Le Cuirassé Potemkine

pays neuf tourné vers le progrès et la modernité. Petit à petit, on utilise de nouveaux supports au service de la propagande comme le cinéma, la radio, la photographie. Cinéma => Eisenstein: réalise plusieurs films de propagande. ( Le cuirassé Potemkine => 1925 Octobre => 1927 Ivan le terrible -1942 - 1946) Principal héros = peuple Objectif= faire approuver la révolution et le régime soviétique.

Juillet. Elle est exposée dès 1831 au Salon. Elle peut rappeler les œuvres de propagande : exemple : - Le cuirassé Potemkine de Sergei Eisenstein Le film « Le cuirassé Potemkine » fut commandé en 1925 par les Soviétiques à Eisenstein, cinéaste mondialement renommé, pour commémorer le début de la Révolution soviétique (1905). Cette histoire idéalisée de la mutinerie sur le cuirassé et de révoltes populaires associées a fait date dans l’histoire du cinéma car Eisenstein était un pionnier du

y affronte le froid, la misère ,et la cupidité des hommes. Cette comédie muette connaît un succès critique et populaire immédiat,en 1959,un jury international sacrera l'oeuvre comme le deuxième plus grand film de tout les temps , après « le cuirasse Potemkine » d'Eisenstein tourné la même année 3) Freidrich Wilhelm Murnau Friedrick Wilhem Murnau est né dans une famille de la bourgeoisie allemande et fait des études de philosophie et d'art. Appelé au combat pendant la première guerre mondiale

Berstein Manhattan-Kaboul, Renaud et A.Red Un survivant de Varsovie, Schonberg Histoire du soldat, I. Stravinski Une démarche artistique sur la notion de temporalité : de 1 à l’infini (1965), R.Opalka La Guerre (1929-1932), Otto Dix Le cuirassé Potemkine, S.Eisenstein (1925) Les affiches de propagande antifascistes, J.Eartfield L’affiche rouge (1944) Guernica, Picasso (1937) Autel du lycée Chazes, Boltanski (1981) Les oiseaux, A. Hitchcock (1963) La jeune fille à la perle, P. Weber (2003)

populaires, la production cinématographique en Russie a eu dès 1917 un rôle culturel important : immédiatement après la révolution de 1917, le cinéma soviétique a exploré les possibilités et les limites du montage avec par exemple des films comme Le Cuirassé Potemkine. Il est évident que le régime utilisait aussi cet art pour former les masses, mais il tenta cependant de le faire avec des formes nouvelles et une grande créativité. Des réalisateurs soviétiques comme Sergueï Eisenstein et Andrei Tarkovski marquèrent

rentre dans une période appelée « Epokha Malokartinia », qui se traduit par une baisse significative de la production de films soviétiques et de l’attrait de ceux-ci. Des réalisateurs acclamés auparavant pour leurs œuvres comme par exemple le Cuirassé Potemkine en 1925 ou Octobre sorti en 1927 (à l’occasion de la célébration des dix ans de la révolution russe) de Sergueï Eisenstein se voient interdire la diffusion de leurs œuvres par la suite. C’est le cas d’Ivan le Terrible, toujours d’Eisenstein

plan. Il faut tenir compte de ce que cet espace ne doit pas être construit seulement en fonction de la prise de vues, mais aussi en tenant compte des données optiques. À côté du lieu de l'action […] » Par exemple, dans la première partie du Cuirassé Potemkine, la scène du rassemblement de tous les matelots sur le pont illustre bien la manière dont Eisenstein traite l’espace. L’espace est organisé chaque acteur est à une place bien précise, il y a une hiérarchie que l’on retrouve aussi dans l’emplacement

Juillet. Elle est exposée dès 1831 au Salon. Elle peut rappeler les œuvres de propagande : exemple : – Le cuirassé Potemkine de Sergei Eisenstein Le film « Le cuirassé Potemkine » fut commandé en 1925 par les Soviétiques à Eisenstein, cinéaste mondialement renommé, pour commémorer le début de la Révolution soviétique (1905). Cette histoire idéalisée de la mutinerie sur le cuirassé et de révoltes populaires associées a fait date dans l’histoire du cinéma car Eisenstein était un pionnier du

« Le montage des attractions » ou « d’attraction » vient de son passé dans le théâtre avant que Eisenstein ne se lance dans le cinéma avec « la grève » ou encore « le cuirassé de Potemkin » en 1925 C’est avec « le journal de Gloumov » qui est une pièce de théâtre avec une partie filmique qu’est apparue cette nouvelle notion. Pour lui attraction voulait dire plusieurs chose que ce soit l’attraction foraine, mais voulait surtout dire burlesque qui met en jeu le corps de façon excentrique un peu exagérer

par les dirigeants qui leur prenaient tout. Dans ce livre de Soljenitsyne nous fait remarquer les conditions très difficiles dans lesquelles travaillent donc tous ces prisonniers. L’auteur fait aussi des références au film de propagande «Le Cuirassé Potemkine » lors d’une discussion entre César, un prisonnier et un commandant : « Et la voiture d’enfant roulant sur l’escalier d’Odessa ?» ainsi que «Tenez, encore, les vers qui grouillent sur la viande avariée, ce sont des vers de pluie.»(p.154) dans