Le Chat Jeanne Duval

Parfum exotique + L’invitation au voyage + Le serpent qui danse + Le chat, XXXIV + À celle qui est trop gaie + Le vampire -VII – La Muse malade -VIII – La Muse vénale – Jeanne Duval (poèmes 21 à 35) Elle est une source de correspondances pour le poète. Elle ouvre au poète un monde d’images et de sensations visuelles et olfactives, mais simultanément elle le trouble et le glace comme le révèlent les images sataniques (vampires...). Les figures sont empruntes de sensualité et

l’île Maurice. Les images exotiques que ramène Charles Baudelaire de ce voyage feront partie de ses sources d’inspiration. En 1842, devenant majeur et bénéficiant de l’héritage paternel, il dépense sans compter. Il fait ensuite la connaissance de Jeanne Duval, avec qui il entretiendra une liaison aussi profonde qu’orageuse jusqu’en 1856, au moins. Elle sera une autre source d’inspiration pour le poète. De 1845 à 1846, il vit de sa publication de nombreux articles critiques. C’est en 1847 qu’il publie

LES DIFFERENTES REPRESENTATION DES FEMMES CHEZ BAUDELAIRE SUPPORT: LES FLEURS DU MAL ''SPLEEN ET IDEAL'' Plan: Introduction La mère de Baudelaire Les femmes qui l'ont influencé a-Jeanne Duval b- Mme Sabatier c-Marie Daubrun Les représentations de la femme chez Baudelaire a- Des réalités abstraites b- La femme fantasmée c- Ambivalence de l'amour d- Du beau dans du laid et du laid dans du beau conclusion

(un mouvement poétique), il est apparu pendant la seconde moitié du XIXème siècle en France et en Belgique. Toutefois, le poète et fondateur de ce mouvement Valéry Brioussov vient de Russie. Le nom de ce mouvement est cependant, créé par un français, Jean Moréas, il se sert de l’étymologie de la racine du mot : symbole (quelque chose de concret qui représente une idée abstraite.). Il peut également signifier symbole de foi ou signe de reconnaissance. Le symbolisme inclut aussi la synesthésie (le mélange

1842 Mars Baudelaire rencontre Jeanne Duval au théâtre de la Porte Saint-Antoine. Mai Installation à l'hôtel Pimodan (Aujourd'hui Hôtel de Lauzun), dans l'île de Saint Louis, au 17, quai d'Anjou. Il y côtoie le peintre Fernand de Boisdernier, qui habite ce même hôtel où il reçoit, entre autre, Théophile Gautier et Mme Sabatier.C'est là que se réunit le "Club des Haschischins" (cf. Les paradis artificiels). 1843 Sa liaison avec Jeanne Duval lui apporte une syphilis qui ne l'abandonnera

jeunesse » est la pour montrer que leurs jeunesses à été brisée en même temps que leurs épées.· Vers 6 : apostrophe ma chère montre qu’il dédie ce poème à une femme, ici Jeanne Duval qu’il aimait surnommer la Vénus noir, de plus si nous nous renseignons sur la vie de Baudelaire nous pouvons savoir que ce poème est effectivement dédié à jeanne Duval car nous savons aujourd’hui que leur passion était houleuse, et leur relation remplie de rupture, puis de réconciliation, de disputes ou encore d’infidélités.·

DU MAL LE CYCLE JEANNE DUVAL (1/2) Baudelaire - Jeanne Duval - Dessin encre de Chine et vermillonSur la décision du conseil de famille qui veut le soustraire à ses mauvaises fréquentations, Baudelaire est envoyé aux Indes en mai 1841. Le voyage, qui devait durer 18 mois, s'achève prématurément. Le poète de l'Invitation au voyage ne supporte décidément pas le dépaysement. Il revient en France en février 1842. C'est dès son retour qu'il fait la connaissance de la métisse Jeanne Lemer, la Vénus

III. LA FEMME BAUDELAIRIENNE Les poèmes XXII (parfum exotique) à XXXIX constituent le cycle de Jeanne Duval. Il y décrit entre autre son parfum comme une odeur chaude, sa chevelure comme une toison et sa beauté comme unique. Puis il commence par la comparer à un vampire, un chat qui lui griffe le coeur ou à une guèpe qui le pique avec son dard et écrit même qu'elle est maudite. Jeanne Duval est aussi une femme fantasmée, elle est la « Vénus noire ». Ensuite, les poèmes XL (Semper Eadem)

en Afrique et en Orient ( ce qui était très rare car très coûteux ). Il séjourne ainsi a l'île Bourbon ( en Réunion ). En 1842, il rentre à Paris et écrit sur les voyages qu'il vient de réaliser. Il s'orientera vers Romantisme. Il rencontre Jeanne Duval qui ne va pas le laisser indifférent. En 1844, indignant sa famille par son mode de vie, il deviendra journaliste et critique d'art et de littérature. En 1850, la maladie qu'il va contracter lui fera subir de violents maux de tête. En 1857

se cache derrière l'excès et la provocation pour ne pas dévoiler sa personnalité. Certaine misogynie du poète. Quatre femmes ont cependant marqué sa vie: sa mère, Jeanne Duval (la mulâtresse avec laquelle il vit un amour passionnel véritable), Mme Sabatier (l'ange, la Madone), Marie Daubrun (célébrée pour ses yeux verts, limpides, "le chat") "Je trouve inutile et fastidieux de représenter ce qui est parce que rien de ce qui ne me plait." Dégoût pour le monde qui l'entoure, la société bourgeoise