Le Chômage Résulte T Il Des Déséquilibres Du Marché Du Marché Du Travail

ECONOMIQUE ET POLITIQUE DE L’EMPLOI CHAPITRE 1 TRAVAIL ET LES POLITIQUES DE L’EMPLOI SECTION I : LE TRAVAIL ET L’EMPLOI I. Les perspectives historiques : Le travail est un fait humain à dimension multiple car c’est une source d’enrichissement, une dépense d’énergie et c’est un facteur de production. La signification du travail varie selon le système de valeurs. Par ex : le travail était considéré comme une souffrance mais aussi comme un enrichissement. Le travail est un élément essentiel dans la vie de

caractérisée par un chômage important (30 millions dont 12 au U.S.A, 6 en Allemagne, 3 en Grande Bretagne…) et une chute de la production. Keynes propose dans sa théorie générale une explication de la crise de 1929 et une politique économique pour remédier à ses effets. Dans sa théorie Keynes n’a pas cherché à comprendre les raisons pour lesquelles le chômage apparaît de temps à autre dans la plupart des industries puis s’apaise après une durée de 1 à 2 ans (chômage cyclique). Ce qui l’intéressa

1983. => Fin de la grande croissance Seconde partie des années 80 : → Dynamisme de l'activité économique : Progression des investissements et de la productivité ; 1988 le PIB réel est de 4,5% et en 1989 de 3,3% → réduction du chômage. Mais persistance de déséquilibre des balances des paiement de certains pays (déficit aux USA ; excédent en RFA et au Japon) 1990-91 : → Ralentissement de croissance économique : -2,6% en 1990 et 2% en 1991 dû politique monétaire restrictive plein emploi relatif

Introduction : L’analyse macroéconomique Il existe 3 types de marché, les marchés de biens & services, le marché du travail et le marché de la monnaie. Etudier les marchés pour analyser la notion d’équilibre macroéconomique. L’analyse du fonctionnement des marchés se fera d’un point de vue global, nous allons opter la macroéconomie pour étudier et analyser le fonctionnement des marchés. La macroéconomie. Il s’agit d’une approche purement théorique qui consiste à étudier une économie (l’économie

de construction de richesse d'où la hausse des prix. La conséquence directe de l'inflation était alors l'augmentation des prix. Aujourd'hui on associe surtout cette conséquence (initiale) de l'inflation à sa définition. L’inflation est un déséquilibre monétaire, un excès de l’argent sans valeur propre en circulation, dépassent les besoins d’économie, et qui manifeste une croissance généralisée, continue et soutenue du niveau moyen des prix pour une longue période. L'inflation est la hausse

des besoins : c’est le modèle ERG (Existence needs, Relatednes needs, Growth needs) ; c’est un outil de GRH (Gestion des ressources humaines). Les besoins sont sous-tendus par les attentes (notion mercatique). Ils alimentent la demande sur les marchés qui se matérialise par la consommation grâce à l’offre des entreprises. Le prix permet d’ajuster l’offre à la demande. C’est une variable d’ajustement. L’offre peut créer sa propre demande (ce que Galbraith appelle la filière inversée). Ainsi, par

passage d'une situation de risque à celle de l'incertitude.  Les agents de l'informel en situation de risque ou d'incertitude pratiquent la polyactivité, reportent sur l'environnement ces risques, s'appuient sur de la main d'œuvre familiale. Il en résulte des seuils organisationnels interdisant le développement graduel des petites unités et leur transformation en PME (G. POURCET).  Les agents africains (paysans, producteurs informels) ont des logiques de minimisation de risques. Les parents qui

PARTIE I : Accumulation du capital, organisation du travail et croissance économique : CHAPITRE I : CROISSANCE, DEVELOPPEMENT ET CHANGEMENT SOCIAL I) De la croissance au développement : A) Développement mesure de la Xce 1) Définition : La croissance économique, au sens strict, c’est l’augmentation soutenue et durable de la production globale (PIB) d’une nation. Le PIB doit être mesuré en terme réel (en volume/ € comptants). Pour François Perroux, au sens large, la croissance économique

alors utilisées 1) la redistribution horizontale Elle vise à protéger chaque individu contre les aléas de la vie. Ce type de redistribution cherche à compenser la perte de ressources ou un certain nombre de charges (maladie, vieillesse chômage, maternité, famille nombreuse, invalidité…).Il s’agit de cette manière d’assurer une plus grande justice sociale. Au nom de la solidarité collective, un transfert s’effectue entre certaines catégories de ménages, sans considération de revenu (exemple :

sur réseau local, enfin à Internet et au web dont l'usage se répandit à partir de 1995. 1.2. Le choc de l’informatisation L'informatique s'est tellement infiltrée dans notre vie quotidienne – carte bancaire, téléphone mobile, temps de travail – qu'elle semble anodine. Or la simplicité de son usage a été conquise par le plus grand effort d'ingénierie de l'histoire que certains d’ailleurs hésitent encore à prendre au sérieux : « c'est de la technique », continuent d’affirmer quelques économistes