Le Conflit Ressort Dramatique

cozlps $Etat militaires qui se sont succédés depuis 1978, s’est engagé dans une entreprise de démocratisation de la vie politique dont nous tenterons de comprendre les ressorts et de dresser un bilan tout provisoire. Un pays isolb sur la scène internationale, après ses engagements de stricte neutralité D durant la guerre du Goye, en conflit ouvert avec son voisin du Sénégal, rqoit désormais l’appui des d&”ties occidentales, de la France en particulier. L ’économie mauritanienne est considérée pour sa

François Coppée et Francisque Sarcey qui apprécièrent son talent. Auteur et comédien, il se produisit dans différents cercles où il rencontra des élèves du Conservatoire, des auteurs débutants ou confirmés (Dumas fils par exemple) et des critiques dramatiques. Dès l’âge de dix-neuf ans, il fit jouer sa première pièce : ____________________________________________________________ _____________________ ‘’Par la fenêtre’’ (1882) Pièce en un acte Hector, avocat de son état, profitant de l'absence

Vous ne l'aimez plus ? LE COMTE Je l'aime beaucoup ; mais trois ans d'union rendent l'hymen si respectable ! » Qu'est-ce que l'action dramatique ? L'action dramatique désigne la façon dont les événements et les relations entre les personnages s'imbriquent pour faire progresser l'intrigue d'une situation initiale à un dénouement. La structure dramatique d'une pièce peut être analysée selon un « schéma actantiel », c'est-à-dire une même situation fondamentale, dont la cellule de base est la

déjà une définition : un « incident imprévu qui se passe en action et qui change subitement l’état des personnages ». Diderot oppose au « coup de théâtre » le « tableau », vision picturale et statique de la scène dramatique. L’effet de surprise permet en général de résoudre un conflit grâce à une intervention extérieure (Entretiens sur le fils naturel, 1757, cité dans le Dictionnaire du théâtre). À l’acte I, on distingue deux effets de surprise et c’est à leur intersection que se joue le « coup

l’expression première du tragique. Giraudoux en réutilise le ressort : par l’incessant rappel de l’hérédité qui pèse sur Electre ; par l’inquiétante présence du divin ; et par une sorte de prédestination intérieure des personnages, qui commande inexorablement leurs actes. A.1) L’hérédité d’Electre : le mythe des Atrides Se basant sur la légende Antique, Giraudoux utilise l’hérédité d’Electre descendant des Atrides comme un des ressorts tragiques de sa pièce. Dès la première scène il fait

les comédiens font exactement la même chose que nous faisons tous, tout le temps et partout. La seule différence est qu'ils sont conscients d'utiliser ce langage. Le texte dramatique se caractérise par son relativisme. Il n'y a pas de point de vue absolu, rassembleur; il y a des personnages, des voix séparées, des conflits, des confrontations... Où est la vérité? Qui a raison? Qui a tort dans tout cela? C'est toujours très énigmatique. Cette absence de point de vue équivoque, ces visions fragmentaires

de la société n'étaient pas semblables, le contexte de moralité n’était pas la même que nos jours, les convictions religieuses ne sont plus du tout identiques… Au début des années 70, l’Amérique est plongée dans l’angoisse puisque de nombreux conflits sociaux, raciaux, et générationnels viennent troubler la présidence de NIXON. Président ultra conservateur. Nous sommes en pleine guerre du Vietnam (59 à 75) et des étudiants qui manifestent et qui s’opposent à cette guerre se font tirer dessus

fait naturellement de la gauche vers la droite de l’œuvre. A gauche, il distinguera la détresse d’une femme rendue par la disposition de ses yeux en formes de larmes, de la distorsion extrême de son cou et de sa bouche largement ouverte par laquelle ressort une langue en forme de poignard. Elle porte dans ses bras un bébé, mort et à la tête renversé, vers lequel pend son sein inutile. Derrière elle, le taureau, figure centrale de l’œuvre, est hérissée d’une pointe et regarde le visiteur effrayé, malgré

coupable : « Ah ! Lindor !... Ah ! Monsieur ! », « Voilà le fruit de ma crédulité. Il m'a trompée. J'ai tout avoué, tout trahi » (IV, 6), Rosine répétera plusieurs fois « Ah ! Lindor ! » pour exprimer son désarroi, sa détresse. Ce qui accentue l'aspect dramatique, pathétique, de la scène : les deux amants sont découverts et doivent agir vite. Que faire ? C'est l'une des nombreuses questions que se pose le public. Le drame est donc aussi présent dans l'œuvre de Beaumarchais. Il suscite l'intérêt des spectateurs

24 L’énumération nominale « Le pantalon, le sang, les dents cassées » Ben évoque les preuves matérielles qui justifient son action en justice. 25-27 L’exclamation de Susan « Nous sommes … table » + l’interrogation de Ben « Ne m’a-t-on …question » Conflit conjugal entre le mari sur la défensive et une épouse attachée malgré tout aux bonnes manières à table. 28-29 Question rhétorique « Comment peut survivre un système… ? Viviers indique que l’Apartheid est inacceptable, et exprime la révolte face à