Le Charme Noir

Objet d'étude : le roman et ses personnages.
 Texte A : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830.
 Texte B : Alexandre DUMAS, Les Trois Mousquetaires, chapitre 52, 1844.
 Texte C : Victor HUGO, Les Misérables, 2ème partie, livre troisième, 1862. I- Après avoir pris connaissance de l'ensemble des textes, vous répondrez d'abord à la question suivante (4 points) : Par quels moyens le personnage central de chacun de ces textes est-il rendu antipathique ? Vous justifierez

L’amour qui nous attache aux beautés éternelles N’étouffe pas en nous l’amour des temporelles ; Nos sens facilement peuvent être charmés Des ouvrages parfaits que le Ciel a formés. Ses attraits réfléchis brillent dans vos pareilles ; Mais il étale en vous ses plus rares merveilles : Il a sur votre face épanché des beautés Dont les yeux sont surpris, et les cœurs transportés, Et je n’ai pu vous voir, parfaite créature, Sans admirer en vous l’auteur de la nature, Et d’une ardente amour sentir

EXPÉRIENCE... C’était dans une nuit noire, alors que je marchais, que tout a commencé. Je m’étais perdue loin de mon village. J’entendais beaucoup de bruits étranges, et le noir et la peur me faisaient imaginer tant de scénarios. Et si un fou me trouvait! Je voyais déjà la scène qui se serait produite: une femme qui criait (moi) alors qu’un fou s’approchait d’elle avec un pistolet. Si elle n’obéissait pas, le pistolet tirerait... et il en serait fini de sa vie à 16 ans. Quelle

filigrane, implicite : leur responsabilité face à l'alcoolisme l.15 > dénonciation des puissants qui ont laissé faire. - noirs : présentés comme responsable : valets du pouvoir occidental, par terme péjoratifs : " larbins ". Langage trivial, même lorsque noir prétendent parler au nom du sacré : "gris-gris ", " moinillon ". Entrée en matière du poème violente dans son rejet par invectives : " va-t-en " (trois fois). Indignation par images fortes, violentes, mais aussi passages plus abstraits. C. Passage

toujours à mon seul nom ? Toujours vois-tu mon âme en rêve ? - Non. - Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible. - Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir ! - L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Tels ils marchaient dans les avoines folles, Et la nuit seule entendit leurs paroles. -Paul Verlaine Fêtes galantes (1869) Verlaine s'inspire pour son second recueil après les Poèmes saturniens de Watteau et des autres peintres

voyage PART I le poème original. Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs

Un galet et du noir. John vivait à Etretat depuis son enfance. Tous les après midi il avait l'habitude de se promener sur la plage et de ramasser toutes sortes de trouvailles, quelques fois des morceaux de bois, des affaires laissée par les touristes, de simples morceaux de craie, des pierres bizarres... Un jour, un galet attira son attention. L'objet, strictement sphérique et d'une couleur pourpre étonnante, serait bien assorti au vieux bois de sa table de nuit. Emportant son trophée avec lui

vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l’enfant courageux. Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ; Tu sèmes au hasard la joie et les désastres, Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien. Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; De tes bijoux l’Horreur n’est pas le moins charmant

semblables dans les deux contes amènent à croire que l'apparition du mal es justifiée de la même façon. L'état physique du mal est caractérisé par le charme, ce qui amadoue les pauvres gens dans une période de sacrifice et d'abstinence. La danse est à cette époque un acte de sensualité et délivrance. En ce sens , le Diable est toujours un homme vêtu de noir et charismatique : « Vers onze heures, un nouveau personnage fait son apparition dans la salle du bal. C'était un beau grand jeune homme aux cheveux

avec beaucoup de charme, d’onctuosité, d’exotisme ; ce nouveau millésime est bien différent : plus en matière, en puissance, peut être plus classique, plus bordelais. L’assemblage comporte une grosse proportion de Cabernet Sauvignon, cépage roi cette année, le type de maturation lente et profonde que nous avons eu lui va comme un gant donnant des lots à la fois racés, denses, longs, élégants et très complexes. Smith Haut Lafitte rouge 2010 est rouge dense, profond presque noir. Le premier nez exhale