Le Cinema Pacifiste

me direz, mesdames et messieurs les jurés que les conflit du 20eme siècle ont détruit le mythe du héros guerrier à cause de ces champs de batailles déshumanisés qui furent, grâce aux avancées technologiques dans le domaine de la photographie et du cinéma, exposés à la vue du peuple resté à l'arrière. La population s'est ainsi rendu compte de l'aspect inhumain de la guerre et les champs de batailles n'ont plus étaient dès lors, des endroits ou pouvait se dérouler des action héroïques puisque l'on se

champ politique, à partir du modèle fondateur de l’Affaire Dreyfus qui permet à Pascal Ory de dresser un portrait type de l’engagement. Dans une seconde partie on considérera la question de l’œuvre engagée autour de deux problèmes : l’engagement pacifiste (Romain Rolland et Barbusse) et l’engagement révolutionnaire (autour d’André Gide et Jean-Paul Sartre). On évoquera pour finir l’hypothèse de la fin des intellectuels proposée par Régis Debray Sartre : la théorie de l’engagement Jean-Paul Sartre

(voir la suite du chapitre d’histoire). Les EUA s’affirment comme modèle culturel pour le monde entier. Ce rôle de leader culturel est nouveau, il date de l’après-guerre. Il s’appuie sur des supports nouveaux, les mass media modernes que sont le cinéma, la télévision, les 45 tours…mais ne délaisse pas les allées plus classiques de la culture que sont les livres (Hemingway, Steinbeck) ou l’art contemporain (Andy Warhol et le pop’art). La culture américaine se veut populaire et s’adresse au grand

hamburger ou du coca en Europe, mais aussi celle des voitures 4x4, des mangas... - C'est enfin l'apparition d'un marché mondialisé des biens immatériels, c'est à dire des services, au premier rang desquels l'information et le divertissement : télévision, cinéma, musique. L'échange de ces biens a un effet direct sur nos normes, nos valeurs, nos pratiques. Cependant, il y a mondialisation et mondialisation. La diffusion hors du Japon de l'art zen, ou des arts martiaux, résulte d'une rencontre entre deux cultures

d’armement, bâtiment…) mais très peu ont un caractère révolutionnaire ← conditions d’occupation épouvantables pour les dix départements du Nord et de l’Est ? La naissance d’une culture de guerre ← Pop vit à l’heure la guerre au quotidien ( journaux, cinéma, école, vie quotidienne rappellent leur propre mobilisation ← « culture de guerre » = intériorisation par la population de comportements marqués par la violence, progressivement légitimée comme moyen indispensable pour obtenir la victoire à l’arrière

métaphore). Séance 4 : Emploi des modalisateurs dans le texte argumentatif Afin de maintenir une continuité thématique, on proposera en texte d’observation un extrait de « La lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix » extraite des Ecrits pacifistes de J.Giono (manuel : Grammaire pour les textes 3è Bordas p.166). A partir d’une observation orale, on fera chercher aux élèves les types de modalisateurs instaurant la subjectivité : *verbes *adverbes *vocabulaire évaluatif (mélioratif

contrôler totalement la vie des Sovié- tiques en les embrigadant pour en faire des communistes obéissant aveuglément à Staline et au parti communiste :  La propagande est partout pour contrôler les pensées des Soviétiques : au travail, dans les loisirs (cinéma), à l’école… Les thèmes majeurs de la propagande sont le culte de la personnalité (adoration de Staline, le « petit père des peuples »), les réussites du communisme et la grandeur de l’URSS.  La population est encadrée dans des organisations communistes

campagne de mobilisation pour ses militaires partis au combat. La grande expérience fondatrice de la propagande a eu lieu lors de la première guerre mondiale alors que la commission Creel a été créée pour amener la population américaine majoritairement pacifiste à entrer en guerre. Le succès de cette commission a été total. C'est à partir de là que sont nées plusieurs techniques de propagandes des démocraties actuelles. Walter LUPPMANN, journaliste américain réputé a décrit le travail de cette commission

vernissage d’une galerie, et un combat avec un groupe de skinheads qui scellera le destin du trio, et le retour jusqu’à la cité… II) Description, analyse GREAT SCENE - La Haine.webm Cette scène, la plus connue de La Haine et une des plus connues du cinéma Français, se déroule dans la salle de bain de la maison de Vinz. Cette scène est intéressante du point de vue technique car Vincent Cassel se trouve derrière une glace, on le voit de face, et au début de la scène c’est une doublure que l’on voit de

l’aéroport d’Orly. Ce plan est descriptif, il plante le décor à Paris à l’époque contemporaine, monde urbain.Le premier plan est sombre alors que l’arrière-plan est bleu clair lorsqu'il ya un zoom sur l'entrée de l'aéroprt (ce qui est très rare dans le cinéma) On distingue les silhouettes des voyageurs puis enfin présent dans l'aéroport les personnages sont en couleurs mais l'apparition du personnage est retardé et il ya un gros plan sur deux paires de jambes un personnage porte des chaussures, une valise