Le Cousin Pons

Explication de la description du cousin Pons [Introduction] Ce passage, écrit à la 3ème personne, est un texte descriptif dans lequel Balzac nous fait le portrait de son personnage principal. On peut distinguer deux parties dans cette extrait : la description en elle-même du visage de Pons et l'effet qu'il produisait sur ceux qui le voyait dans une seconde partie. Nous verrons comment Balzac à travers une description comique et partielle, dresse en fait une image profondément triste et

l’inverse de nombre de personnes, que Balzac est avant tout un « visionnaire ». Mais qu’en est-il vraiment ? C’est pour tenter de répondre à cette question que nous allons analyser l’opinion de Baudelaire en nous appuyant sur le Cousin Pons, œuvre extraite de la Comédie Humaine d’Honoré de Balzac Premièrement, nous verrons sur quels points on peut considérer que Balzac est « un observateur ». Nous traiterons donc les aspects réels de son ouvrage, les détails de ses descriptions

I. L'HISTOIRE La Cousine Bette est d'abord l'histoire d'une vengeance, celle que Lisbeth Fischer – la cousine Bette – fomente contre les Hulot, et plus particulièrement contre Adeline Hulot, sa trop belle cousine, qui incarne à ses yeux la réussite sociale et conjugale dont elle se sent lésée. D'abord résignée à son statut de parente pauvre – dont elle tire de petits bénéfices – la vieille fille laisse libre cours à son désir de vengeance quand elle apprend que Wenceslas Steinbock, le jeune artiste

RédactionLe dossier s’empare d’un sujet bien particulier : la passion universelle pour la collection. Cependant en quoi consiste-t-elle réellement ? Comment s’exprime-t-elle ? Dans une première partie, il s’agira de présenter les « acteurs » de la collection, puis, dans une deuxième partie, la dimension pulsionnelle et émotionnelle de celle-ci. Enfin, la dernière partie s’attachera à sa dimension plus rationnelle.Pour définir ce qu’est une collection, il est intéressant de savoir qui sont les collectionneurs

3. Crevel. 4. Bette. V) L’Envie I).Introduction. 1846 : La Cousine Bette 1847 : Le Cousin Pons Ce sont les deux derniers romans publiés du vivant de Balzac. Ils sont publiés sous forme d'article dans un journal. Tous deux reprennent le thème du parent pauvre. Dans Pierrette : Une orpheline est accueillie par son oncle et sa tante puis, persécutée par eux. Le Cousin Pons est lui aussi persécuté. Dans La Cousine Bette : le parent pauvre devient le persécuteur. Le persécuté devient le

réalisme de la situation ? Honoré de Balzac, Le Cousin Pons (1847) Sylvain Pons est un compositeur de musique dont la gloire s’est éteinte. Mais il a gardé de son prestige passé le goût des belles choses, et surtout il est resté d’une extrême gourmandise. Ayant de petits revenus, il cherche ainsi toutes les possibilités pour manger de bonnes choses à peu de frais… Mais la société bourgeoise apprécie de moins en moins les artistes et quand Pons est invité en société, on se moque bien souvent de

« Psychologies » paru en juillet-août 1998, il répondra à la question : « Les collectionneurs sont-ils névrosés ? ». Dans cette démarche semblable Honoré de BALZAC dépeint le portrait d’un personnage à la manière d’une biographie dans un extrait du roman « Le cousin Pons » paru en 1847. Enfin le dernier document, une photographie datant de 2005 nommée « La collection des postes de radio : Les transistors » exprime clairement la frénésie qu’éprouve un collectionneur pour des objets divers et variés. La confrontation

Pluche, arrive aussi sa cousine Camille qui sort du couvent. C'est le Baron, père de Perdican qui a combiné cette rencontre : il veut marier ces enfants qui "s'aimaient" d'ailleurs fort tendrement dès le berceau. La première entrevue est plutôt décevante : Camille, très réservée, refuse d'embrasser son cousin. Elle a entendu dire tellement de mal des hommes qu'elle a peur de l'amour et préfère revenir au couvent. Cette résistance va rendre Perdican amoureux de sa cousine. De dépit, il descend au

intitulé « La passion de la collection » et écrit par J. Delvaux, le deuxième paru dans « Psychologies » de l’été 1998, titré « Les collectionneurs sont-ils névrosés ? » et rédigé par E. Pigani. Le troisième document est un extrait du roman « Le Cousin Pons » de Balzac, publié en 1847. Enfin, le dernier est un document iconographique puisqu’il s’agit d’une photographie de 2005, intitulée « La collection des postes de radio : les transistors ». A travers chacun de ces documents, une question se dégage :

par Raphaël de Valentin avec lequel il se lie d’amitié dans la Peau de chagrin. Bien placé en politique dans Une ténébreuse affaire, il épouse finalement la fille unique de Nucingen, Augusta (le Député d'Arcis). On le voit encore dans Béatrix et la Cousine Bette. Il finira sa vie paisiblement : comte, pair de France et ministre de la Justice (la Maison du chat-qui-pelote). Delphine de Nucingen entre son amant Eugène de Rastignac et son vieux père Jean-Joachim Goriot. Ce personnage, que Balzac