Le Culte Du Chef

donc voir qu’il y a effectivement des points communs dans ces trois régimes.  Tout d’abord, nous pouvons remarquer que dans ces trois régimes, un homme est au pouvoir. Et le pouvoir est à lui seul. La clef du totalitarisme est le chef charismatique et le culte dont il est l’objet. Issu du peuple, il est censé exprimer ses aspirations profondes.   Pour l’URSS, c’est le « camarade Staline ». En union soviétique, les portraits et les statues de Staline se multiplient sur les places et dans

militaires et problèmes de ravitaillement, mécontentement de la population, manifestation. Une révolution provoque alors l’abdication du tsar Nicolas II.  En Octobre 1917, les bolcheviks renversent le gouvernement provisoire, révolution d’octobre. Leur chef, Lénine, signe la paix avec l’Allemagne, donne de la terre aux paysans et promet le contrôle des usines aux ouvriers  En fondant la IIIème internationale, ils espèrent développer le communisme en Europe, insurrections se lèvent donc en Allemagne,

Le culte de la personnalité 1-étude argumentée d'une œuvre d'art a) Contextualisation:Ce document est une peinture datant de 1938 lors de l'Anschluss(annexion de l'Autriche-Hongrie). L'auteur n'est pas exprimé sur le document, mais je suppose que celle-ci a été commandé sur ordre du ministère de la propagande. b)description:Cette peinture se compose de deux parties : le portrait d'Hitler sur lequel on peut le voir en tenue militaire sur lequel on peut voir sur le bras droit d'Hitler

Méré. Paix d'Amboise qui permet aux protestants d'exercer leur culte en dehors des villes et dans les terres de certains seigneurs. 1567-1568 : Deuxième guerre de religion terminée par la paix de Longjumeau qui confirme la Paix d'Amboise. 1569-1570 : Troisième guerre de religion. Défaite des réformés à Jarnac et Moncontour. La paix est signée à Saint-Germain. Elle accorde aux réformés la liberté de conscience et la liberté de culte dans 4 places de sûreté : La Rochelle, Montauban, Cognac et

royaume de France, certes de façon romantisé, pendant les guerres de religion. L’un de personnages principaux est Henri de Ier de Guise, futur chef de la Ligue catholique. Ligue dont le but était la défense de la religion catholique contre le protestantisme. L’on appelle « catholicisme », la religion des chrétiens qui reconnaissent le pape comme chef spirituel. Elle s’oppose donc par définition à la religion protestante qui fut le nom donné d’abord aux luthériens puis aux calvinistes avant

que dans les esprits de ses habitants. Surtout, la France est vue des yeux de son chef, ce dernier n'hésitant pas à lui donner une dimension supérieure. Aussi, comment de Gaulle voit-il la France ? D'abord, la France est personnifiée, elle est une femme subissant les difficultés de la guerre, meurtrie, blessée, accablée aussi du malheur de ses enfants, ses compatriotes. Par ailleurs, la France fait l'objet d'un culte, forte de son Histoire, de son passé chrétien, fière de son statut de « fille ainée

fausse. Cette affiche hitlérienne est le parfait exemple de la propagande qui peut être mise en place dans un régime totalitaire. Le dictateur, ici Hitler, est présenté comme le sauveur et le guide du peuple allemand. Cette affiche participe au « culte de la personnalité » d'Hitler en Allemagne. En 1935, Hitler n'est au pouvoir que depuis deux ans. S'il a déjà supprimé de nombreuses libertés par la force (il a, par exemple, interdit tous les partis politiques autres que le parti nazi), il doit encore

les régimes de type nouveau qui, au lendemain de la 1ère guerre mondiale voient le jour en URSS, en Italie et en Allemagne. Condamnant le principe de la démocratie libérale, ils prétendent contrôler la société pour forger des hommes nouveaux. Culte du chef, parti unique, embrigadement de la jeunesse, persécution systématique des opposants : telles sont les caractéristiques majeures de ces régimes dont les crimes ont endeuillé la 1ère partie du XXe siècle et dont les origines soulèvent toujours de

enfants auxquels ces mères ne résistent pas). Mais c'est surtout par le vocabulaire qu'il emploie que Zola montre le pouvoir excessif de Mouret sur ces femmes : les verbes utilisés "avait conquis", "tenait à sa merci", "dépouillées" l'assimilent à un chef de guerre victorieux, implacable et pillard, ou bien à un roi qui "règne" "avec la brutalité d'un despote" (l 12), ou bien encore à un agresseur qui "viole" ses victimes. Tous ces termes très péjoratifs montrent que la "galanterie" de Mouret n'est

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