Le Comique Dans Les Fourberies De Scapin

politique et intellectuelle athénienne. La « comédie moyenne ». A la fin du Ve siècle, les auteurs comiques renoncent à la satire trop actuelle et trop précise. La «comédie moyenne », qui dure jusque vers 330, cherche ses thèmes dans la mythologie et dans l'observation des mœurs. La « comédie nouvelle ».

e théâtre est souvent considéré comme un miroir de l'humanité, par ses craintes, par ses défauts, par ses attentes. Les pièces comiques, nous proposent une intéressante vision de l'homme, exposant souvent les manies ou le ridicule de nos semblables. Les comédies nous offrent l'occasion de nous moquer de nos propres défauts. Cependant, peut-on penser que ces œuvres ne cherchent qu'à nous faire rire ? Ne s'agit-il pas, pour leurs créateurs, de proposer une critique précise de la société, de la politique

parenthèse la monotonie de son existence. Certains aspects du comique au théâtre sont suffisamment simples et efficaces pour permettre un rire spontané et dépourvu de toute arrière-pensée, ce que nous pourrions appeler un rire libérateur. Les vieux procédés comiques empruntés à la farce par exemple divertissent le spectateur à peu de frais. On songera aux claques généreusement administrées à Pierrot par Dom Juan à l’acte II, scène 3 et dont le comique culmine lorsque Pierrot finit par se pencher et que c’est

souligne et d énonce les défauts ordinaires des hommes. Les fonctions de la comédie : divertir et dénoncer Toutes les comédies, depuis l'Antiquité ont pour fonction de divertir le spectateur. Mais en faisant rire le spectateur, le dramaturge de pièce comique entend lui faire réaliser les travers des mœurs de la société dans laquelle il vit. LA TRAGÉDIE ET LA COMÉDIE AU XVIIÈME SIÈCLE : LE CLASSICISME Mouvement culturel, le classicisme naît au XVIIème siècle et poursuit son ascension au XVIIIème siècle

Envoyé par Françoise. [Article quelque peu modifié, paru dans Saggi et ricerche di litteratura francese, vol. XXI (1982), p. 191-241] Les Signes du Comique Sur le plan de l'intrigue, les éléments traditionnels de la comédie sont assez bien connus. Grâce à des études aussi différentes que celles de Northrop Frye et de Charles Mauron, qui se recoupent pourtant sur bien des points(1), nous reconnaissons d'emblée le barbon et le valet, les amoureux et les fâcheux de la «nouvelle» comédie qui domina

qui peut être soit lue dans un livre, soit être représenté sur scène par des acteurs. Il existe deux sorte de pièce de théâtre: la comédie et la tragédie. La tragédie est une pièce triste est doit être agréable à voir, alors que la comédie est comique et a pour but de divertir les spectateurs ou les lecteurs. Pour cela, l’écrivain imagine des pièces inattendu et plus drôle les une que les autres. Mais une question se pose : Peut-on tout représenter au théâtre ? Pour répondre à cette question

recherchent d'autres sujets, plus récents, qu'ils traitent à la manière des auteurs antiques. Pierre Corneille et quelques-uns de ses contemporains y ajoutent cependant un détail supplémentaire : la pièce se termine de manière positive et alterne moments comiques et instants tragiques. C'est la tragi-comédie. Tragi-comédie La tragicomédie est une pièce de théâtre qui représente une crise qui devrait être fatale et sans issue pour ses personnages mais dont le dénouement est inespéré et positif. Dans Le Cid

Fiche de Lecture DOM JUAN de MOLIERE 1. CARTE D’IDENTITÉ DU LIVRE Dom Juan est une pièce de théâtre tragi-comique qui est apparut pour la première fois en 1665 au théâtre du Palais Royal à Paris. Elle a été écrite par Molière, né le 15 janvier 1622 à Paris. 2. L’AUTEUR ET LE CONTEXTE DE L’ÉCRITURE a. Biographie Jean-Baptiste POQUELIN, dit Molière, est né en 1622 à Paris. Fils d’un père tapissier, il perd sa mére à l’âge de dix ans. Après avoir suivis des études dans un

ville basse en 1671) est un jeune valet, paresseux et naïf aux débuts de la Commedia de’ll Arte mais qui par la suite devient rusé, vif, et même parfois immoral. Il fait partie des « Zanni » (ce sont le plus souvent des valets, bouffons à caractères comiques, dont les variétés vont de la ruse à la niaiserie). Il est coureur de jupons mais aime aussi s’amuser et faire de l’esprit : il symbolise la vie et la fantaisie. On le reconnaît par son costume composé de triangles bleus, verts et rouges.

lauriers en poudre », qui est plus occupé à vouloir la convaincre à célébrer sa victoire, selon les Romains. La succession du registre burlesque laisse à la Grande Comédie tend à fournir une fascination par le comique de geste comme la représenté Molière dans Les Fourberies de Scapin lorsque Scapin bat Géronte. Ces gestes provoquent le rire au sein du public qui y trouve un intérêt.