Le Curé de village

cotoient petits propriétaires, gros fermiers, artisans et commerçants (relation avec le milieu rural aisé) La destinée du curé des campagnes -Vocation suscitée par un entourage favorable (ex : une mère pieuse ; un oncle curé) -Tradition familiale de donner un prêtre par génération -Intervention du notable pour aider à payer les études secondaires L’éducation des curées : les différentes voies d’accès -Le petit séminaire se substitue de plus en plus aux écoles presbytérales ou paroissiales :

s’abandonne à lui sans résistance. En sortant de la maison des Biscotti, les villageois de Montépuccio l’ont reconnu et ont bien décidé de ne pas le laisser sortir sein et sauf du village. Luciano Mascalzone se fait lapider par les villageois laissant place à une mort longue et atroce, malgré l’intervention du curé Don Giorgio qui tenta de le sauver des caillasses. Ils le lapident pour ce qu'ils pensent être un viol d'Immacolata Biscotti, la jeune sœur de Filomena décédée peut de temps après

ils le perçoivent. Malgré son apparence les individus de son village on apprit à l’accepter pour sa bonté et sa personnalité attachante. Cependant, son entourage porte quand même une certain jugement sur ce qu’il peu et ne peu faire en raison de son physique et de ces capacités intellectuelles. Une des principales démonstrations de ce jugement est par le curé. Dès le jeune âge du personnage principal, le représentant religieux du village lui refuse sa première communion avant « l’âge de treize ou

pour quelques courses. Petite querelle sans importance. Taquinerie et humour. La petite Jeux d'enfant un jeudi après-midi. Colette doit avoir 8 ans environ. L'enlevement Sa mère anxieuse a rêvé qu'on enlevait sa fille. Colette a 12 ans. Le curé sur le mur Colette joue avec le mot « presbytère » qu'elle aime bien et dont elle ne connait pas la signification. Elle a 8 ans. Ma mère et les livres Colette a 8 ans, petite femelle. Sa mère lui a communiqué l'amour des livres. Colette les touche

ne l’est, en effet, certainement pas, vu l’incrédulité, puis l’indignation avec laquelle il accueille les propos de M. Homais : « J’en ai connu, des prêtres qui s’habillaient en bourgeois pour aller voir gigoter des danseuses. — Allons donc ! fit le curé. — (…) Parbleu ! ils en font bien d’autres ! exclama l’apothicaire. — Monsieur !… reprit l’ecclésiastique avec des yeux si farouches, que le pharmacien en fut intimidé ». (2) Qu’il fût gourmand, rien ne permettrait de l’affirmer ; quant à ivrogne,

mariage bien mal parti. Le chœur des paysans salue les arrivées successives de maître Blazius qui leur annonce le retour de leu jeune seigneur Perdican, et de dame Pluche qui précède Camille, la cousine du jeune homme. Dans un salon du château, le curé du village maître Bridaine dénonce au baron père de P l'ivrognerie du précepteur de son fils; cependant le baron annonce son projet: il compte marier son fils et sa nièce. Mais dès leur rencontre, il est clair que les 2 jeunes gens sont mal faits pour s'entendre

Etude jointe au dossier + dossier 2 4ième séance : Entrée dans le premier récit Lecture dirigée, p. 13 à 15, depuis : « 43 (1800 évidemment) … » jusqu’à « … sur le linteau de la fenêtre. » Objectif : découverte d’un personnage collectif, le village, Locuteur II dont l’horizon se bouche progressivement. Mise en place d’une situation initiale particulière. La neige : la disparition du monde aux couleurs du paon (p.16) L’Ennui : le sentiment de vide, de peur, de violence latente Le lecteur

avec l’arrivée du Survenant. Illustration : «Pendant que son curé lui prodiguait de sages conseils et tentait de le dissuader d’un mariage précaire, Didace, envoûté, était à des lieues de là : le Survenant connaissait tout. Il avait toujours raison. Puisqu’il lui avait conseillé de se remarier, rien de mauvais ne devrait en résulter»(P.215) Explication : Dans cet extrait, Didace demande la permission au curé de se remarier. Le curé est le signe d’autorité pour tous les habitants du Chenal le Moine

l’histoire. Mais avant de commencer à analyser, nous allons vous mettre en contexte de l’époque dans laquelle évoluent les personnages de ce livre. L’histoire se déroule en 1890, donc au début de la colonisation au nord de Montréal. Grâce à l’aide du curé labelle, plusieurs familles se sont installées à Sainte-Adèle. Les conditions de vie y sont misérables puisqu’en arrivant là-bas, les gens devaient vraiment tout recommencer à zéro : défricher les terres, se construire une maison, planter des récoltes

de Fosses, dont la cure-prieuré appartient déjà à l'abbaye d'Hérivaux. À l'instar de l'église de la paroisse-mère de Fosses, celle de Marly est consacrée à saint Étienne, pape et martyr, et elle continue de dépendre de l'abbaye d'Hérivaux jusqu'à la Révolution française. Ce lien paraît d'autant plus naturel si l'on sait que l'abbaye a justement été fondée par un seigneur de Marly, Ascelin. Marly est également le siège d'un petit prieuré dont le prieur est en même temps le curé de l'église. L'abbé