Le Cid Portrait Des Personnages

fleures du mal - Manon l’Escaut BARBARA.C RACINE L’assassinat du pont rouge - Phèdre CAMUS.A V.HUGO L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron Baudelaire Biographie : Charles-Pierre Baudelaire

lui-même un pouvoir de contagion et de « sympathie » tel que l'acteur et après lui le spectateur finissent par éprouver les passions dont la scène est le lieu fictif. « Il est mesme si incomprehensible, qu'il fait par un étrange renversement, que ces portraits deviennent souvent nos modeles et que la comédie en peignant les passions d'autruy, émeut nostre ame d'une telle manière qu'elle fait naître les notres » (Conti 1666 : 25). La contagion est morale, certes, du moment qu'elle dérive de la compassion

La tragédie devient alors le Grand Genre Théâtral, celui sur lequel on va théoriser. Cependant Corneille a du mal à se maintenir dans le carcan des règles classiques, il va tout d’abord les dépasser pour y rentrer en 1640, après la Querelle du Cid, et éprouve le besoin de clarifier la démarche de son écriture. Il entre alors dans le détail de sa démarche. Elle est pour lui l’expression d’une tragédie riche mais il dépasse cependant la vision d’Aristote. Celui-ci soutenait en effet que la tragédie

semble vouloir se suicider, Burrhus soupirant : «Plût aux dieux que ce fût le dernier de ses crimes !» Analyse Intérêt de l’action La pièce est une peinture réaliste et cruelle, propre à susciter davantage la crainte que la pitié, tous les personnages étant pris dans les rets serrés de la puissance tragique. Mais est-ce vraiment une tragédie? Racine attribue le ressentiment de Néron contre sa mère autant au fait qu'elle ait favorisé la rencontre de Junie et de Britannicus qu’à l'ascendant qu'elle

de rappeler les éléments essentiels, s'ils sont donnés, qui accompagnent le texte, généralement écrits en italiques. Dans un second temps, vous indiquez les spécificités du texte : son thème, le genre auquel il appartient, la situation et les personnages mis en présence. Ces informations éclairent déjà votre lecture personnelle car ils montrent que vous ne considérerez pas que tous les textes sont identiques et de fait que leurs études peuvent être interchangeables. la problématique que vous allez

un garçon joaillier. Scène 6 : Ce garçon apporte le portrait en miniature d’une dame à un monsieur dont il ne sait le nom, ce qui inquiète le comte qui pense que c’est le portrait d’Araminte. Scène 7 : Pour Marton, le portrait doit être remis à Dorante, et pense que c’est le sien. Scène 8 : Marton remercie Dorante, et va calmer Araminte et le comte. Scène 9 : Le comte est quelque peu jaloux, ce qui agace Araminte. Marton assure que ce portrait est le sien. Mais c’est celui d’Araminte, et elle se

assez peu valorisante aux yeux du lecteur continental, en soulignant, dès le début du récit, le peu de respect accordé au travail et à la loi ainsi que la place faite aux armes et à la violence. À cet égard, Mateo Falcone est un héros typique dont le portrait regroupe les caractéristiques énumérées ci-dessus : il tire sa subsistance de ses troupeaux sans travailler, il a usé de ses armes et de son habileté au tir pour éliminer un rival. Quant à sa protection et à sa défense, il ne compte ni sur les gendarmes

Les personnages ● Préciser la situation familiale et politique de Sabine. Sabine est sœur des Curiaces et épouse d’Horace. Elle est donc à la fois albaine et romaine. De sa situation découle son comportement : elle ne peut objectivement choisir un camp- sinon celui des vaincus. C’est elle qui souligne combien le conflit s’apparente à un matricide : « Albe est ton origine : arrête et considère/Que tu portes le fer dans le sein de ta mère » (v. 55-56). ● Comparer la présentation du personnage de Camille

tout Le Cid, dans Polyeucte et dans Les Horaces ? Quelle grandeur ne se remarque point en Mithridate, en Porus et en Burrhus4 ? Ces passions encore5 favorites des Anciens, que les tragiques aimaient à exciter sur les théâtres, et qu'on nomme la terreur et la pitié, ont été connues de ces deux poètes. Oreste, dans l'Andromaque de Racine, et Phèdre du même auteur, comme 1' 1 Au sens de « pièces de théâtre ». 2 L’inspiration. 3 Conception, projet. 4 Personnages de Mithridate

TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS 3 RESUME 5 INTRODUCTION 9 1. LES CONFLITS 11 1.1. Le monde fictif et son reflet du monde réel 11 1.2. Les conflits entre les personnages 13 1.3. Les enfants et les adultes 15 1.4. Les conflits intérieurs des personnages 16 2. L’ABSURDE 19 2.1. Les personnages 19 2.2. Le contexte 20 3. LES TRACES EXISTENTIALISTES 22 3.1. L’absurde et l’angoisse 22 3.2. Le choix et la recherche 24 3.3. La responsabilité 26 CONCLUSION