Le Convoi de la peur

guerre (celle d’Espagne notamment) pour en mener une autre ici, celle de la rue, faite de sabotage de trains, de pylônes électriques, d’explosion de convois… J’ai vraiment adoré. On est vraiment plongé en plein dedans. On suit au fil des heures les opérations de ces jeunes résistants, on a peur avec eux, peur pour eux, peur qu’ils se fassent prendre, peur que tout s’arrête, mais on ne peut s’arrêter de lire. Un peu comme dans ces films où l’on se ronge les ongles, stressé par l’attente, par l’envie

des projecteurs. Un peu plus loin, une file de camions. Puis tout se tut à nouveau. Quelqu'un traduisit les ordres : il fallait descendre avec les bagages et les déposer le long du train. En un instant, le quai fourmillait d'ombres ; mais nous avions peur de rompre le silence, et tous s'affairaient autour des bagages, se cherchaient, s'interpellaient, mais timidement, à mi-voix. Une dizaine de SS, plantés sur leurs jambes écartées, se tenaient à distance, l'air indifférent. À un moment donné, ils s'approchèrent

L’ŒUVRE : C’est une famille juive qui est a l’arrivé au camps d’extermination car il ont encore leurs affaires, le tri a déjà était fait, car il manque le père de cette famille, qui a dut etre apte au travail. Le train du dernier plan rappelle le convoie. Le garde est un garde SS parce que il n’y a que les SS des camps qui peuvent porter la tete de mort comme on le voit sur la manche. On peut voir la barbarie du camps, des cadavres par terre, des gens a quatre patte. La brutalité que les gens peuvent

chercher ensemble si vous voulez bien, vers cinq heures. Sa Majesté aime beaucoup les Danois, Sa Majesté vous recevra bien volontiers, vous pourriez peut-être un peu vous promener avec moi en attendant. Comme le palais est très grand, j'ai toujours peur de m'y perdre et de me trouver tout à coup devant les cuisines, alors, vous comprenez, pour une Reine, ce serait tellement ridicule. Nous allons aller par ici. Je connais bien le chemin. Voici ma chambre à coucher. Et ils entrent dans la chambre à

déportation. La famille vient d'arriver d'un convoi que l'on suppose juif. Ils ont déjà été sélectionné : les femmes, enfants, bébés et vieillards sont inaptes au travail et envoyés aux chambres à gaz dès leur arrivée au camps. Ils y sont amenés par les gardes SS. Le cadavre qui flotte symbolise leur mort inévitable. Les corps sont marqués de la souffrance de la déportation : manque de nourriture, d'eau, d'hygiène, de repos, etc. La scène à lieu dans un climat de peur et d'horreur. Les couleurs chaudes comme

l'ennemi. Pourquoi un tel déploiement uniquement pour détruire une flotte pirate? C'est la question que lui avaient posé ses généraux, lorsqu'il leur avait annoncé son plan pour se débarrasser des navires pirates qui s'en prenais depuis peu à ses convois marchands. Pour marquer les esprits, leur avait-il répondus. Pour montrer à tous ces maudits écumeurs des étoiles ce qui leur en coûte de s'attaquer à lui et à son empire. -Une des plus grandes démonstration de forces que ces sauvage auront l'occasion

guerre inévitable et devient dès lors l'un des premiers libéraux à s'illustrer dans un tel patriotisme. Lloyd Georges est le premier ministre britannique à partir de décembre 1916. De 1916 à 1918, il persuade la Royal Navy d'utiliser le système du convoi, et unifie les armées alliées sous le commandement du général français Foch. De plus, Lloyd Georges, avant d'être premier ministre britannique était avocat puis Chancelier de l'Échiquier (ministre des finances) de 1908 à 1915, alors le fait qu'il

camp d'extermination d'Auschwitz dans la période de 1943 à 1945. Nous avons choisi cette Œuvre car elle est bouleversante. chaque détail y est représenté avec un réalisme terrifiant. Nous ressentons la mort,la détresse, la souffrance, la peur....Mais aussi une indescriptible impuissance face au génocide. Pendant ce diaporama, nous écouterons une musique de Steve REICH «  Different trains ». Cette musique, créée à Londres le 2 novembre 1988, rend hommage aux victimes déportées durant

par exemple Caroz. Personnages principaux: -Personnage 1 : Gocéné. C'est le personnage principal de l'histoire. Il est le futur mari de Minoé. Il ne fait pas partie du convoi qui doit quitter Paris. Avec son ami Badimoin, il part à la recherche de sa future femme. Il est courageux et fidèle en amour et en amitié. Il n'a pas peur d'affronter ses pires ennemis pour se protéger lui et ses proches. C’est un homme de parole, car il a promis au père de Minoé de prendre soin d’elle. - Personnage 2 :

la ville d’être dans une situation économique prospère. Les habitation sur le quai l’Estoushi en témoigne les maisons à balcons et au toit en lauze appartenaient aux pécheurs. Ces hommes ne vivaient jamais au rez de chaussé de leur habitation par peur d’inondation. Ces habitations élaborées témoignent du développement du centre urbain. Sur ce quai on trouve également le bureau d’enregistrement des départs de gabarres en effet 400 partaient en navigation chaque année. Mais à l’arrivé du train en