Le Diable amoureux

et offrir deux facettes moralement contraires. D’un côté un pécheur convaincu qui persiste dans ses fautes. De l’autre, un jeune homme égaré qui retrouve la voie de la foi et de la piété. DON GARCIA Don Garcia est en fait une représentation du diable, du mal, du démon, etc. C’est un homme méchant et pécheur. Un vrai Lucifer en puissance qui n’hésite pas à « partager » sa belle avec Don Juan. Don Juan est victime du vil Don Garcia, montrant ainsi sa naïve faiblesse. Don Garcia est le seul personnage

retrouvons « le diable y ait part » (ligne 8), ce qui renforce le côté dramatique des faits qui se produisent. Mais cette image du diable peut aussi faire référence au côté farcesque du texte. En effet, ce personnage est topique des farces du Moyen-Âge et de la Renaissance (comme dans les farces Tabariniques) et il est développé de manière récurrente : dans la farce du retraict par exemple, l’amant sortant des commodités et aillant des excréments sur le visage est considéré comme étant le diable. La côté

voire intimes de son passé, éléments qui, de la part d'un prêtre, sont plus qu'étonnants (nous retrouvons ici également une certaine ironie de la part de Gautier : la nouvelle ne sera en réalité que la confession d'un prêtre pêcheur, d'un prêtre amoureux et/ou subissant un dédoublement de la personnalité : le « confessant » se retrouve à la place du « confessé »). Notons également l'usage du passé simple durant tout le récit, à valeur de passé proche. Ce temps du récit fait rejaillir les éléments

liaison : les classes sociales les séparent, Ruy Blas est un simple laquais alors que Dona Maria De Neubourg est au sommet de l’échelle sociale : c’est une reine. On citera donc le vers le plus célère de la pièce prononcé par Ruy Blas « […] ver de terre amoureux d’une étoile. ». En outre, cette idylle est impossible car l’amour entre les 2 personnages (car il existe bel et bien !) serait très dangereux pour la Reine : elle risque de perdre son honneur à jamais, d’être rasée et enfermée dans un couvent jusqu’à

Journée I,1 : les voyageurs Jacques et son maître chevauchent dans le brouillard. Diderot à son écritoire. A l’avant-scène, Maître Tu as donc été amoureux ? Jacques Si je l’ai été ! Maître Et cela par un coup de feu ? Jacques Par un coup de feu. Maître Tu ne m’en as jamais rien dit. Jacques Je le crois bien. Maître Pourquoi donc ? Jacques C’est qu’il était écrit là-haut que cela ne pouvait être dit ni plus tôt ni plus tard. Diderot Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout

fantastique Définition du fantastique : Le fantastique occupe le temps de l'ambiguïté entre rêve ou réalité ? Et entre vérité ou illusion ? Ainsi Todorov parle du fantastique comme " un monde qui est bien le nôtre, celui que nous connaissons, sans diables, sylphides, ni vampires, se produit un événement qui ne peut s'expliquer par les lois de ce même monde familier. Celui qui perçoit l'évènement doit opter pour l'une des deux solutions possibles : ou bien il s'agit d'une illusion des sens, d'un produit

saisie d’un trouble comme si elle avait reçu un coup de foudre. La demoiselle de compagnie est troublée, émue par la présence de l’officier, alors qu’Hermann est beaucoup plus détaché. Lisabeta est certes éprise d’Hermann, mais Hermann n’est pas amoureux d’elle : la première lettre qu’il lui écrit est artificielle puisque traduite d’un roman allemand. Ensuite les lettres se succèdent car Hermann « écrivait sous l’emprise d’une passion violente ». Le texte laisse planer le doute sur l’objet de cette

maison d’H en qualité d’intendant. Cléante, frère d’Elise, est amoureux de Mariane. Les enfants craignent que leur père fasse obstacle à leur bonheur. Dans la scène 4, H révèle que lui aussi veut épouser Mariane. L’Acte II révèle les activités infâmes d’H comme usurier et introduit l’entremetteuse Frosine. L’Acte III traite de la réception en l’honneur de Mariane et introduit le personnage de Mariane. L’Acte IV introduit le complot des amoureux et de Frosine et le vol de la cassette. Ces deux événements

conception étriquée de la femme tentatrice, Eve fatale (qui réduit la sexualité à la génitalité)… Gautier exploite une des veines du roman gothique comme dans le Moine de Lewis, ou Melmoth de Maturin, il y a peut-être aussi des réminiscences du Diable amoureux de Cazotte.

en musique par Serge Gainsbourg), l’auteur utilise le champ lexical de l’affection amoureuse, visible au travers d’expressions comme «chère indolente», ainsi qu’à travers l’emploi de formules intensives, comme «si beau». Enfin, les sentiments amoureux sont exprimés à travers une ponctuation forte : la première strophe et la dernière strophe se terminent par des points d’exclamation. 2) La vision de la beauté du corps de la femme Baudelaire emploie le champ lexical du corps de la femme. Par