Le ciel lui tombe sur la tête

Type: Tableau Support: Carton Dimensions: 91 x 73 cm Techniques utilisés: peinture à l’huile, à la tempera et au pastel sur du carton. Description de l'oeuvre: «Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui

parution: 13/03/1999 Nombre de pages: 120 pages L’auteur : L’auteur s’appelle Yaël Hassan. Elle est née à Paris en 1952. La promesse est un roman qu’elle a depuis longtemps dans la tête. Il a été le lauréat d’un concours de littérature juive pour la jeunesse. Son premier roman s’appelle « Un grand-père tombé du ciel ». Les personnages principaux : Les personnages principaux sont : Sarah Weiss, une jeune fille juive de 6 ans qui grandit à la campagne avec ses parents adoptifs. Joseph Katz

des armes à faire craquer les buissons et au moins égaux en nombre aux SS. Eux ignorant que nous étions là. Aux yeux qui imploraient partout autour de moi le signal d’ouvrir le feu, j’ai répondu non de la tête… Le soleil de juin glissait un froid polaire dans mes os. Il est tombé comme s’il ne distinguait pas ses bourreaux et si léger, il m’a semblé, que le moindre souffle de vent eût dû le soulever de terre. Je n’ai pas donné le signal parce que le village devait être épargné à

« La sanction est tombée, elle ne peut plus sortir ». L’opposition est, dans le slam, d’ordre religieux. L’un est musulman et l’autre est juive : « kippa », Ainsi leur amour semble condamné à l’avance. Notons les allitérations en  «  t » dès le 1er vers et en « d » dans le 2ème qui sont des dentales et qui soulignent d’ores et déjà la difficulté qu’éprouveront les deux jeunes. Leur union s’annonce compliquée. Notons également la présence du fatum à travers l’évocation du ciel et du temps : « sous

présage de la mort. 2ème plan : Une troupe de soldats allemands (on les reconnaît grâce à leur casque) nous tournent le dos, ils sont en rang marchant dans la brume, avec des sacs sur le dos et leurs armes, ils partent au front. Arrière plan : Le ciel dégagé laisse place à une fumé oppressante. On devine la guerre et les batailles au loin. La réalité de la guerre est bien présente, un grand nombre d'homme partent au combat, et vont droit à la mort sans s'en soucier. Ils servent leur patrie. -

disloqué, les bras en croix tient une épée brisée. -à gauche : un taureau qui semble fixé le spectateur. A ses côtés, une mère tenant son enfant mort dans ses bras, crie sa détresse. -A droite une femme tombe dans les flammes ; une autre blessé au pied, se traîne. D'une ouverture Larrée sort une tête humaine et un bras tenant une lampe au dessus de la scène. II/ Seconde partie : interprétation du tableau. Le tableau fourmille (est remplis) d'éléments symbolique (religieux entre autres) qui éclairent

......................... 163 1881 ........................................................................................... 165 À propos de cette édition électronique................................. 166 –4– PRÉFACE Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire : « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux

HISTOIRE. 107 XLVIII. 108 XLIX.. 114 NOTES  DU  DERNIER JOUR D’UN CONDAMNÉ.. 115 1829. 115 1881. 117 À propos de cette édition électronique. 118   PRÉFACE Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire :   « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes

nôtres.Et l'on prit un drap blanc dans l'armoire en noyer.L'aïeule cependant l'approchait du foyer, Comme pour réchauffer ses membres déjà roides.Hélas! ce que la mort touche de ses mains froides Ne se réchauffe plus aux foyers d'ici-bas!Elle pencha la tête et lui tira ses bas,Et dans ses vieilles mains prit les pieds du cadavre."Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre!Cria-t-elle ! monsieur, il n'avait pas huit ans !Ses maîtres, il allait en classe, étaient contents. Monsieur, quand il fallait que

................................. 163 1881 ........................................................................................... 165 À propos de cette édition électronique................................. 166 –4– PRÉFACE Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire : « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux