Le Devin

car il ammorce vraiment tout. Dès les premières lignes on nous laisse deviner de ce qu'il va se passer par la suite, et on nous met directement dans le bain de comment le narrateur va nous conter l'histoire de ce dramaturge de renommé tout au long de ce livre. Dans ce passage, il est question de la naissance de Molière, au sens propre du terme. Du narrateur, Mikhaïl Boulgakov conversant avec la sage-femme, lui disant tel un devin toutes les prouesses qu'allait accomplir l'enfant qu'elle tenait en ses

: devient « chat » par comparaison et « hameau »=penser que transfo – grd ; « chat » : triple symbole=volupté, calme, clairvoyance ; clairvoyance : signaler par V « deviner » ; point commun « chat »/« hameau »=tt petit par rapport géante, calme ; peut penser que métaphore : s’opère ac choix V inf ; 2 1er vers : « voir » et « deviner »=face à elle=spectateur ; « parcourir » et « ramper » : épouse forme géante, fait corps avec elle ; à contact : devient élément paysage=devient comme elle (s’endort)

→présage : signifie le meilleure a venir, les meilleurs présagesun oiseau de mauvais augure :viens du latin « oisel mallius augunium » : signifie annoncer une mauvaise nouvellevaticiner :viens du latin « vaticinari » prophétiser , dér. de « vates » devin, prophète : prédire l’avenirmonstre :viens du latin « monstrum »→prodige, faire penser à…:être fantastique de la mythologie, des légendesprodige :viens du latin « prodigium »→événement extraordinaire a caractère surnaturel : personne exceptionnellement

rencontre avec madame de Warens >> Rousseau nous raconte son coup de foudre étant jeune. Rousseau nous montre qu'il n'est pas resté indifférent à madame de Warens. On peut relever de nombreux symptômes de ce coup de foudre comme << que devins-je à sa vue >> l. 15 << main tremblante >> l. 25 ou encore << tressaillir >> l. 30 qui font songer au coup de foudre ressenti par Lancelot pour Guenièvre. On note un vocabulaire presqu'identique. Aux lignes 1 et 2 on

vite, il tente de le persuader de laisser Antigone en vie. Le ton monte entre le père et le fils et Hémon quitte la scène sur des paroles funestes. Tirésias, un devin, vient annoncer au roi que son action est contre la volonté des dieux et qu’il doit absolument libérer Antigone. Créon ne croit tout d’abord pas aux prédictions du devin puis, secoué par celles-ci, il décide d’aller délivrer Antigone et de procéder aux funérailles de Polynice. Mais il est trop tard, Antigone s’est déjà pendue dans

semblent particulièrement poétique pour chacun des textes. 1- Dans le poème "Les Poètes de Sept ans" écrit par Rimbaud la seule marque d'énonciation est "il". Rimbaud n'utilise jamais la première personne du singulier, mais nous pouvons tous de meme deviner que c'est ce qui lui est arrivé à l'age de sept ans : "A sept ans, il faisait des romans sur la vie" v.31, "il craignait les blafards dimanche de décembre" v.44 et v.46 : "il lisait une Bible à la tranche vert-chou". Dans "Les Chants de Maldoror"

relation avec les femmes etc. Alors que dans la biographie on voit seulement le coté artiste, musical, c’est un génie. « Lettres de Maman » : 1) On ne sait pas trop quand l’histoire se passe, il n’y a pas de signes temporels mais on peut deviner que l’histoire se passe vers l’époque de Julio Cortázar et ça se passe à Paris. 2) Luis est celui qui correspond par lettre avec Maman, en effet il est son fils. Il est marié à Laura et travaille dans un bureau à Paris. Maman est la mère

l’immunise contre les charmes de Circé, Ulysse oblige celle-ci à libérer ses hommes. L’équipage reste un an à festoyer sur l’île, puis Circé donne à Ulysse des conseils pour continuer son voyage. Il lui faut d’abord se rendre aux Enfers pour consulter le devin Tirésias sur le moyen de rentrer chez lui. Il rencontre aux Enfers des anciens compagnons disparus comme Achille qui regrette d’être mort si jeune. Il offre un sacrifice à Poséidon pour essayer de le rendre moins sévère. Des Enfers, Ulysse gagne les

* Les vocatifs utilisés dans le dialogue : « ma bru » (l.3) ; « ma mère » (l.6) ; « mamie » (l.13) ; « mon fils » (l.17) ;  votre grand-mère » (l.18) ; « mon fils, votre père » (l.19) ; « sa sœur » (l.22) ; Ils ont des domestiques ce qui laissent deviner qu’ils viennent d’un certain milieux, certainement la bourgeoisie parisienne : « Flipote » (l.1) ; « fille suivante  (l.13)» * On a une allusion à la situation familiale et on constate que Mme Pernelle n’accepte pas que son fils se soit remarié

Celui-ci était Laïus, le roi et donc son père... Jocaste : c'est tout d'abord la reine et la femme du roi Laïus. Après la mort de son mari, elle devient la femme d'Œdipe, son fils. Elle n'est pas grecque. Tirésias : très fréquenté par Jocaste et Laïus, devine l'avenir. Le Sphinx : monstre à tête de femme (petite fillette) qui pose une énigme aux individus passant seuls à Thèbes, s'ils ne trouvent pas la réponse, il les tue. Il est immortel et envoyé par les dieux. Anubis : dieu égyptien à tête de chacal