Le Crime Au Père Boniface

Edit de Thessalonique 380 : religion chrétienne, religion d’Etat. Ambroise, évêque, va intervenir dans la sphère temporelle. Massacre de Thessalonique en 390, Théodose va venger ce crime et va faire massacrer la population de Thessalonique. Ambroise va dire qu’il n’est pas possible même à l’empereur de commettre ce crime puisqu’il n’est pas au-dessus de la religion, mais il est dans le peuple chrétien, il est donc aussi soumis aux lois des chrétiens. Le pouvoir religieux peut donc indiquer au pouvoir

parvenir a constituer de véritables fédérations, des alliances entre les tribus qui vont donner lieu à des peuples fédérés. Le niveau judiciaire. Il n'y a pas de justice publique les sanctions sont privées c'est la vengeance et en général le délit ou le crime sont une affaire entre la victime et sa famille et le délinquant ou le criminel ou sa famille s'il est mort. Certain délits publics existe mais seulement la trahison ou l'atteinte personnelle au chef. Importance des liens personnels ce qui compte

participer directement l’église à la nomination du roi avec le sacre. 1° L’introduction du sacre. Pépin le bref va introduire cette pratique et y accorde une telle importance qu’il se fera sacrer 2 fois. Le premier sacre le reçoit de l’évêque Boniface à Soisson en 751 et une seconde fois par le pape en 754, par Etienne 2 ainsi que ces 2 fils Charlemagne et Carloman. Les origines du sacre sont double, une origine wisigothique et byzantine et une origine juive. Il devient roi par la grâce de dieu

Constantinople. 380 Édit de Thessalonique par Théodose le Grand. Le christianisme devient religion officielle de l’Empire romain. 395 Partage de l’Empire romain par Théodose le Grand (Honorius : Occident. Arcadius : Orient) 397 Mort de saint Ambroise (Père de l’Église) et de saint Martin (apôtre de la Gaule romaine). (Ligugé et Marmoutier, premiers monastères d’Occident). Saint Jean Chrysostome, évêque de Constantinople. 430 Mort de saint Augustin à Hippone assiégée par les Vandales. 431 Concile

INTRODUCTIONHISTOIRE DU DROIT ET DES INSTITUTIONSL’histoire du droit correspond à l’étude du droit et des institutionsintérêts : · Apprendre que le droit doit être contextualiser, parce qu’il est toujours l’expression des principes directeurs d’une époque et d’une culture. · Comprendre le droit public actuel, le droit français est l’héritier des expériences passées· Prendre de la hauteur sur le droit et avoir un esprit critiquePortalis : « jamais vous ne saurez le code civil si vous n’apprenez que

politiquement de choisir l’une ou l’autre. Après 476, les barbares continuent la romanité, avec élément de continuité très fort : l’Eglise. Ex : Clovis succède à son père Childéric en 491. Dans la tombe de Childéric, des chevaux (il est païen), des fibules, anneau avec son sceau (il est général romain). Clovis succède à son père en tant que fonctionnaire romain, en Belgique seconde. En 510, quand Clovis a vaincu tous ses ennemis en Gaule, l’empereur d’Orient lui décerne les honneurs consulaires

Expédition du général Leclerc à Saint-Domingue · 1804 : Indépendance d'Haïti · 1826 : Reconnaissance de l'indépendance par la France 1915 - 1934 : Occupation américaine · 1957 : Élection de François Duvalier · 1971 : Jean-Claude Duvalier succède à son père le 22 Avril 1971 · 1986 : Fuite et exil de Jean-Claude Duvalier (7 février 1986) · 1988 : Leslie Manigat porté au pouvoir suite aux élections organisées par l'armée (7 février 1988 - 20 juin 1988) · 1988 : Coup d'État d'Henri Namphy (20 juin 1988 -

plus bas de l’échelle sociale, on a les esclaves et légèrement au dessus, les demi- libres anciens parmi lesquels on compte les esclaves affranchis. - 1er niveau d’organisation des rapports sociaux : le niveau familial Au sein de la famille, le père exerce le « mundium » sur son épouse et ses enfants. En réalité, le clan familial s’élargit à la présence de protégés, les clients qui entrent dans la famille avec qui se créent des liens de solidarité très étroite. Comme l’Etat n’existe pas, c’est

assuré, sortait d'un long silence. Dès que je l'aperçus au sein du grand désert, je me mis à crier : « Ô toi, qui que tu sois, ombre ou, sinon, vivant, prends pitié de ma peine ! »11 « Je ne suis pas vivant, dit-il, mais je le fus. J'étais Lombard de père aussi bien que de mère ; leur terre à tous les deux avait été Mantoue. Moi-même, je naquis sub Julio, mais tard12 ; et je vivais à Rome, au temps du bon Auguste, à l'époque des dieux mensongers et trompeurs. J'étais alors poète et j'ai chanté d'Anchise

principal, peut s ‘identifier à Alexandre Farnèse de la cronique italienne qui doit servir de schéma au « romanzetto » projeté pour la Chartreuse. De son modèle italien venu du XVI e siècle, il a gardé les instincts violents et l’énergie qui le mènent au crime comme à la passion, l ‘un et l’autre n’étant que la même manifestation d’une authentique « virtu » à l’italien, que Stendhal retrouve à l’heure du Risorgimento et des carbonari dans l’Italie du XIX e siècle. Mais Fabrice, c ‘est également Stendhal