Le Diable Au Corps Libertin

« cède », il ne peut rien refuser aux belles « quoi qu'il en soit, je ne puis refuser mon cœur » (l13) mais il a tout de même le souci de l'équité « toutes les belles ont droit… » (l6). Dom Juan se pose donc en victime de la nature.   II-Le libertin : l'aristocrate, l'esthète et l'orateur :   1-    L'aristocrate : Le personnage est un personnage orgueilleux, révolté par les mœurs bourgeoises, qui ne jurent que par le mariage. Il se compare à Alexandre, symbole de la démesure aux yeux

L’introduction comprend la phrase d’accroche, l’ouverture sur le sujet, la situation rapide de l’auteur en rapport avec le texte s’il y a une citation. Citer la problématique dont on donne une réponse organisée sous forme de thèse annonçant ainsi le plan. Le corps comprend les arguments illustrés par des exemples des auteurs, La conclusion comprend la réponse reprise sous forme synthétique et peut ouvrir le débat sur des problèmes/Questions voisins. Exemples d'arguments : Leiris gorge coupée : Exorciser sa douleur

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mettent en scène Socrate. Or, ces dialogues sont souvent aporétiques (sans issue) car la pensée platonicienne suppose une limite à la connaissance humaine. Pour lui l’être humain a perdu sa connaissance originelle à cause de la chute des âmes dans les corps d’où leur oubli des essences éternelles qu’elles contemplaient dans le ciel des Idées. (cf l’allégorie de la Caverne). Cependant grâce à la maïeutique, l’art socratique du questionnement, nous pouvons progressivement retrouver le chemin vers la lumière

elle tente de convertir Alexandre en jouant beaucoup sur la persuasion et la conviction ; elle ne rencontre aucun succès et Alexandre n’entend rien et lui répondra : « Des mots, des mots, et rien de plus » (très Shakespearien !) ou encore « Pourquoi diable te mêles-tu de politique ? ». Il est donc clair que les femmes ne sont pas écoutées dans la pièce. Alors pourquoi Musset a-t-il créé les personnages féminins ? Dans sa version du drame, George Sand ne faisait apparaître que Marie et Catherine

travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les

de quelque côté qu'on vous regarde, on rencontre gloire sur gloire, et qualités sur qualités. Vous en avez, Madame, du côté du rang et de la naissance, qui vous font respecter de toute la terre. Vous en avez du côté des grâces, et de l'esprit et du corps, qui vous font admirer de toutes les personnes qui vous L'école des femmes 1 L'école des femmes voient. Vous en avez du côté de l'âme, qui, si l'on ose parler ainsi, vous font aimer de tous ceux qui ont l'honneur d'approcher de vous : je veux dire

protégeant les arts, et sans le goût éclairé duquel notre théâtre n'aurait pas un seul chef-d’œuvre de Molière ; on voit ce philosophe auteur se plaindre amèrement au roi que, pour avoir démasqué les hypocrites, ils imprimaient partout qu'il était un libertin, un impie, un athée, un démon vêtu de chair, habillé en homme ; et cela s'imprimait avec APPROBATION ET PRIVILEGE de ce roi qui le protégeait : rien là-dessus n'est empiré. Mais, parce que les personnages d'une pièce s'y montrent sous des mœurs

travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les

travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les