Le Clergé

tous les pouvoirs : judiciaire, législatif, exécutif et même le pouvoir religieux qu’il partage avec le Pape. La société, elle, est composée de trois ordres : le Clergé, la Noblesse et le Tiers-état. La tradition monarchique inscrit des coutumes tels que des libertés et des privilèges accordés aux ordres de la Noblesse et du Clergé qui contrairement au peuple, constitué du Tiers-Etat, ne paient pas d’impôts : la société du XVIIIe siècle est donc profondément inégalitaire. Mais cette inégalité

Augmenter les recettes Changer l’impôt Monarchie Clergé Noblesse Tiers Etat Gravure anonyme de la fin du XVIIIe siècle Vingtième Capitation Dixième Gabelle Taille Aides La gravure dénonce un impôt injuste et  inefficace Comment résoudre la crise financière ? Turgot Calonne 3 ministres des finances successifs de Louis XVI Augmenter les recettes Faire  payer  les  ordres privilégiés Comment réagissent les nobles et le clergé face à ces tentatives de réformes ? Titre Animaux  de 

inégaux : le clergé, la noblesse et le tiers état. Cette séparation reposesur une idéologie et non sur des critères de fortune ou de mérite personnel. Les ordres étaient en théorie fermés, mais une frange de la bourgeoisie pouvait échapper à son état de naissance par différents moyens. La société d'Ancien Régime est aussi une société coutumière et catholique. Les trois ordres de la société française :Sous l'Ancien Régime, la société française est profondément inégalitaire. Le clergé demeure le premier

le clergé est séparé en deux parties. Une première appelée le Clergé Séculier, il est composé au plus haut d’un archevêque, homme élu par le pape, en charge d’une région ( comme par exemple, l’archevêque de Aix-Arles est aujourd’hui mon seigneur Dufour.) Ensuite vient l’évêque: il est en charge d’un diocèse et son église est dite cathédrale. Et enfin il y a les prêtres : on a le curé, qui est en charge de l’encadrelet des laïcs et le chamoine, en charge de seconder l’évêque. C’est le clerger séculier

et y reçoivent les sacrements (baptême, eucharistie, onction des malades, etc.). Les évêques et les prêtres qui vivent avec les laïcs forment le clergé séculier.  À l'écart du monde, vivent des religieux qui sont en général groupés dans des monastères. Ils suivent une règle, sous l'autorité d'un abbé ; c'est pourquoi les moines constituent le clergé régulier. La règle de saint Benoît sert de modèle à presque tous les monastères ; les bénédictins vivent en communauté, se consacrent à la prière

les Chrétiens/le christianisme organise la vie des fidèlmes européens ? I) L’Organisation de l’Eglise Catholique A) Une institution hiérarchisée. Df // Eglise => Du grec « ecclésia » (peuple), il s’agit de l’Ensembles de la communauté des croyants (clergé) –Hommes/institutions encadrant les fidèles. Eglise => Il s’agit du bâtiment ou se réunissent les fidèles chrétiens pour célébrer leurs cultes. D’abord, le monde chrétien est divisé entre les clercs et les laïcs. Les clercs se consacrent à l’Eglise

oratoires, ermitages. II- L’église encadre la société. 1°) Son organisation. Pape Évêque de Rome cardinaux Clergé séculier archevêques/ évêques diocèse prêtres dans la paroisse Clergé régulier abbé / abbesse monastère / abbaye Fidèles ou Laïcs Clergé séculier: clergé qui vit dans le siècle ou au milieu des hommes. Clergé régulier: clergé qui obéit à des règles, en dehors des hommes. Exemple de règles: les franciscains, les dominicains, les bénédictins

société française est divisée en trois ordres. La noblesse et le clergé (520 000 personnes) sont des ordres privilégiés qui ne paient pas d'impôts. Autour du roi, ils vivent luxueusement et occupent les plus hautes fonctions. En province, les nobles sont moins riches et vivent de leurs droits féodaux. Le haut-clergé (archevêques, évêques, cardinaux, abbés) vit souvent à la cour : ceux-là sont riches. Le bas-clergé (curés, vicaires, moines) est pauvre. Le troisième ordre, le Tiers

1122. Un Concordat est établi entre le Saint-Office et l'empereur de Germanie Henri V. L'empereur Henri IV n'est pas le seul à tenter à s'opposer aux réformes du pape dont les décisions sont également mal accueillies par une partie du clergé, surtout le haut-clergé et par l'ensemble des princes, néanmoins, la réforme réussit. Des solutions de compromis permettent de distinguer l'investiture spirituelle, soustraite aux princes et l'investiture temporelle, toujours conférée par celui-ci . Après l'acceptation

Incapable d'établir un impôt universel, Louis XVI a convoqué les États généraux pour le 1er mai 1789 à Versailles. Les députés du tiers état parviennent en deux mois et sans violence à mettre fin à la monarchie absolue avec l’aide d'une partie du clergé et de la noblesse. Le 14 juillet 1789, les parisiens exaspérés par la crise économique et l'arrivée de troupes autour de Paris prennent d'assaut la Bastille. Cet événement est à l'origine de deux symboles de la République, la fête nationale et le