Le Château dans le ciel

froid (« glacé ») qui introduit dès le premier vers l’idée de mort. La scène se passe de « nuit » (dernier vers), ce qui renforce la même idée.Le cadre suggère par les mots « vieux parc » (v. 1) tout un passé riche. Il entoure vraisemblablement un château qui lui aussi est peut-être abandonné. Ce cadre est porteur de rêve, de mystère. D’emblée, ce cadre suggère une caricature du rendez-vous galant qui est un stéréotype littéraire. II. LA MISE EN SCÈNE DE LA SITUATION AMOUREUSE Des consignes de mise

forêt. Il fut heureux de trouver un château qui semblait abandonner. Il entra et nourrit son cheval .Il s’installa au coin du feu, et résista a l’envie de ne pas manger le buffet qui est sur la table.L’homme se dit qu’il attendait les domestiques et qu’ils pardonneraient de s’être invité dans le château. Il attendit quelques heures, mais personne ne vint, alors il décida de se mettre à table et manger. Il alla ensuite se mettre au lit, remercia le ciel pour se bon repas et pour cette hospitalité

Beaucoup de roses Il va en bateau. Beaucoup de pots Le pot de Bruno Tu vas au château. Le pot de Paulo Il va à Bordeau. Mon gateau est jaune. Tu prends le métro? Ton gateau est rose. Oui, je prends le métro. Mon oiseau est beau. Tu prends un stylo? Ton oiseau est beau. Je prends une photo. Je dessine un oiseau. Il desssine un chapeau. Tu dessines un bouleau. Elle dessine un château. Un drôle de chapeau! Un drôle

prestige personnel . Il emmène une grande partie de sa mesnie avec lui quand il change de château. Bien des chevaux et des charrettes seront alors nécessaires pour transporter les coffres, la literie les tapisseries, les beaux vêtements et les armures. Les soin du corps -Plantes médicinales et coquetterie Avec l'aide du chapelin ou du moine réputé pour ses connaissances en botanique, les dames du château entretiennent dans le jardin un parterre de plantes médicinales, les «simples». Elles connaissent

poèmes ou dans le dessin ; ainsi dans le poème « liberté » il évoque en quelques vers tout l’enjeu du récit : il revendique la liberté absolue. Le dessin quant à lui montre une femme élevant un drapeau de la liberté face au château , c’est à dire face au pouvoir et face au ciel , donc aux cieux, au dieu. Tout au long du recueil les deux artistes évoque ce thème autant par la littérature que part l’art du dessin. C’est le cas par exemple d’un poème où les mains symbolisent la liberté « des nuages dans

Cette image, qui fait partie de la série des Châteaux dʼEau, sʼintitule Crailsheim, D et date de 1980. Cʼest une photographie noir et blanc. Les Bechers faisant exclusivement usage du noir et blanc dans leurs séries. Sur cette image apparaît donc un Château dʼEau qui occupe la quasi totalité de la surface. Le point de vue de lʼimage est frontal. Cʼest un point important de leur protocole; ainsi, toutes les vues quʼils enregistrent sont prises face au sujet, légèrement en hauteur. Le cadrage est serré

a été "chassé du paradis terrestre" : référence à Adam de la Genèse. Cette phrase est annonciatrice de la suite de l'œuvre puisque Candide, chassé du château considéré comme le paradis, va connaître la réalité du monde et de ses malheurs (souffrance, douleur, travail). "pleurant, levant les yeux au ciel" : Candide regrette son éviction du château. Nous avons le champ lexical de l'épuisement ("transi", "se traîna", "mourant de faim et de lassitude") et une idée de dépouillement total : "se coucha

C'est l'histoire de Laurent et de son fils, pascal. Durant la semaine, ils habitent dans leur maison à Paris et le week-end dans leur château à hérrode. Comme vous l'aurez compris, Laurent et son fils vivent aisément mais cette vie, ils l'ont payée cher. En effet, alors que pascal n'avait que 2 ans, sa mère est morte. Ils étaient partis tout les 2 pour un séjour au bord de la méditerranée, Laurent ne pouvant se libérer pour les vacances. Tout les jours, pascal restait seul sur la plage avec ses copains

devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts. C'était le vieux qui vit dans une niche au bas De la montée, et rêve, attendant, solitaire, Un rayon du ciel triste, un liard de la terre, Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu. Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu. Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme Le pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme

sont subvenus durant ma courte période passée à BeauxBâtons, m’ont éloigné de la civilisation durant un certain temps. Je me réfugiai dans des lieux inoccupés et tentai d’oublier les épisodes passés. Mais, maintenant, je me rendais enfin dans ce château légendaire, Poudlard. En effet, j’avais pris contact avec le directeur, le professeur Dumbledore, et lui avait fait part de mon secret, ainsi que de ma passion pour les études et de mon désir de venir dans cette école de sorcellerie. Il en a discuté