terme est alors adopté par le groupe. Impression soleil levant, Claude MONET, 1872 Description :

qu’ils vont assaisonner à la sauce romaine. Ils vont faire en effet de la loi, le défenseur des pauvres et des opprimés. Polybe soutient qu’une fois que la République sera entièrement devenue le fonds de commerce des oligarques, la chienlit et le charivari s’installeront inéluctablement. Il propose alors la bonne gouvernance encadrée par les lois inspirées des dieux ; Cicéron ne diffère guère dans l’appréciation qu’il fait des réalités de son temps pour lui, la corruption politique n’a aucun sens.

actes ne sont pas source de commérages. Conséquemment, « les veuves ont plus à craindre que les veufs, socialement et économiquement, des conséquences de leurs actes sexuels » (p. 44). L’Église encourage les secondes noces. Elle condamne ainsi les « charivaris » qui ridiculisent les couples mal assortis ou les mariages trop rapides. Enfin, le pouvoir économique et social conféré aux veuves après la mort de leur mari crée un malaise dans la société, car il va à l’encontre du système patriarcal. Cependant