Le Corbeau Et Le Renard Conclusion

I…………………………………………………………..……2 B- Séquence II………………………………………………………….……3 C- Séquence III………………………………………………………...……4 D- Séquence IV………………………………………………….…………..4 E- Séquence V…………………………………………………………….…5 II – Proposition de quelques fiches pédagogiques :…………………..………7 Conclusion :……………………………………………………………………41 2 Préambule : L e présent module se veut une étude axée essentiellement sur une nouvelle fantastique à savoir « Le Chevalier double » écrite par un nouvelliste qui plaide pour l’art comme étant en soi.

censure. Le roi était par exemple souvent représenté par le lion comme dans «La cour du Lion» de La Fontaine. Il choisit le lion pour montrer l’autorité et la puissance. D’autres exemples classiques sont le singe pour représenter la flatterie, le renard pour représenter l’intelligence et la dissimulation ou encore l’ourse pour représenter la maladresse et la lourdeur. Les fabulistes nous communiquent leurs idées par le biais des animaux. Ils évitent la censure en utilisant l’argumentation indirecte

nord ». De plus, les fables de la Fontaine dénoncent également les mœurs de la société. En effet, ces fables, dont les personnages sont le plus souvent des animaux, fustigent en réalité des vices. Ainsi par exemple dans la fable du « Corbeau et Le Renard », « Maitre Renard » représente l’arriviste beau parleur qui profite des gens ; de la même façon, dans « La Cigale et La Fourmis », « la fourmi », caractérise un personnage avare qui ne veut pas partager ses réserves avec la cigale. Nous pouvons remarquer

d'une personne à travers l'étude de ses traits. Chez Le Brun comme chez Lafontaine, les Hommes sont transformés en animaux en fonction de leurs trait physiques chez Le Brun et leurs caractères chez Lafontaine. Dans la fable Le Corbeau et le Renard, le choix du renard par Lafontaine n'est pas innocent, il met en avant le caractère rusé de la personne qui représente un courtisan qui intringue et qui flatte les autres afin de mieux parvenir à ses fins. Gravure : Il s'agit d'une gravure de Gustave

d'autres genres littéraires A. La fiction est moins rigoureuse, moins convaincante que d'autres formes d'argumentation B. L'imaginaire ne peut montrer la dimension réelle qu'apportent d'autres formes d'argumentation et a donc moins d'impact Conclusion Prenons l’un des thèmes majeurs du roman : la fiction. Et interrogeons-nous : Quels peuvent être les avantages, dans un roman, de recourir à une fiction pour argumenter ? Nous verrons dans un premier temps que, l'originalité du texte

» 6 Le Corbeau et le Renard Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : « Hé ! bonjour, monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s’en saisit

(fils du roi) et le Duc de Bourgogne (petit fils de louis14) Représente un théâtre de l'univers avec personnages du + puissant au + faible. PROBLEMATIQUE : Comment La Fontaine parvient - il à faire de cette fable un texte argumentatif ? CONCLUSION : L.F type ses perso. et les ancrent dans la réalité de son époque. Construsion de la fable comme une tragédie. L.F apparait comme socioloque moderne mais pessimiste dans sa vision de la société du 17ème. C'est un texte argumentatif car L

livre IV de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668. Le Corbeau, la Gazelle, la Tortue et le Rat est la quinzième fable du livre XII de Jean de La Fontaine situé dans le troisième et dernier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1693 mais daté de 1694. Les Deux Rats, le Renard et l'Œuf  forme, avec le Discours à Madame de La Sablière qui précède, la première fable du livre X de Jean de La Fontaine situé

réfléchir avant de cerner la critique. Pour finir la fable contourne la censure souvent à l'aide d'allégorie. Par exemple dans La Cour du Lion, Le lion incarne le roi, l'ours le franc parlé et la maladresse, le singe l'hypocrite flatteur et le renard le courtisant rusé. Dans cette fable on y dénonce la susceptibilité et la cruauté du roi, mais La Fontaine dénonce plus particulièrement le régime tyrannique imposé par le roi. « Ce Monseigneur de Lion-là Fut parent de Caligula » en utilisant ce procédé

la Tortue »), d’autres prévoyants (la Fourmi, de « La Cigale et la Fourmi ») mais que de nombreux autres seront pédants (Le Lièvre, du « Lièvre et la Tortue »), cruels et naïfs (le Lion, des « Obsèques de la Lionne ») ou même sots (le Corbeau, du « Corbeau et le Renard). Tous ces comportements décrits par La Fontaine dérangent fortement, ils font prendre conscience que le lecteur, l’Homme en général, n’est pas toujours identifiable au plus malin des personnages. Au-delà même des comportements