Le Culte Du Chef

LE TOTALITARISME STALINIEN Document 2 Staline est considéré comme « le petit père des peuples ». Cette photo met en place le culte de la personnalité de Staline : c’est le guide du peuple. Elle impose l’image infaillible du chef, partout : sur les murs, dans les administrations… Il s’agit donc d’une image de propagande. Il existe une multitude d’affiches où Staline est représenté en grand, dominant l’affiche avec le peuple heureux derrière lui : exemple, une affiche sur la collectivisation

Paul explique clairement que des policiers ont été utilisés contre la population, quand ceux-ci pensaient qu’ils étaient français, alors qu’ils travaillaient pour le régime Allemand. C’est donc un principe antidémocratique; un régime fort et un culte du chef. Pour finir, Charles de Gaulle nous explique, dans l’appel du 18 juin 1940, que les dirigeants sont en contact avec l’ennemi. Ils utilisent les mêmes principes inadmissibles, comme le nazisme, la xénophobie ou encore l’antisemitisme, pour diriger

nouveau. L'embrigadement est pratiqué, et la violence comme mode de gouvernement est instaurée. Comme dans tout régime autoritaire, le pouvoir est détenu par un chef unique, Hitler. Doté d'un charisme exceptionnel, il convainc les foules. De plus, un culte à sa personne est présent. Propagande à l'appui, les citoyens vénèrent leur chef. Dès l'enfance, les jeunes allemands sont embrigadés : jeunesses hitlériennes (Hitlerjugend, créées en 1926), école, ... A dix-huit ans, les garçons rejoignent le

des Dieux, car lui-même est Dieu vivant. Il est l’expression directe de la volonté des Dieux. Il exerce un pouvoir théocratique. L’organisation administrative : deuxième constante. Il s’agit de l’élément de stabilité. Il n’ya point d’empire, ni de chef puissant sans structures, sans administration. Pour gouverner, il faut l’appui d’une administration. La troisième constante, c’est la féodalité. L’histoire de l’Egypte a été cahotique. Elle n’est pas unilinéaire. Elle a connu des apogées et des déclins

La Religion Romaine, Yves Lehmann, Que sais-je ? (n°1890) « Si nous nous comparons aux peuples étrangers, nous nous révélons égaux ou même inférieurs dans les autres domaines ; mais dans la religion, je veux dire le culte des dieux, nous sommes de beaucoup supérieurs. » Cicéron « Quelle que soit notre propre complaisance envers nous-mêmes, Messieurs les Sénateurs, nous ne pouvons pas nous prétendre supérieurs aux Espagnols par le nombre, ni aux Gaulois par la force, ni aux Carthaginois par

d’opposition, est niée (doc.2). B. Une société soumise au culte de la personnalité du chef Un culte de la personnalité se développe autour de la figure du dictateur (doc.1), qui doit apparaître comme un homme providentiel, déterminé et sûr du bien fondé de sa politique. On élève des statues à la gloire d’Hitler ou de Staline. Des symboles de ralliement permettent de reconnaître les siens, la croix gammée par exemple. Dans les écoles des photographies du chef sont affichées dans chaque salle, de même dans les

l'aristocratie trempé dans de l'eau béni ’assertion de Marx “la religion est l’opium du peuple” n’est valable que pour un temps donné, le temps où la croyance n’était pas un acte délibéré mais bien imposé. A une époque où la liberté de culte est reconnue dans plusieurs territoires il est concevable de voir la religion comme une caractéristique commune à un groupe, qui en fait une communauté qui partage des valeurs identiques. Cependant pour que la religion n’asservisse pas l’homme

Anti-démocratiques - Guerrières (bellicistes) Le pouvoir politique Un chef unique, un dictateur concentrant tous les pouvoirs entre ses mains Staline chef incontesté de 1924/1929 à sa mort en 1953 porte le titre de « petit père des peuples ». Un parti unique : pas Le PCUS, parti de pluralisme politique communiste d’union soviétique, seul parti politique Adolf Hitler concentre tous les pouvoirs entre ses mains, il est le « chef » providentiel et porte le titre de Führer. Dans la réalité, il indique

Il porte une chemise brune (l’uniforme SA), porte la croix de fer, symbole de sa bravoure pendant la première guerre mondiale. Il est un soldat parmi les soldats mais il se démarque d’eux, car il est devant, le porte-drapeau, le guide, le chef : le « Führer ». Son visage est sévère, les traits sont fermés, le regard est fixe et défiant : Hitler apparaît déterminé et sûr de lui, le regard d’un guide plein d’assurance qui mène son peuple. Cette idée est renforcée par le poing serré

La photographie permet la diffusion rapide des portraits des dirigeants, la caricature permet le plus souvent de ridiculiser l’ennemi. Les affiches ont été largement utilisées soit pour demander un effort à la population, soit pour développer le culte de la personnalité phare du régime. a) En France: Description : A l’arrière sont représentés un vieux monsieur et sa petite fille qui tendent des munitions à un soldat français armé, représenté au front. La fillette lui donne une grenade alors