Le ciel lui tombe sur la tête

moliniste qui s'empare du diocèse d'un prélat janséniste, ne causent pas plus de trouble que l'écarlate intruse en a causé chez moi. Je puis supporter sans dégoût la vue d'une paysanne. Ce morceau de toile grossière qui couvre sa tête ; cette chevelure qui tombe éparse sur ses joues ; ces haillons troués qui la vêtissent [sic] à demi ; ce mauvais cotillon court qui ne va qu'à la moitié de ses jambes ; ces pieds nus et couverts de fange ne peuvent me blesser : c'est l'image d'un état que je respecte

rangés ; Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes ; Ses superbes coursiers qu’on voyait autrefois Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix, L’œil morne maintenant, et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.

emportements. Nous ne vivons que deux moments: Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! Pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie! On meurt deux fois, je le vois bien; Cessez d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser

du Brahms. Amoureux lui aussi de la Petite Tailleuse.  La Petite Tailleuse chinoise : couturière. Son père est le tailleur de la région. Quand celui-ci est en déplacement, elle reste pour garder la boutique. Elle est très belle, une longue natte tombe sur sa nuque et possède les plus beaux yeux du district de Yong Jing. Elle possède une nature primitive. Elle découvre la lecture et les livres avec bonheur.  Le tailleur : père de la Petite Tailleuse. Il mène une vie de roi. Il se déplace de village

manteau de velours vert clair, brodé d'or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout Il galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Scène 1 DON SALLUSTE DE BAZAN, GUDIEL ; par instants RUY BLAS DON SALLUSTE Ruy Blas, fermez la porte, - ouvrez cette fenêtre. Ruy Blas obéit, puis, sur un signe de Don Salluste, il sort par la porte du fond. Don Salluste va à la fenêtre

images macabres et les figure de style funèbre traversent tout le poème ; ainsi Baudelaire dépeint un climat inquiétant et pesant qui montre bien son état de spleen. Ces conditions sont tout de suite présentes de sorte que dans le premier vers, le ciel « pèse come un couvercle » le poète ressent donc une sensation d’enfermement aussi présente dans « cachot » vers 5 et « barreaux » vers 10 il y a donc une métaphore filé de l’enfermement. Cet enfermement conduit au malheur, à la tristesse du poète

à Paris avec sa famille (jusqu`à aujourd`hui) • en 1994 - un grave accident de la route -> doit arrêter toutes ses activités pour longtemps • Profite de la situation pour réaliser un grand rêve : l`écriture   • Premier livre : Un grand-père tombé du ciel en 1997 • a reçu plusieurs prix pour ce livre, entre autres : - en 1996 le prix du Roman Jeunesse du ministère de la Jeunesse et des Sports -en 1998 le prix sorcières…   • Par après elle a publié plusieurs livres : - Le professeur de musique

d’un ou plusieurs sons-consonnes. Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. (Hugo) * Une assonance est la répétition d’un ou plusieurs sons-voyelles. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou- frou. (Rimbaud) * Répétition lexicale. * Une anaphore est la répétition d’un mot ou d’un groupe de mots, en tête de plusieurs phrases ou membres de phrases Marcher à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (Hugo) * La répétition d’un mot ou groupe de mots peut aussi se rencontrer à la fin

autour de lui rangés ; Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes ; Ses superbes coursiers qu’on voyait autrefois Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix, L’œil morne maintenant, et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable. Jusqu’au fond de nos

deuxième valise et là, il y a un gros nuage de fumée, puis un génie qui sort et qui lui dit :- Fais un voeux et je l'exaucerais. Le type ne fait ni une ni deux, il demande :- Je voudrais un milliard ! Alors, il lève la tête et il voit une fissure s'ouvrir dans le ciel et un gros truc tombe sur le sol : une grande table de billard !- Hé ! Il est sourd ou quoi ton génie ? J'avais demandé un milliard, pas un billard!- Et moi, tu crois que j'avais demandé une grosse mite D'autres blagues: - Qu'est ce