Le Curé Et Les Deux Servantes

BONNEAU Gilberte Marie BEP Carrières Sanitaires et Sociales 2009-2010 RAPPORT DE STAGE Classe maternelle ECOLE MATERNELLE LES JACARANDAS 2 RUE DE LA CURE 97490 SAINTE CLOTILDE SOMMAIRE INTRODUCTION 1) LE ROLE ET LES MISSIONS DE L'ECOLE MATERNELLE 2) PRESENTATION DE L'ETABLISSEMENT 3) ORGANIGRAMME 4) ROLE DE L' AGENT SPECIALISE DES ECOLES MATERNELLES 5) DEROULEMENT D'UNE JOURNEE 6) ACTIVITE REALISEE CONCLUSION

Objet d’étude 2 Le théâtre l’ile des esclaves Marivaux Extrait 1 : Scène d’exposition 1. IPHICRATE. Esclave insolent ! 2. ARLEQUIN, riant. Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes; mauvais jargon 3.que je n'entends plus. 4. IPHICRATE. Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? 5. ARLEQUIN

et au buste «mûre de poitrine» et le portrait qu’il fait d’elle donne une impression de fadeur. Son visage est pâle, ses yeux présentent l’opacité « des bonshommes en faïence de Hollande », ses cheveux blonds sont délayés et elle a deux grains de beauté, dont un des deux est pourvu de poils, qui ne sont pas du tout séduisants. L’ensemble de la description donne ainsi l’impression d’une jeune fille insignifiante, d’une beauté un peu fade et sans une vraie personnalité. En outre l’auteur, pour banaliser

Charles,  l’invite  aux  Bertaux.  En revoyant Emma plusieurs fois, il prend  conscience de son amour pour  la  jeune  fille  pendant  l’Été  et se décide à la demander en mariage. Elle accepte et  la noce est  fixée au printemps suivant. L’hiver servant aux préparatifs.    Chapitre 4    Les  festivités   qui  suivent  la  noce  se  déroulent  sur  plusieurs  jours  avec  un  grand  festin  et  de  nombreux  invités  bien  apprêtés.  Le  père  Rouault   raccompagne  alors  Charles  et  Emma  à  Tostes

que l'adjoint du curé du village, comme son grand-aumônier, attribut réservé aux membres de l'Eglise servant les illustres figures de la noblesse. Le fait que "le fils du baron paraissait en tout digne de son père" marque la satire de toute la génération. Quant aux origines de Candide lui-même, on remarque une contradiction entre les qualificatifs qui décrivent le père présumé de celui-ci, soient "bon et honnête", et la raison donnée de l'absence de toute union officielle des deux parents : "il n'avait

L'action se passe sous la Restauration, à Verrières. Julien Sorel est un jeune homme ambitieux d'origine modeste. Il est le fils d'un charpentier et a deux frères. Julien Sorel s'évade dans la littérature et puise son imagination dans les Confessions de Rousseau. Sur les conseils de l'abbé Chélan, le curé de son village, il envisage d'entrer au séminaire. Celui-ci l'a pris en sympathie et qui lui a enseigné le latin, Julien est engagé par Monsieur de Rénal, le maire de la ville. Ce dernier recherche

bretelles. Il était chaussé de souliers forts, mal cirés, garnis de clous. On commença la récitation des leçons. Il les écouta de toutes ses oreilles, attentif comme au sermon, n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude, et, à deux heures, quand la cloche sonna, le maître d'études fut obligé de l'avertir, pour qu'il se mît avec nous dans les rangs. Nous avions l'habitude, en entrant en classe, de jeter nos casquettes par terre, afin d'avoir ensuite nos mains plus libres

deviendra la propriété du couple Jeanne/Julien). Ils se marient 2 mois après. Ils partent en voyage de noces en Corse, mais à leur retour, Jeanne découvre que son mari est avare et égoïste. Peu de temps après, elle découvre qu'il a mis enceinte sa servante. Julien veut alors abandonner sa maitresse, mais le comte s'y oppose et lui trouve un mari. Jeanne tombe enceinte, elle s'éloigne vite de son mari pour s'adonner entièrement à son fils. Mais Julien se désintéresse totalement de celui-ci et se tourne

de la grand-mère sous la pluie. Le petit cabinet sentant l'iris. Le baiser du soir. Visites de Swann. Son père. Sa vie mondaine, insoupçonnée de mes parents. La stabilité des classes sociales. Les taquineries de la grandtante à l'égard de Swann. Les deux Swann : le bon voisin et l'homme du monde. Notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres. La maison de Mme de Villeparisis à Paris : le giletier et sa fille. Le neveu de Mme de Villeparisis. Le grand-père, amateur de potins. Le

vivent des jours heureux. Ils ont deux fils : l’aîné, Pierre, près de la trentaine, brun, maigre et nerveux, tourmenté par de grands projets et sujet à des découragements imprévus , vient d'obtenir son de terminer ses études de médecine.  Jean, son cadet de cinq ans, gros, blond, et placide vient d'obtenir son d'achever ses études de droit. Ils sont venus tous deux prendre du repos après leurs études couronnées de succès. Ils songent à s’installer et convoitent tous deux la jeune et belle  veuve d’un