Le Coq Et Le Renard

50 Le vase L’îlot Le bord de mer Câlins pour bébé Un logement Le pré Le goûter Le fusil Notre maître Son visage Le ruisseau Drôle de sujets ! Devinette Détente Un bon choix Devant la cheminée Des soucis Un peu de cuisine Film Le coq Mon village Le crabe Est-ce une question de pâtisserie ? Mon acteur préféré Le mot Fiche 51 Fiche 52 Fiche 53 Fiche 54 Fiche 55 Fiche 56 Fiche 57 Fiche 58 Fiche 59 Fiche 60 Fiche 61 Fiche 62 Fiche 63 Fiche 64 Fiche 65 Fiche 66

me souviens même de la lumière le jour où j’ai laissé derrière moi les lieux de mon enfance. Elle aussi était un présageÞ: un jaune sale, un jaune d’orage qui ne veut pas éclater. Une odeur fade flot- tait dans l’air. Une chouette débusquée par un renard s’est envolée en plein midi. Ses serres m’ont frôlé. Mon cheval s’est cabré et j’ai manqué être désarçonné. Présage de mort annoncée. Le vieux Gui, mon serviteur, est devenu tout pâle. Moi aussi.6 Trois jours plus tard, après avoir suivi les boucles

voies de la justice. E) Toutes choses ayant été RÉGLÉES par sa vanité ou par son amour-propre, l’insensé se persuade que les plus beaux succès lui sont ASSURÉS. F) Bien des souvenirs émouvants s’attachent aux lieux où nous sommes NÉS. G) Quand le renard et le bouc furent DESCENDUS dans le puits, ils se désaltérèrent, puis ils pensèrent à sortir de là. H) Après être CONVENUS de nos torts, il faut encore que nous nous tirions du désordre où nous sommes TOMBÉS et que nous réparions ce que nous devons

l’observation du monde. Dans le monde des voleurs, la « foi » est liée au pacte immoral conclu entre eux; l’union fait aussi la force. La fable empruntée à Ésope permet de dénoncer l’aveuglement humain  : nul ne résiste au tyran, contrairement au renard. Une réflexion morale et politique La Boétie défend une conception de l’amitié sincère et noble, fondée sur des qualités morales avérées « mutuelle estime » (l. 2), « intégrité », « son bon naturel, la foi et la constance » (l. 5). Ce passage peut

banc rompu pour la banqueroute, « non » avec un dur habit de cuirasse pour « non durabit », un lit sans ciel pour un licencié. Ce sont là des rébus homonymiques si ineptes et si fades, si grossiers et barbares que l’on devrait attacher une queue de renard au cou et faire un masque de bouse vache à chacun de ceux qui voudraient dorénavant s’en servir en France après la renaissance des belles lettres. Par les mêmes raisons (si je puis les nommer raisons et non plutôt élucubrations), je pourrais me faire

pas ». Les enfants proposent alors des noms d’animaux que la maîtresse accepte ou rejette en grondant comme si elle était le loup. Après avoir laissé fuser les premières propositions (tigre, éléphant, lézard, biche, cochon, coq, anaconda géant, serpent, rhinocéros, canard, coq, dinosaure, etc.), elle accepte « les pous- sins ». « Parce que c’est petit » commente un élève. La maîtresse précise alors sa consigne : « on s’ar- rête // si vous n’écoutez pas le nom des animaux vous n’allez pas comprendre

magique » (p. 79), « Le Bouvreuil et le Corbeau » (p. 85), « Le Grillon » (p. 93), « La Jeune Poule et le vieux Renard » (p. 97), « Myson » (p. 99), « Le Rhinocéros et le Dromadaire » (p. 107), « Le Rossignol et le Paon » (p. 109), « Le Sanglier et les Rossignols » (p. 119), « Le Dervis, la Corneille et le Faucon » (p. 121), « La Chenille » (p. 125), « L’Écureuil, le Chien et le Renard » (p. 135), « Le Milan et le Pigeon » (p. 145), « Le Philosophe et le Chat-Huant » (p. 149), « La Guenon, le Singe

n’offre qu’un aperçu de l’œuvre du tandem Bernard/Roca qu’il conviendra de proposer aux lecteurs intéressés. BOLLIGER MAX – EINSIKAT KLAUS & Renard * Renard Salem-Marin Anne trad. Neis Lilo et La Joie de lire – 44 p. – 16,50 € Difficulté de lecture : niveau 1 à 2 L’ambivalence traditionnelle du renard se dédouble dans cette histoire: il y a deux renards, l’un courageux et l’autre peureux, l’un aventureux et l’autre casanier, l’un épris d’héroïsme et l’autre adepte de menus plaisirs. Un jour, le

perro / el gato. Le cheval = el caballo. Le lapin = el conejo. Un poisson = un pez. Un oiseau = un pájaro ; un ave. Un canard = un pato. Une poule = una gallina. Le coq = el gallo. Une chèvre = una cabra. Un cochon = un cerdo. Un âne = un burro ; un asno. La tortue = la tortuga. La grenouille = la rana. L'écureuil = la ardilla. Le renard = el zorro. Le loup = el lobo. L'ours = el oso. Un aigle = un águila. La girafe = la jirafa. Le serpent = la serpiente. Le lion = el león. Le tigre = el tigre. Le

dérisoire, ubuesque. Mais cela aussi, c’est la démocratie. Le belge est si farouchement attaché à son indépendance et à sa liberté qu’il préfère couper chaque cheveu en seize ou multiplier de même gouvernements et ministres. Rien n’est parfait disait le renard dans le petit prince. La démocratie non plus. Et si nous paraissons parfois ridicules, nous sommes des gens heureux. C’est ce que tu apprendras, ami, si tu descends de ton avion, de ton train, de ta voiture dans mon pays Belgique. Certains disent