Le Ciel Est Par Dessus Le Toit Paul Verlaine

le 31 juillet 1944 et assassiné. Dans cet autoportrait, Félix Nussbaum se trouve dans une impasse. Un grand mur gris se dresse derrière lui. Un arbre aux branches coupées et des oiseaux noirs symbolisent un avenir funeste. Les oiseaux blancs et le ciel bleu semblent très loin et ne le concernent plus. Obligé de décliner son identité, il montre son passeport qui comporte la mention « JUIF – JOOD ». L’étoile jaune est cousue sur son manteau. Son visage, montré à demi de profil, est celui d’un homme

chargé d’études habitat à la Sacomi), Xavier Picavet (ancien chargé d’études friches à la Sacomi), Dominique Deprez (directeur de la Soginorpa de 92 à 96), un membre du personnel d’encadrement de la Soginorpa qui a souhaité rester anonyme, Jacques Verlaine (Président de la CCI de Douai, Dernier Directeur Général des Houillères du Bassin du Nord et du Pasde-Calais). 25 Ces entretiens avaient deux fins à nos yeux : d’une part glaner des informations qui auraient pu nous échapper à travers la seule

sa femme, deux ans plus tôt –, mais, tout à la joie de retrouver Charly, il le fit décoller du sol en le prenant par la taille. – Un panino pour le jeune homme, un ! dit-il avec entrain en bifurquant pour entrer dans le restaurant. La Porte du Ciel, la principale cafétéria du terminal, s’organisait autour d’un atrium au centre duquel différents comptoirs proposaient un large éventail de spécialités culinaires. Un moelleux au chocolat ou une part de pizza ? se demanda Madeline en examinant le

l’apparence est définie de façon floue n’enferme pas l’imaginaire mais libère celui-ci. Franz Kafka choisit de réduire son personnage à une seule et simple initiale : « K ». L’énigme du nom rejoint celle de l’existence. Jean Giono dans Le Hussard sur le toit choisit de donner très peu de détails physiques sur le personnage féminin, Pauline de Théus, qui acquiert ainsi une aura et un charme mystérieux. À peine le lecteur sait-il la couleur de ses cheveux. Le seul portrait se limite à son visage en forme

l’apparence est définie de façon floue n’enferme pas l’imaginaire mais libère celui-ci. Franz Kafka choisit de réduire son personnage à une seule et simple initiale : « K ». L’énigme du nom rejoint celle de l’existence. Jean Giono dans Le Hussard sur le toit choisit de donner très peu de détails physiques sur le personnage féminin, Pauline de Théus, qui acquiert ainsi une aura et un charme mystérieux. À peine le lecteur sait-il la couleur de ses cheveux. Le seul portrait se limite à son visage en forme

premier choc passé, les nouveaux propriétaires font le point. Les deux grandes salles typiques de la Guinguette ont été épargnées grâce au travail des sapeurspompiers. Les dommages sont concentrés dans la cuisine, détruite au trois-quart, une pièce au dessus et la toi- La voiture se rendant vers Arras a percuté le poids lourd de face. lation le temps de l’intervention. Les sapeurs-pompiers ont en effet dû procéder au dé- coupage du véhicule pour prodiguer les soins au conducteur. Malheureusement

aux États-Unis sur l’esthétisme. –4– De retour en Europe, il s’installe à Paris, où il écrit deux pièces de théâtre : la Duchesse de Padoue (1883), Véra ou les Nihilistes (1883). Il rencontre les principaux écrivains français de l’époque : Verlaine, Mallarmé, Zola, Daudet, et Hugo. De retour à Londres (1884), il épouse l’une de ses admiratrices, Constance Lloyd. Ils auront deux enfants. Rédacteur en chef du magazine The Woman’s World de 1887 à 1889, il y montre ses talents de pamphlétaire et

conférences aux États-Unis sur l’esthétisme. –4– De retour en Europe, il s’installe à Paris, où il écrit deux pièces de théâtre : la Duchesse de Padoue (1883), Véra ou les Nihilistes (1883). Il rencontre les principaux écrivains français de l’époque : Verlaine, Mallarmé, Zola, Daudet, et Hugo. De retour à Londres (1884), il épouse l’une de ses admiratrices, Constance Lloyd. Ils auront deux enfants. Rédacteur en chef du magazine The Woman’s World de 1887 à 1889, il y montre ses talents de pamphlétaire et

qui accompagnent cette notion et montrer comment la poésie de Prévert se situe à mi-chemin entre l’engagement assumé, auto-proclamé et le recul du poète quant aux problèmes du siècle. Je m’appuierai notamment sur la critique de l’engagement de Jean-Paul Sartre dans son essai Qu’est-ce que la littérature ? et sur les différentes formes de communication qui ont lieu à partir du poème : l’importance de l’émotion qui est transmise et qui témoigne d’un cri du poète lancé dans la situation qui est la sienne

Pl. I, p. 195. 66. Ibid., p. 193. 67. Ibid., p. 195. 68. Cf. A. Fairlie, Baudelaire. Les Fleurs du Mal, p. 39 et suiv. 69. Cf. T. Bassim, La Femme dans l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne