Le Cœur des hommes

tels que les Grecs pouvaient en avoir la compréhension. Vernant n’essaye pas de trouver une logique là où il n’y en a pas ou d’introduire de force une rationalité ou des moyens de compréhension en dehors de ces récits, il montre les pivots présents au cœur de ces histoires. Il raconte au début de sont livre que chaque jour de vacance il narrait une légende, un mythe grecque a son petit fils. Il trouvait sa génial, car il transmettait son savoir, et cet univers grec auquel il est tant attaché. Dans ce

pas haïr ni humilier personne. Chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l'avons oublié. L'envie a empoisonné l'esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes. Les machines qui nous apportent l'abondance nous laissent dans l'insatisfaction. Notre

Schopenhauer comme le « plus grand des moralistes modernes ». Schopenhauer disait : « Ma théorie a pour elle l'autorité du plus grand des moralistes modernes : car tel est assurément le rang qui revient à J.-J. Rousseau, à celui qui a connu si à fond le cœur humain, à celui qui puisa sa sagesse, non dans des livres, mais dans la vie ; qui produisit sa doctrine non pour la Chaire, mais pour l'humanité ; à cet ennemi des préjugés, à ce nourrisson de la nature, qui tient de sa mère le don de moraliser sans

misanthrope, il éprouve quand même des sentiments d’amours pour une femme qu’il croit séduire par son comportement toujours honnête envers les personnes et leurs defaults qu’il ose avouer à chacun. Cette qualité qu’il croit être la bonne pour s’emparer du cœur de Célimène est la preuve que sa haine pour le genre humain est bien réelle. « L’ami du genre humain n’est point du tout mon fait. »  Alceste à Philinte, vers 64 « Et je ne hais rien tant, que les contorsions de tous ces grands faiseurs de protestations

De tous les hommes que j’ai pu rencontrer en vie, je me sentais le plus rusé mais le moins aride… Quant à elle... La fille aux yeux éclatants, à la silhouette resplendissante, aux cheveux longs, noirs retentissants, noirs, beaux et doux comme un filet de soie ! Elle était belle, douce, aussi fragile qu’une plume de geai… bref, elle était magnifique, pas seulement à mon égard, non, mais à celui de tous. Mais ce qui ne cesse de m’étonner jusqu’à ce jour, c’est ce choix, ce choix qu’elle a dû certainement

quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes ; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les vus sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n'est pas assez

les plus grandes fortunes ; mais les moindres n’en sont pas exemptes, parce qu’il y a toujours quelque intérêt à se faire aimer des hommes. Ainsi la vie humaine n’est qu’une illusion perpétuelle ; on ne fait que s’entre-tromper et s’entre-flatter. Personne ne parle de nous en notre présence comme il en parle en notre absence. L’union qui est entre les hommes n’est fondée que sur cette mutuelle tromperie ; et peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il

méthode. En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l'existence de Dieu et de l'âme humaine, qui sont les fondements de sa métaphysique. En la 5, l'ordre des questions de physique qu'il a cherchées, et particulièrement l'explication du mouvement du cœur et de quelques autres difficultés qui appartiennent à la médecine, puis aussi la différence qui est entre notre âme et celle des bêtes. Et en la dernière, quelles choses il croit être requises pour aller plus avant en la recherche de la nature qu'il

En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l'existence de Dieu et de l'âme humaine, qui sont les fondements de sa métaphysique. En la 5, l'ordre des questions de physique qu'il a cherchées, et particulièrement l'explication du mouvement du cœur et de quelques autres difficultés qui appartiennent à la médecine, puis aussi la différence qui est entre notre âme et celle des bêtes. Et en la dernière, quelles choses il croit être requises pour aller plus avant en la recherche de la nature

plus exactement que les ballades ressembleraient à des cartes postales. L'air que je respirais à cet endroit, n'était pas pur, au contraire il me refroidissait, laissant place à un sentiment de malaise et me donnais le haut le cœur. Bientôt même ma tête se mire à tourner, mon cœur a palpiter comme si je ressentais un danger. Je commettais peut-être une infraction en me trouvant à cet endroit. Mes idées commencèrent à se mélanger, comme ci quelqu'un me parlait, une vague de peur bientôt m'empoigna. Je