Le Comique Ne Sert Il Qu A Faire Rire

observations : Un spectacle comique est « un spectacle qui ne nous fera pas penser, qui ne nous posera aucun problème. ». Cette définition d’Irénée nous permet de réfléchir sur le rôle des spectacles comiques dans la société. Nous allons tout d’abord démontrer qu’un spectacle comique sert uniquement à divertir, pour ensuite argumenter qu’au contraire il peut amener les spectateurs à s’interroger. Les spectacles comiques sont des œuvres basiques, peu subtiles, pour qu’elles

représentations d'œuvres comiques, de comédies. La comédie est un genre théâtral cinématographique, télévisuel, fonctionnant sur le registre de l'humour. L'exégèse d'une pièce comique dépend de chacun des spectateurs. En effet, il semblerait que caque comédie puisse être vue différemment par chacun d'entre nous. On peut se demander alors, si la comédie n'aborde pas, a travers ses farces et son humour, des questions sociales et culturelles graves, qui permettent de faire réfléchir le spectateur.

Le rire est défini comme étant un comportement réflexe exprimant le plus souvent un sentiment de joie. Il a un double rôle, il rend joyeux et donne confiance aux autres. Les humoristes et les comédies se servent du rire afin de nous montrer une autre vision de la vie. Ainsi on peut se demander si le rire peut changer le monde. Nous verrons dans un premier temps que le rire peut changer le monde puis nous montrerons que malgré tout le rire a ses limites. « Le rire est le propre de l’homme »,

servir qu’à faire rire ? La comédie est née en Grèce aux alentours du Vie siècle avant J-C, ce terme populaire désignait à l’origine les cortèges burlesques appelés « kômoi » où l’on pouvait entendre chansons et plaisanteries dans le cadre des fêtes en l’honneur de Dionysos. Ces manifestations ont ensuite évolué en représentations plus organisées. C’est ainsi qu’est né le théâtre populaire. Le mot comédie a d’abord été utilisé pour parler du théâtre en général, pour ensuite se restreindre à un genre

"Amphitryon" de Molière: commentaire composé de l'Acte II, scène 1 Lorsque Molière écrit Amphitryon en 1668, il s’inspire, entre autres, de la pièce de Plaute, replaçant à l’époque de Jupiter la vie de la cour de Louis XIV. L’intrigue reste la même : le dieu des dieux s’éprend de passion pour Alcmène, la femme d’Amphitryon, et prend l’apparence de son mari pour la séduire, alors que le général thébain est parti en guerre. Molière revisite ainsi le mythe d’origine d’Hercule, en plaçant sa

dramaturge comique du XVIIe siècle, ayant appartenu au mouvement littéraire du Classicisme et auteur de nombreuses pièces dont Le malade imaginaire, qu’il écrivit en 1673. Celle-ci est la toute dernière du dramaturge et est une comédie ballet, c’est à dire qu’elle comporte du théâtre, du chant et de la danse. « Molière nous dit qu’il veut corriger les hommes et la critique s’évertue à justifier cette affirmation de circonstance. En vérité il ne pense qu’a nous faire rire

Plan de la synhèse Problématique : en quoi le comique constitue-t-il une menace ? I- NATURE DU COMIQUE 1- L’humour circonscrit a. Dans une époque b. Dans un lieu 2- Dépendant d’un public II- OBJET DU COMIQUE 1- Quelles sont les cibles ? 2- Comment réagissent les victimes ? III- FONCTIONS DU COMIQUE 1- Les intentions du rieur 2- Les spécificités

Il s'agit de s'interroger sur l'essence du comique qui permet de comprendre quels sont les différents ressorts du comique et quelles sont les différentes comédies. On peut définir le comique comme ce qui suscite le rire, mais le propre de la comédie est d'adord de procurer un sentiment de détente, de divertissement. Elle permet à l'individu d'échapper à la réalité de la vie quotidienne. Le premier critère de définition est celui du rang médiocre des personnages par opposition au rang élevé des personnages

LE COMIQUE DANS GARGANTUA Rabelais est un des maitres du rire. On trouve chez lui tous les degrés du comique : les farces les plus lourdes, héritées du Moyen Age, la gauloiserie poussée jusqu'à la grossièreté, les jeux de mots, calembours et traits d'esprit, la caricature grotesque, la comédie d'intrigue, la parodie, et jusqu'à la comédie de caractère la plus fine. Il y a toutes les formes, tous les tons; il y en a pour le gros public, pour les étudiants et pour les érudits les plus cultivés,

Rire et subversion. Rire semble naturel, pourtant le rire et ceux qui le déclenchent, écrivains, dessinateurs, comiques en tous genres, ont souvent été l’objet de critiques, de méfiance voire de censure et d’interdits. Le rire serait-il donc subversif ? Quatre textes contemporains dont un extrait du célèbre roman, le nom de la Rose s’interrogent sur cette question. Ce corpus nous conduira à expliquer que, si le rire peut se mettre au service de l’ordre et des normes, il est le plus souvent