Le Clown Verlaine

tomber pour apprendre a marcher alors y faut pleurer pour apprendre a aimer. J'aimerais être une larme pour naître dans tes yeux, vivre sur ta joue et mourir sur tes levres. Je ne suis pas Victor Hugo pour t'écrire des mots, Je ne suis pas Verlaine pour t'ecrire des poèmes mais je suis moi même pour te dire je t'aime. La loie nous oblige à faire ce qui est dit et non ce qui est juste. La mort dois etre un beau voyage puisque personne n'en ai revenu. La vie c'est moins bien que la

l’enterrement • Chanson pour les enfants de l’hiver • Déjeuner du matin • Le cancre Pour faire le portrait d'un oiseau Raymond Queneau • Grenouilles • La leçon de choses • La cimaise et la fraction Les mouches Werner Renfer Clown Arthur Rimbaud • Le dormeur du val Jacques Roubaud • La licorne • Le roi lion Geneviève Rousseau • J’écris Jean Rousselot • Dit des oiseaux • Les pommes de lune L’ordinateur et l’éléphant • Le coeur trop petit Maurice Rollinat

net, L'ami du genre humain n'est point du tout mon fait… Objet d’étude 3 : Ecriture poétique en quête de sens des XVIIème siècles à nos jours Œuvre intégrale : Romance Sans Parole, Paul Verlaine, 1874 Lecture cursive : Tableau Parisien, Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire, 1857 Lecture analytique : Texte 1: Ariette I, sections  I « Les Ariettes oublier » 1er poème 1874 Texte 2: Malines, sections II« Jardin Belge » dernier poème 1874

une blessure, et j’ai défendu au suicide de guérir la cicatrice. Je veux que le créateur en contemple la cicatrice, à chaque heure de son éternité, la crevasse béante. C’est le châtiment que je lui inflige. Libération formelle : du vers impair (Verlaine) au vers libre Art poétique De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. […] Car nous voulons la Nuance encor, Pas la Couleur, rien que la nuance ! Oh

cimaise et la fraction 14|Grenouilles 8|La leçon de choses 8| |La fourmi et la cigale 10|Il faut faire signe au machiniste 4|L’arbre qui pense 10 || Henri de Régnier|La mer 12|||| Jules Renard|Le chat 8|||| Werner Renfer|Clown 12|||| Raymond Richard|Giboulées 10|||| Arthur Rimbaud|Le dormeur du val 14|||| Jacques Roubaud|La licorne 10|Le roi lion 8||| Maurice Rollinat|La biche 8|||| Geneviève Rousseau|J’écris 10|||| Jean Rousselot|Dit des oiseaux

dit que "être soul est un bon déguisement", et on peut donc penser qu’il ne veut pas regarder sa vie « en face », par facilité. D'autre part, dans L'Orgie Parisienne ou Paris se repeuple , Rimbaud incite ses amis - notamment ceux de Paris et Verlaine – à boire : "Buvez ! Quand la lumière arrive intense et folle, Fouillant à vos côtés les luxes ruisselants, Vous n'allez pas baver, sans geste, sans parole, Dans vos verres, les yeux perdus aux lointains blancs?" Dans la Comédie de la soif

Arts du visuel Hyacinthe Rigaud : « Louis XIV en costume de sacre », 1701,* (valise Musée) Louis David : « Le serment des Horaces », 1785,* (valise Musée) Le XIXème siècle : Arts du langage : (poésies) Beaudelaire : « L’albatros »* Verlaine : « Chanson d’automne »*, « Il pleure dans mon cœur »* Victor Hugo : « A ma fille Adèle »* Théodore de Banville : « L’été »* Arthur Rimbaud : « Les effarés »* Gérard de Nerval : « Fantaisie »* Arts du son : (opéra) http://www.cite-musique

considéré que Baudelaire, Verlaine et Rimbaud sont trois sources littéraires essentielles pour la chanson francophone moderne. D'abord par leur travail sur la musicalité des mots, et le format court de nombre de leurs textes, ils inventent, en quelque sorte tels des "musiciens sans guitare", un format specifique qui deviendra celui de la chanson. Leur esthétique poétique fait la part belle à la musicalité et aux sonorités des mots, comme en témoigne la célèbre phrase de Verlaine : "De la musique avant

apparition chez de nombreux poètes modernes. Il n’obéit pas aux trois critères qui définissent habituellement la poésie, c’est-à-dire la longueur déterminée, l’accentuation fixe et la nécessité de la rime. Le vers impair est accepté et même encouragé, Verlaine écrit « de la musique avant toute chose et pour cela préfère l’impaire ». Les poèmes en proses se généralisent. La ponctuation est aussi supprimée chez de nombreux poètes modernes notamment Apollinaire. Le vocabulaire est libéré, il n’y a plus de

heureux… Ensuite j’ai entendu police-secours et je suis remonté bien vite pour ne pas avoir d’ennuis. Compréhension 1. Quel est le « coup heureux » dont parle Momo page 100 ? Résumez brièvement en quoi il consiste. 2. « Mais pour moi c’étaient les clowns qui étaient les rois. » p. 101. Pourquoi Momo pense-t-il cela ? Qu’est-ce que cela peut nous apprendre sur sa façon de voir les choses, ou en tout cas sur sa façon de les raconter ? Est-ce que cela a à voir avec l’humour noir dont Momo est coutumier