Le Despotisme éclairé

balançant entre les « lumières de la raison » et les « transports de la sensibilité », il place la dignité de l'homme dans la recherche plutôt que dans la découverte de la vérité. Ses idées politiques : * Diderot semble être un partisan du despotisme éclairé, c'est-à-dire d'une monarchie où les élites intellectuelles contribuent à la postérité de l'État. Il pense en avoir trouvé le modèle avec Catherine II de Russie. Mais ses analyses politiques laissent entrevoir les prochains bouleversements révolutionnaires

Parlement de Bordeaux, publie un ouvrage fondamental dans l’histoire politique et dans la philosophie : De l’esprit des Lois. Dans cet ouvrage, Montesquieu développe une pensée novatrice. Pour lui, il faut une séparation des pouvoirs pour éviter le despotisme. Il y a, selon lui, trois pouvoirs, l’exécutif, le législatif, et le judiciaire. Cependant pour lui la démocratie n’est pas pour lui le meilleur des régimes, pour ce noble, la démocratie est synonyme d’anarchie. Sa pensée est malgré tout à la base

fait, quel est l’apport de la Révolution dont il était l’héritier, le défenseur et le « fils » ? et, au fond, qu’était-ce que « la Révolution » ? On peut penser, comme Georges Lefebvre l’a suggéré, que Napoléon relevait de la catégorie du « despotisme éclairé » : assez rationaliste pour accepter et promouvoir tout ce qui tendait à la modernisation de l’État en abolissant le bric à brac « féodal », sans adhérer en profondeur à l’idéal humaniste qui fait de la Liberté et de l’Égalité (de la Fraternité

Saint-Simon, témoin de la vie à la cour de Versailles, dénonce, dans ses célèbres Mémoires, quelques unes des conséquences inévitables et funestes de la monarchie absolue : la fréquence des guerres qui ruine la Nation et favorise l'arbitraire; le despotisme ministériel des quatre secrétaires d'Etat et du contrôleur général, l'égoïsme enfin, qui détache le souverain de la Nation : "ce peuple qui vous a tant aimé, et qui a eu tant de confiance en vous, commence à perdre l'amitié, la confiance et même

relèveraient le sujet ou le citoyen de ses obligations à son égard. " Le souverain (summa potestas) n'est tenu par aucune loi ". Cela ne signifie pas qu'il est au-dessus d'elles, comme un Dieu, ainsi que se prétendent les rois, lorsqu'ils sont enclins au despotisme ; mais qu'il n'y a pas d'autre source de la loi que lui (donc qu'il peut collégialement la changer) parce que chacun a renoncé à tout son droit naturel. Ils ne pourraient en réserver une part sans réserver une autre source de la loi (lex) et donc

paraissait l’idéal d’une parfaite république. Il avait pour Athènes un profond mépris, et il aurait dit volontiers de cette nation, la première de la Grèce, ce qu’un académicien grand seigneur disait de l’Académie française : "Quel épouvantable despotisme ! tout le monde y fait ce qu’il veut". Je dois ajouter que ce grand seigneur parlait de l’Académie telle qu’elle était il y a trente ans. Montesquieu, doué d’un esprit plus observateur parce qu’il avait une tête moins ardente, n’est pas tombé

fille de pauvres gens à qui … » par ses propos se contredit apportant par la même la preuve que la fille n’est pas prédisposée pour la débauche mais que seul est responsable, la faiblesse matérielle et psychologique des parents et surtout l’infâme despotisme du duc. Il n’en reste pas moins que tout ceci est dit dans une tirade séduisante. b) Tirade spirituelle Il s’agit en effet ici d’une apologie de l’amour cynique faite dans un style spirituel et plein d’aisance. Ce dernier persuade, enveloppe, charme

classes)/égalité salariale (dividende)/sécurité sociale (caisses de secours)). AUTORITARISME : Attitude de l’autorité publique (un seul homme, un parti, les représentants d’un groupe sociale particulier) (monarchie absolue, empire, république, despotisme éclairé) qui vise à imposer, arbitrairement et sans tolérer d’opposition (Justification : Dieu, population, armée, aspiration à un ordre social dans un contexte de crise, un groupe social privilégié) (par la police politique, la milice privée, les arrestations

Etre objectif. //Qu’est ce que l’humanisme ? On en a assez que l’humain vive dans la superstition, ici ils veulent aider l’être humains a progresser défendre certaines valeurs et dénoncer certaines valeur. MONTAIGNE DIDROT … Dénonce le despotisme, racisme, esclavagisme, stéréotype … Importance de l’éducation. Le savoir est un pouvoir pour eux. L’art est très important avec les découvertes. Amérique, imprimante, médecine … Qu’est ce que le puritanisme ? Courant religieux anglais, protestant

provoquer par des piques ironiques et ce dès le début du roman. On peut relever l’antiphrase faussement flatteuse de Valmont dans la lettre 4 : « Vos ordres sont charmants, votre façon de les donner est plus aimable encore, vous feriez aimer le despotisme ». C’est à travers cette ironie que s’exercent leurs talents de libertins, elle permet donc de les départager. Elle s’apparente à une forme d’ironie théâtrale : en effet, ils se conçoivent tous les deux comme des acteurs sur le grand théâtre du