Le Cuirassé Potemkine

dessus de sa tête, donnant a la scène un aspect théâtral : le culte de la personnalité n'est pas caché. Si le pouvoir servi est montré explicitement pour cette œuvre, il l'est un peu moins dans le prochain exemple. Il s'agit d'une affiche du Cuirassé Potemkine (1925) par Alexander Rodchenko. A la suite de la Révolution bolchevik de 1917, le cinéma russe devient une arme de propagande pour le parti communiste, la production étant nationalisé par l'Etat en 1919. On se souvient d'ailleurs de la phrase

admirait les cinéastes soviétiques car leur cinéma avait pour objectif de faire réfléchir le public et car il était financé par le gouvernement. Il admirait l'esthétique des filmes soviétiques. D'ailleurs, il a collaboré à la restauration du « Cuirassé Potemkine » d'Eisenstein. Grierson a rendu hommage aux montagistes soviétiques dans ses écrits. Il admirait Flaherty car celui-ci recherchait d'autres modes de financement que le mode de financement commercial. Pourquoi Grierson n'adhère-t-il pas totalement

d'un artiste. De même le réalisateur Sergueï Eisenstein, qui est loyal envers les idéaux du communisme prônés par Joseph Staline, réalise de 1925 à 1958 des films de propagande pour l'URSS, montrant les bienfaits du régime communiste dans Le Cuirassé Potemkine (1925), Octobre (1928), Alexandre Nevski (1938) et Ivan le terrible (1944). Leni Riefenstahl est chargée par Hitler de tourner en 1936, lors de Jeux olympiques d'été de Berlin, le film Olympia pour la propagande nazie de Goebbels, il s'agit

"Alexandre Nevski" est un film épique soviétique réalisé par Sergueï Eisenstein (réalisateur de "le cuirassé Potemkine", 1925) présenté en 1938. Ce film est une commande des autorités staliniennes et est conçu à l'origine comme un film de propagande contre l'expansionnisme nazi (d'ailleurs, le soldat Teuton ressemble à un nazi avec son casque à pointe). Les acteurs sont tous des membres du Parti Communiste. Ce film relate une bataille essentielle de l'histoire de la Russie au XIIIè siècle, "la

il n’y a plus de liberté de création. On utilise le cinéma en plein développement pour véhiculer l'idéologie. Ainsi en Union soviétique le réalisme soviétique est la règle officielle. Deux exemples de cinéastes : Eisenstein "Octobre", "le cuirassé Potemkine" ou Léna Riefenstahl "les dieux du stade" ou "le triomphe de la volonté".

lui ont été placées à travers toute l’URSS, symbolisant une fois de plus l’art qu’il préconisait. En exemple, une statue de Lénine et de Gorki : Un autre exemple, Le Cuirassé Potemkine (Броненосец Потёмкин) est un film soviétique muet réalisé par Sergueï Eisenstein, sorti en 1925. Il traite de la mutinerie du cuirassé Potemkine dans le port d’Odessa en 1905, ainsi que de l’insurrection et de la répression qui s’ensuivirent dans la ville. Il a été retouché de nombreuses fois, à des fins de propagande

propos que le cinéma est une arme redoutable pour les peuples. Mais celui qui saura atteindre le but final, donner et accomplir le sens noble et profond du mot - ART – c’est le russe Serguei Mikhaïlovitch Eisenstein, réalisateur, avec « Le Cuirassé Potemkine » jugé comme meilleur film du monde, il invente le montage chose qui donne un sens et un rythme aux films, ainsi il crée le langage cinématographique. Rapidement, le cinéma se développe à travers tous les pays du monde et devient une industrie

déformé,destructive le pape, elle renforce la position accentuée, isolée, du pape sur le tableau: celle ci est appronfondie ici par la zone noire. la bouche ouverte pour crier rapelle le cri de la nourrice dans le film de Sergueï Eisenstein le cuirassé Potemkine. Mais ce cri fait aussi penser à La gueule de l’enfer dans le Bois sacré de Bomarzo, on peut y voir un cri qui serai prêt à nous briser les tympans tout comme celui du pape. Ensuite, la silhouette isolée du pape évoque un symbole pessimiste

film d'Eisenstein Le Cuirassé Potemkine, se mêle inextricablement, dans le tableau de Bacon, à la figure du souverain pontife peinte par Velázquez. Selon Bacon, cette image obsédante du cri ne renvoie pas au célèbre tableau de Munch. Il n'en partage, dit-il, ni le caractère expressionniste, ni l'hystérie pathologique. La Nurse Hurlante « Le Cuirassé Potemkine » Chez Bacon, l'image

Autriche/Etats-Unis) : Robin des Bois (1938) o La Russie avec Lénine (1870-24) puis Staline (1878-1953) se consacre également au cinéma. Les 2 compositeurs qui marquent cette période sont ▪ Dmitri Shostakovitch (1906-75 - Russie) : Le Cuirassé Potemkine (1925), dans une version postérieure ▪ Serge Prokofiev (1891-1953 - Russie) : Prokofiev a composé pour 8 films soviétiques dont les plus célèbres, du réalisateur Serge Eisenstein sont Alexander Nevsky (1938) et Ivan le Terrible