Le Despotisme éclairé

est de droit divin (donc l'alliance Trône-Autel). Ils pensent que l'on doit gouverner «par la raison et en vue du bien public». Exemple: Diderot veut un régime royal mais tempéré par un parlement (comme en Grande Bretagne), c'est à dire un «despotisme* éclairé». Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. Conclusion: Les combats des philosophes ont été utiles. Ils ont conduit d'une part à l'abolition de la torture et de l'esclavage et d'autre part ont aidé à la Révolution

brosse pas un portrait précis et détaillé du dirigeant idéal mais écarte plutôt ce qu'il ne doit pas être : ⁃ - rejet des privilèges non justifiés, ⁃ - rejet du protocole (cf roi d'Eldorado). ⁃ - Importance de l'éducation, de la raison : despotisme éclairé. ⁃ I. Une société déiste (sur le plan religieux) II. III. - rejet des superstitions, des croyances qui éloignent de la raison : IV. ex et analyse : l'autodafé pour éviter un tremblement de terre. V. VI. - la religion doit être

ton propre entendement ». Tous ces textes réfléchissent donc aux enjeux de la démarche qui consiste à réfléchir par soi-même, à augmenter ses connaissances pour devenir un homme libre et éclairé. Dumarsais, pour le premier, présente, à travers son portrait du philosophe des lumières un archétype du penseur éclairé : Différent des « autres hommes », le philosophes doit apprendre à se connaître, se laisser guider par « sa reflexion », qui, telle « un flambeau » l'amène à avoir un jugement sain dans

ils sont tous contre la monarchie de droit divin. Mais ils diffèrent sur les régimes de remplacement : VOLTAIRE : le peuple, ignorant, a besoin d’un pouvoir fort Vision autoritaire Voltaire propose un pouvoir absolu, mais éclairé par la raison : DESPOTISME ECLAIRE MONTESQUIEU : opte pour la séparation des pouvoirs, et le bicaméralisme (2 assemblées délibérantes) , seul moyen d’éviter le pouvoir absolu et tyrannique : - Pouvoir législatif - Pouvoir exécutif - Pouvoir judiciaire Il

prodiges, ainsi que luxe. Candide se rapproche des autres contes de Voltaire comme Zadig. De plus on peut dire que Candide est une parodie des Contes de fées. Voltaire critique la société et les monarques ainsi que la politique. Il est pour le despotisme éclairé. Il faut quelqu’un à la tête du pays avec la philosophie des lumières.

le prototype M.préfére aristote, car plus éclairé que le reste de la nation (contexte avant 1790). Vertu politique : suivre les lois. Monarchie :roi, honneur a respecter des lois fixes. Despotique : 1 despote fait c propre lois , il les choisis seul. Plus le territoire est grand , plus dur est le dezspotisme car crainte c le seul moyen de garder la main mise sur un territoire.* Liberté forme de liberté dans la loi Egalité :Républic et despotisme, forme d’égalit » celle du statut Monarchie

père avec ses enfants. 2. Les enjeux de la contestation : a) Le philosophe dénonce tout ce qui porte atteinte à la raison et à la liberté, c’est-à-dire les inégalités, les abus de pouvoir… Dans le domaine politique, ils dénoncent le despotisme et la tyrannie, dans le domaine religieux ; les rites, le fanatisme et l’intolérance, et dans les domaines sociaux les privilèges, l’esclavage et la domination homme-femme. Cela comporte des dangers b) Les dangers de la contestation : il faut

de l’occident : « Petit état nommé Frankrom, situé entre l’Espagne et l’Italie » ; « livres apportés d’occident » ; « auteurs occidentaux ». 3) Un texte religieux et politique De fait, il apparaît dans ce texte que despotisme et superstition sont liés : confusion constante : le despotisme s’appuie sur la superstition religieuse qui lui confère une pseudo-légitimité. • Le pouvoir s’affirme « Par la grâce de Dieu », il se présente comme « mouphti du Saint Empire ottoman », et s’appuie sur les cadis

toute l’Europe au XVIIIe siècle. Idée que la raison doit l’emporter sur la superstition et la religion ; prône la liberté de pensée, la capacité de l’homme à réfléchir par lui-même. Métaphore « lumières » : « lumières » = facultés intellectuelles > éclairer les esprits, faire qu’on puisse penser par soi-même, lutter contre l’obscurantisme. Et idée de diffusion du savoir. Ils luttent contre l’influence excessive de l’Eglise sur la société, contre l’intolérance religieuse, la guerre et ses horreurs.

Tocqueville spécula sur le futur de la démocratie aux États-Unis, et sur des dangers potentiels « à la démocratie » ainsi que des dangers « de la démocratie ». Il écrivit de la démocratie qu'elle a une tendance à dégénérer en ce qu'il décrivit comme « le despotisme mou ». Il observa aussi que le seul rôle que put jouer la religion était dû à sa séparation du gouvernement, permettant un pays laïque convenant aux deux partis. Importance[modifier | modifier le code] De la démocratie en Amérique a été publié