Le Concierge

avril 1940 à Oran, le docteur Rieux découvre un rat mort sur son palier, le concierge M. Michel pense que c'est une farce. Rieux accompagne à la gare son épouse qui, malade, part se soigner dans une ville voisine. Quelque jours plus tard, les journaux annoncent que plus de six milles rats sont retrouvés mort dans la même journée. Quelques personnes commencent alors a réprimander la municipalité. Monsieur Michel, le concierge de Rieux, tombe malade . Le docteur Rieux essaye de le soigner. Sa maladie

écho au premier paragraphe où il était question de la vieillesse et de la mort qui s'en suis inévitablement. Cette foi, l’événement est marquant, cette foi, on sait de qui il est question exactement. Elle s’appelait Madame Bérenge et elle était concierge. On va même jusqu'à nous informé de l'heure du décès « Hier à huit heures. » Malgré se soudain flot d'informations, l'auteur ne déroge pas à un certain style d'écriture ; des phrases très courtes et concises, un rythme lent, qui transcrit très bien

diffère. Le premier ne dispose que d’une réception où les salariés sont très polyvalents alors que le deuxième a mis en place deux services distincts : la réception et la conciergerie. La concierge a comme fonction de conseiller les clients sur les évènements ou lieux qu’ils pourraient apprécier. Les concierges doivent posséder un sens de l’observation et une connaissance de la ville où ils travaillent très vaste. Ils doivent savoir comment se positionner suivant la culture du client. De plus le

d’autres spectateurs, lui n’est que figurant ». On nous dit meme que cette personne. Il y a une accumulation de chose ennuyante entre la ligne 21 et la ligne 25 « il évite les voiture et ne repond pas aux mots un peu vifs des cochers. Il salue le concierge et s’informe de sa santé il se mêle aux groupe qui entourent les camelots ou les marchand de chansons ». «  Ainsi faute de mieux, à compter les révèrbere des quais les soirs de nuit d’ennui ». Son ennui est tel qu’il comptes les lampadaire sur son

qu'en réalité l'histoire est contemporaine de l'époque des auteurs à savoir la fin des années 70. Clément se voit offrir « une bicyclette », il passe devant « une palissade » où « des boîtes de conserve » jonchent le sol, nous trouvons aussi une « concierge » et « un mannequin de plâtre ». L'illustration représentant des immeubles concourt également à cette affirmation. Tous ces éléments participent de l'effet parodique du conte initial La Belle au bois dormant, jusqu'au prince qui n'a pour monture

rende dans un endroit au climat plus propice pour se faire soigner. Mais avant cela, il a quelques visites urgentes à faire. Dans le couloir de son immeuble, à sa plus grande surprise, il tombe en arrêt devant un cadavre de rat. Il le signale à son concierge qui a toutes les peines du monde à le croire. A son retour pour prendre sa femme, ce sont deux autres cadavres qu’il trouve sur le trottoir. Le train part. Cette séparation lui coûte, mais il espère bien qu’elle lui permettra de retrouver sa

commande à un prof d'unif, Daniel tombe sur Beatriz, la soeur de Tomas Aguilar. Au fur et à mesure, ils se séduisent et se fixent un rendez-vous. Daniel se rend ensuite chez les Fortunyn, où il rencontre la concierge qui lui ouvre la porte. Ils découvrent une lettre de Pénélope (p.159) La concierge raconte l'histoire d'Antoni Fortuny : • • • a épousé Sophie Carax, professeur de piano son fils, Julian, n'a jamais écouté réellement son père. Trop artiste, trop fougueux très pieux Ils reçoivent ensuite

rende dans un endroit au climat plus propice pour se faire soigner. Mais avant cela, il a quelques visites urgentes à faire. Dans le couloir de son immeuble, à sa plus grande surprise, il tombe en arrêt devant un cadavre de rat. Il le signale à son concierge qui a toutes les peines du monde à le croire. A son retour pour prendre sa femme, ce sont deux autres cadavres qu’il trouve sur le trottoir. Le train part. Cette séparation lui coûte, mais il espère bien qu’elle lui permettra de retrouver sa femme

transparentes. Le réalisme nait dans le fait d’une description fidèle des lieux, mélangée à des détails crées dans le but d’appuyer sur la vraisemblance de l’environnement : Duroy demande à un concierge de l’immeuble qui lui indique l’étage de Forestier : « au troisième, la porte à gauche ». Maupassant donne au concierge une émotion, celle du prestige qu’a un militaire : « une voix […] où apparaissait une considération pour son locataire ». Duroy se dirige alors vers les escaliers, ici dépeint comme ce qui

sur son palier. Très vite, le nombre de rats qui remontent à la surface pour mourir se multiplie et les rues de la ville sont bientôt submergées de tas informes de rats morts. Les autorités décident de les incinérer. Les cas humains[modifier] Le concierge de l’immeuble du docteur Rieux tombe malade, et, malgré les soins du médecin, il meurt d’une maladie mystérieuse. Grand, un employé de mairie, vient voir le docteur Rieux car les morts de ces rats se multiplient. À la fin de la première partie, les