Le Convoi de la peur

l’histoire. Il est promis à Minoé, de la tribu des Canala. Il ne fait pas partie du convoi qui doit quitter Paris. Avec son ami Badimoin, il part à la recherche de sa future femme. Il est courageux et fidèle en amitié. En effet, il n’hésite pas à affronter les dirigeants racistes de l’organisation de l’Exposition et les policiers qui partent à sa recherche. Par ailleurs, il n’abandonne jamais Badimoin, alors que celui-ci a peur de se réfugier dans le métro parisien. C’est un homme de parole, car il a promis

silence plus lourd. Tout petit, j’avais déjà peur de mourir. Comme j’étais débile et que les gens me caressaient avec compassion, je pensais constamment que je ne vivrais pas, qu’on m’enterrerait de bonne heure. Et cette pensée de la terre me causait une épouvante, à laquelle je ne pouvais m’habituer, bien qu’elle me hantât nuit et jour. En grandissant, j’avais gardé cette idée fixe. Parfois, après des journées de réflexion, je croyais avoir vaincu ma peur. Eh bien ! On mourait, c’était fini ; tout

Le Horla Le schéma narratif : Situation initiale : L’histoire débute en Normandie, près de Rouen, au printemps. Le narrateur se repose dans son jardin. Il observe un convoi de navires traverser la Seine; il remarque un magnifique trois-mâts brésilien dont la blancheur immaculée le subjugue L’élément perturbateur : Cinq jours plus tard, le narrateur, malade, se sent envahi par une mélancolie inexplicable L’action : L’héro fait différent voyage, croyant que cela apaisera ces visions et

connaissance, il s’est enroulé ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a donné l’envie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes transportant les forçats le réveille. Conduit par des gendarmes à cheval et des argousins à pieds, le convoi prend départ pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misères. Emu par ce spectacle désolant, le narrateur préfère la guillotine à la galère. Résumé du chapitre 15 Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idée

cette œuvre, je ressens…. Voici quelques idées: - Quand j ’entends cette œuvre, quelle est la première chose qui me vient à l’esprit ? - Puis en m’attardant , quel est l’effet que fait l’œuvre sur moi ? Elle me touche, elle me rassure, elle me fait peur, elle me bouleverse, elle m’inquiète, elle m’interroge…………. - Si je pouvais entrer dans cette œuvre, à quel moment aimerais-je intervenir.  J’entends une alternance de trois mouvements - bruitages évoquant les trains (sirènes, crissements) - modifications

Commentaire de texteSupport : Olivier Bécaille, pages 31 à 33 « Mais les hommes étaient pressés … je m’évanouis ». La mise en bière fut brutale. La peur et l’effarement du narrateur se fit ressentir par un ébranlement de tout son corps dès que le couvercle fut posé. À ce moment précis, une prise de conscience soudaine apparut chez Bécaille : « C’en était fait, j’avais vécu », ligne 28 page 31. En effet, il avait compris qu’il était dans un cercueil prêt à être enterré. C’était comme la vrai mort

Los Angelès, Steve Reich accompagné de sa gouvernante, effectue, à cause d’une garde alternée, régulièrement, des voyages pour se rendre une fois chez l’un et une fois chez l’autre. Dans son œuvre, Steve Reich « superpose » ses voyages avec les convois de déportés vers les camps d’extermination. Etant juif, Steve Reich insinue que s’il avait vécu en Europe à cette époque là, ses voyages en train auraient été bien différents. Wagon d’un train de déportés

d'aller voir un jeune homme qui se tient à l'écart pour connaître l'identité de cette jeune fille. L'homme qui a suivi le convoi depuis Paris est anéhanti, il est très triste, il refuse de dire ce qu'il s'est passé mais lui dit qu'il aime tellement cette fille qu'il a l'intention de la suivre en Amérique. Il a tout essayer pour la libérer, il a d'abord tenté d'attaquer le convoi mais les hommes qui l'accompagnait l'ont laissé seul en emportant l'argent, ensuite il a demandé aux archers si il pouvait

était celle d’une écolière typique, au fil du journal Anne aborde les changements dont elle a été témoin depuis le début de l’occupation allemande. Bergen-Belsen (Allemagne) Le 3 septembre 1944 ils furent déportés avec ce qui fut le dernier convoi de Westerbork pour le camp d’extermination d’Auschiwtz. Ils y arrivèrent la nuit du 5 au 6 septembre 1944 après un long voyage dans des conditions atroces. Anne mourut du typhus quelques jours avant la libération du camp. Seul son père revint

D’autres élections ont lieu et c’est le président Petro Porochenko qui est élu avec 54 % des votes. Par contre, dans une partie de l’est de l’Ukraine plusieurs personnes n’ont pas pu voter à cause d’absence d’urne et de bulletin ou parce qu’ils ont eu peur pour leur sécurité. Le nouveau gouvernement ukrainien décide aussi de mettre comme langue officielle l’ukrainien dans tout le pays. Cela ne plait pas au russophone ce qui a comme effet de prolonger la crise en Ukraine et donne lieu à la guerre de Donbass