Le Cygne Et Le Cuisinier La Fontaine

Spleen Spleen Obsession Le Goût du Néant Alchimie de la Douleur Horreur sympathique L‘Héautontimorouménos L‘Irrémédiable L‘Horloge              Tableaux Parisienne Paysage  Le Soleil  A une Mendiante rousse  Le Cygne  Les Sept Vieillards  Les Petites Vieilles  Les Aveugles  A une passante  Le Squelette Laboureur  Le Crépuscule du Soir  Le Jeu  Danse macabre  L‘Amour du Mensonge  [Nein, ich vergaß es nicht]  [Laß uns der treuen Magd]

................. 159 À une mendiante rousse........................................................................................ 125 La Déstruction........................................................................................ 160 Le Cygne........................................................................................ 127 Une Martyre........................................................................................ 161 Les Sept Vieillards................................

LXXXII. Horreur sympathique LXXXIII. L’Héautontimorouménos LXXXIV. L’Irrémédiable LXXXV. L’Horloge 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 110 TABLEAUX PARISIENS LXXXVI. Paysage LXXXVII. Le Soleil LXXXVIII. A une Mendiante rousse LXXXIX. Le Cygne XC. Les Sept Vieillards XCI. Les Petites Vieilles XCII. Les Aveugles XCIII. A une passante XCIV. Le Squelette laboureur XCV. Le Crépuscule du Soir XCVI. Le Jeu XCVII. Danse macabre XCVIII. L’Amour du Mensonge XCIX. C. CI. Brumes et Pluies CII. Rêve

royautés folles Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d'un château sans châtelaine La barque aux barcarols chantants Sur un lac blanc et sous l'haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant sirène Un jour le roi dans l'eau d'argent Se noya puis la bouche ouverte Il s'en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte Face tournée au ciel changeant Juin ton soleil ardente lyre Voie lactée {2} 19 Alcools Brûle mes doigts

Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d'un château sans châtelaine La barque aux barcarols chantants Sur un lac blanc et sous l'haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant sirène Un jour le roi dans l'eau d'argent Se noya puis la bouche ouverte Il s'en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte Face tournée au ciel changeant Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris Triste et mélodieux

royautés folles Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d’un château sans châtelaine La barque aux barcaroles chantants Sur un lac blanc et sous l’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant sirène Un jour le roi dans l’eau d’argent Se noya puis la bouche ouverte Il s’en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte Face tournée au ciel changeant Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris 14 Triste et mélodieux

Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d'un château sans châtelaine La barque aux barcarols chantants Sur un lac blanc et sous l'haleine - 24 - Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant sirène Un jour le roi dans l'eau d'argent Se noya puis la bouche ouverte Il s'en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte Face tournée au ciel changeant Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris Triste et mélodieux délire

folles Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d’un château sans châtelaine La barque aux barcarols chantants Sur un lac blanc et sous l’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant sirène Un jour le roi dans l’eau d’argent Se noya puis la bouche ouverte Il s’en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte Face tournée au ciel changeant Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris Triste et mélodieux

prophète (voir P. Bénichou, Le Sacre de l'écrivain 1750-1830, Corti, 1973; Le Temps des prophètes, Gallimard, 1977; Les Mages romantiques, Gallimard, 1988). Sur le rôle de l'"indispensable douleur" (Le Poème du hachisch, Pl. I, p. 439), voir notamment Le Cygne (poème LXXXIX, v. 46-47), la fin des Phares (poème VI), le v. 42 de L'Imprévu (pièce XVIII de la section "Pièces diverses"), et un passage sur E. Poe: "Ne dirait-on pas qu'il aime un peu la douleur, qu'il pressent la future compagne incomparable de

Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d'un château sans châtelaine La barque aux barcarols chantants Sur un lac blanc et sous l'haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant sirène Un jour le roi dans l'eau d'argent Se noya puis la bouche ouverte Il s'en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte Face tournée au ciel changeant Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris Triste et mélodieux